Magazine
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Entretien
Taro Izumi greffe sur le vivant un art dépassant les dualismes de l'ouvert et du fermé, de la fiction et du réel. Foisonnants délires, dont la peinture et la vidéo cernent les « entrailles », macrocosmes qu'elles saisissent dans toute leur fantaisie, et dont elles découvrent la mobilité en même temps qu'une compénétration intime d'énergies. À découvrir, jusqu'au 9 mars, à la galerie Vallois.
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Cette semaine à Paris
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Après la saison Imaginez l’imaginaire qui a entraîné le visiteur dans le sillage même de l’invention de l’œuvre, la nouvelle saison du Palais de Tokyo Soleil froid explore la surface d’un monde étrange où, comme l’écrivait Raymond Roussel à propos de l’écriture, « rien de réel ne doit entrer ».
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Palais de Tokyo
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Henrik Vibskov est un créateur de mode danois. Avec une tonalité toujours poétique, ludique et étrange à la fois, il nous fait ici découvrir ses inspirations et nous plonge dans son univers. Couleurs éclatantes, formes géométriques, l’artiste propose une exposition multimédia qui mêle la vue, l’ouïe et le toucher.
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La Galerie des Galeries
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Jan Fabre se confronte à la tradition séculaire de la mise en scène de la mort. Si les sculptures funéraires invitent à la méditation sur la vanité de l’existence, la mise en scène de l’artiste questionne les liens de l’homme avec la nature ainsi que sa propre nature.
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Galerie Templon
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Omphalos nous présente des œuvres récentes de Frédérique Lucien en lien et en continuité avec ses travaux précédents. Alors que ces œuvres imprégnées d’ambiguïté pourraient nous amener à une certaine incertitude, elles nous dévoilent bien au contraire, progressivement, leurs multiples sens et dépassent le sujet premier.
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Galerie Jean Fournier
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Sculpteur majeur de l’époque romantique, David d’Angers a laissé un ensemble d’œuvres dessinées considérable, qui permet de suivre l’évolution de sa carrière et d’apprécier ses liens avec la société littéraire et artistique de son temps. Ses dessins montrent l’intensité de ses recherches préparatoires pour rendre lisible à tous l’histoire d’une vie dans un bas-relief.
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Le Louvre
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L’évolution artistique de Capogrossi s’étend de sa période figurative à l’innovation radicale non figurative du groupe Origine, qui a vu le jour, à travers son unique et très personnel signe du « cas Capogrossi ». Ce dernier place l’artiste au devant de la scène artistique internationale contemporaine en tant que figure innovatrice et fortement originale.
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Tornabuoni Art
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Photographe, cinéaste, connue pour ses positions « féministes » en Inde, Pushpamala N. réalise des performances qui constituent essentiellement le support de son œuvre. Elle se met en scène sous diverses identités : une démarche d’appropriation qui fait penser aux incarnations multiples de Cindy Sherman, version indienne.
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Galerie Zürcher
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Antoine Poncet présente deux études sur une série de timbres édités dans les années 1930 pour soutenir les « chômeurs intellectuels ». La première prend la forme de planches philatéliques avec ces timbres mêmes. La deuxième est constituée d’agrandissements numériques de douze de ces timbres, retravaillés manuellement.
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CNEAI = Centre National Édition Art Image
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Dans Tremblement, Véra Molnar, bouscule, brise, repousse les cadres et les lignes, les plus classiques soient-elles, comme le motif de la Grecque, ornement antique formé de lignes brisées effectuant des retours en arrière. Son credo ? Le geste minimal, le mouvement et l’erreur.
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CNEAI = Centre National Édition Art Image
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L’exposition Quand deux deviennent un donne la possibilité à Ernesto Sartori d’affirmer clairement sa position d’auteur. Animé par ce que l’on pourrait nommer une révolte logique, il combine la rationalité des calculs de l’architecture prospective et le chaos narratif d’un univers fictionnel.
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Galerie Marcelle Alix
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Figure essentielle et singulière de la photographie depuis les années 1970, disparue en 2012, Jan Groover a construit une œuvre de tout premier plan. Bien qu’elle ait vécu les vingt dernières années de sa vie en France, son travail n’a pas été montré à Paris depuis son exposition à la galerie Sonnabend en 1978.
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Ennui (La Vie Continue) est la sixième exposition monographique de Jack Pierson. Poursuivant ses recherches sur la richesse des associations mentales provoquées par les lettres détournées d’affichages commerciaux associées à des dessins et des peintures, l’artiste américain propose ici une confrontation aux questionnements profonds de la culture occidentale.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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L’artiste autrichien Gerwald Rockenschaub est l’un des premiers à avoir élaboré un langage plastique issu en grande partie de l’infographie. Les configurations graphiques, les formes géométriques isolées et les aplats de couleur suggèrent un récit que le spectateur décrypte en faisant appel au répertoire d’images emmagasinées dans sa tête.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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Rock’n’Roll est une balade au cœur du star system des années 60. Parce qu’il développe une relation unique avec les artistes de l’époque, dont beaucoup deviendront des symboles planétaires, Jean-Marie Périer sait pénétrer l’intimité des stars. Pendant douze ans, le photographe les suit dans leurs tournées, s’assoit à leur table, accède à leurs appartements privés.
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Polka Galerie
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La galerie Polka présente une exposition de Patrick Swirc mêlant tirages photographiques et carnets intimes. le photographe parcourt le monde, du Maroc au Vietnam, et compose des carnets de voyage qui associent photographies, calligraphies, dessins et collages d’objets.
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Polka Galerie
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Cette exposition collective développe une réflexion autour de la peinture abstraite aujourd’hui. Performance, techniques et matériaux non traditionnels, artisanat et design, symbolisme, nouvelles technologies, ces œuvres témoignent du renouveau de la recherche picturale au-delà du concept classique de médium.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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Riche dans ses interprétations et représentations, le désastre conserve son pouvoir de fascination pour les artistes contemporains. Cette exposition propose une réflexion sur sa perception actuelle avec un dialogue entre des artistes venant de cultures et d’horizons divers et travaillant sur différents supports : la photographie, la peinture, la vidéo, l’installation.
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Galerie Thaddaeus Ropac Paris Pantin
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Le romantisme noir désigne un vaste pan de la création artistique qui, à partir des années 1760-1770, exploite la part d’ombre, d’excès et d’irrationnel qui se dissimule derrière l’apparent triomphe des lumières de la Raison. Le musée d’Orsay propose de découvrir ses multiples déclinaisons, de Goya jusqu’à Max Ernst et aux films expressionnistes des années 1920.
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Musée d’Orsay
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