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Réunissant sept artistes contemporains, Mujô-kan (impermanence, en japonais) revisite le thème du corps humain selon un angle autant philosophique que plastique. Les artistes de l’exposition partagent un attrait particulier pour le corps qu’ils subliment ou désacralisent, examinent en détail, ou au contraire dématérialisent.
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Galerie Da-End
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Les portraits de Jerry Schatzberg racontent toujours une histoire d’un avant et d’un après où le récit dépasse le simple cadre de l’objectif. On retrouve dans ses clichés un sens aigu de la composition, un cadrage quasi cinématographique d’une grande sobriété et particulièrement efficace.
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Galerie Seine 51
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René Burri, membre historique de l’agence Magnum, avait toujours sur lui au moins deux appareils photo. En parallèle du noir et blanc qui l’a rendu célèbre, il prenait des photographies en couleurs. Ces images, largement inédites, permettent aujourd’hui de découvrir une face cachée de son œuvre, au fil d’une carrière de plus de cinquante ans.
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Galerie Esther Woerdehoff
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L’extrême simplicité formelle de l’œuvre de Lee Ufan intrigue au même titre que sa sophistication théorique. « Art de la rencontre » selon sa propre expression, son œuvre articule les traces picturales, la pierre, le métal, le verre, l’ombre et la lumière.
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Galerie Kamel Mennour
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Denis Rouvre a passé trois semaines en Nouvelle Calédonie dont quinze jours dans des tribus. Lors de son immersion, il a pu photographier treize d’entre elles. À l’occasion du Festival Photo Saint Germain des Prés, la galerie Hélène Bailly met à l’honneur sa nouvelle série Kanak.
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Pour le troisième festival Photo Saint-Germain-des-Prés, Michèle et Odile Aittouarès ont réuni trois artistes contemporains qui, portés par le thème « visages et corps », livrent chacun un portrait personnel de « leur Afrique ». Afrique, lieu de leur travail, source inépuisable d’inspiration, qui marque définitivement leur œuvre.
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Galerie Berthet – Aittouarès
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18:00 → 21:00
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Vernissage
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— En présence du photographe pour signer son livre.
— Conférence d’Emilie Jouvin, à 19h30 : la photographie couleur dans l’œuvre de René Burri.
Galerie Esther Woerdehoff
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Maleonn utilise la photographie et les ressources numériques comme un pinceau magique. Certaines de ses séries photographiques sont recolorisées à la main en post production, d’autres immortalisent des installations et des performances dont il conçoit les costumes et les scénographies.
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Galerie Paris-Beijing
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Brook Andrew étudie ici des crânes d’aborigènes tasmaniens, véritables trophées symboliques d’une soi-disante « race en voie d’extinction ». Dans un style religieux, il les représente comme auraient été portraiturés des « saints » originaires de différents endroits du monde, qui seraient finalement devenus des sujets exotiques.
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Galerie Nathalie Obadia
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L’exposition réunit une douzaine d’artistes qui s’attachent au thème de la masculinité. À travers le médium photographique, mais aussi la vidéo, le dessin, la peinture ou la sculpture, chacun d’entre eux interroge tour à tour les représentations, les codes, les rites, les comportements ou les fétichismes liés aux formes et aux figures du masculin.
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Galerie Backslash
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Dans le Kudzu project, l’œil de la photographe suédoise Helene Schmitz observe et enregistre les phénomènes de la nature avec une conscience aigüe de l’éphémère. Retenir par la photographie est sa motivation majeure.
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Galerie Maria Lund
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Pour cette exposition, Adam Ball et Etienne de Fleurieu ont principalement travaillé le support du papier, que cela soit pour les grands découpages de Adam Ball, que pour les Shooting Symphonies d’Etienne de Fleurieu. Ces symphonies, une série sur laquelle de Fleurieu travaille depuis quatre ans, combinent la violence d’un tir de chevrotine sur le papier avec la poésie du dessin de notes de musique.
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Galerie Laurent Mueller
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Présentée pour la première fois en Europe, la série photographique haptic green de Naruki Oshima relève d’une recherche visuelle sophistiquée, combinant de manière inattendue précision et flou, à partir d’espaces à priori familiers permettant une appréhension inédite du monde.
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Galerie NextLevel
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Asako Shimizu nous réapprend ainsi à regarder et respecter la nature, nous rappelle quelle est notre place sur cette planète et, par là même, nous offre des instants précieux qui ont la clarté du cristal et la douceur enveloppante d’une nouvelle aurore.
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Galerie NextLevel
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L’exposition retrace l’histoire de « l’art d’orchestique » et ses relations avec la musique de Béla Bartók et de Joseph Kosma à travers des photos vintage des grands photographes de l’époque. Elle est le fruit du travail du Groupe de travail Histoire de la Photographie et Performativité de l’Institut de l’histoire de l’art de l’Académie hongroises des sciences.
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Institut Liszt, Centre Culturel Hongrois Paris
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Cette exposition regroupe un ensemble de dessins de Stéphane Guénier, de 2012-2013, ainsi qu’une série de peintures sur toile. L’artiste utilise les outils — règles, stylos bille, crayons de papier, gommes — mais retourne ceux-ci contre leurs destination première : dessiner, écrire, rendre intelligible.
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Galerie Djeziri-Bonn — Linard éditions
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Notre regard sur le monde a changé et celui des artistes aussi. La photographie The Tower of Babel : the Accident de l’artiste Du Zhenjun témoigne de cette évolution tant par son sujet que par sa forme ou son procédé de fabrication. L’accident y apparaît « universel », tel celui annoncé par Paul Virilio qui l’attribue à la vitesse comme au progrès.
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Galerie RX
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Cette exposition se concentre sur l’aspect périphérique de la performance, l’avant, l’après, le potentiel, la simultanéité ainsi que la filiation et la postérité d’une action performative. Les artistes exposent chacun une certaine position envers l’acte performatif provenant de médiums variés.
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Galerie Allen
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L’exposition relate l’histoire exceptionnelle d’une passion, celle qui a uni pendant plus de cinquante ans Brassaï, l’écrivain, le photographe, le cinéaste, aux coins et recoins de la capitale mais aussi à tous ceux qui ont fait la légende de Paris — intellectuels, artistes, grandes familles, prostituées et vauriens.
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Hôtel de Ville
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Un ensemble d’œuvres majeures sont présentées dans cette exposition — dont certaines inconnues du public français — couvrant une période clé dans le travail de Niki de Saint Phalle, celle où la jeune femme intègre le mouvement du Nouveau Réalisme.
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Galerie G-P & N Vallois
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Sandra Lorenzi présente Humor Melancholicus, une proposition teintée d’humeur, d’humour et de mélancolie faisant écho à l’esprit de ses nouvelles œuvres. L’artiste fabrique des mondes, déploie des formes archétypales et originelles, entre histoire et philosophie, connaissance et imaginaire, comme des antichambres du réel.
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Shila Khatami s’inspire d’une histoire moderne de la peinture abstraite, de l’observation de la vie quotidienne, des signes de la rue, de l’esthétique punk et du graffiti. Elle utilise ici la plaque d’Isorel — sa volonté étant de se défaire de la posture héroïque du peintre et de son attribut mythique, la toile tendue sur châssis.
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Galerie Samy Abraham
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Asim Waqif puise son inspiration dans notre environnement construit. Particulièrement attentif à la recherche sur les matériaux, aux politiques de développement urbain, et à la question du rebut, il fait appel à différents media — vidéo, installation, photographie, sculpture. Le jeune artiste présente pour la première fois son travail en galerie, en France.
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Galerie Templon
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Le Gymnase nihiliste est une assemblée de spectateurs chargée d’examiner plusieurs projets d’art vivant destinés à voir le jour. Ce dispositif propose une réflexion sur les conditions et les formes d’existence d’une œuvre — notamment sur ce qui différencie sa forme conceptuelle de sa forme matérielle.
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CAC Brétigny
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Devenu le modèle immuable de tous ses tableaux, le portrait Yue Minjun est sans cesse réinterprété, parfois démultiplié, dans des compositions qui alternent éléments grotesques et poétiques. La nouvelle exposition à la Galerie Templon met en avant le thème de la vanité et celui de l’autoportrait.
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Galerie Templon
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Connu pour ses toiles bicolores, Peter Joseph a introduit dans ses travaux récents un changement dans l’improvisation de la composition, « résultant de l’expérience », où la touche devient à la fois dynamique et lâche, laissant en de nombreux endroits des zones non peintes, créant ainsi un nouvel espace, une émotion.
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Galerie Bernard Bouche
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La peinture de Maude Maris possède une certaine qualité de silence : silence du « faire », dont le geste s’emploie à effacer ses propres traces ; silence polaire de sa lumière enveloppante et de ses tonalités douces ; silence enfin de ces espaces cloisonnés, uniquement peuplés de volumes blancs ou colorés, à la fois étranges et vaguement familiers.
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Galerie Isabelle Gounod
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La photographie n’est pas la réalité, mais un langage puisant dans cette dernière. Un langage aboutissant à une représentation, à un sens, auquel l’artiste Sofia Borges s’intéresse en ce qu’il est possible de le subvertir et de le manipuler.
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Galerie White Project
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« Le terme « Standard and poor’s » incarne selon moi de manière globale, les valeurs de notre monde actuel sur un plan économique, politique, social et historique. Je lis dans ce titre générique la possibilité de penser une esthétique formelle jouant au sens littéral des notions de standard et de pauvreté » — Julien Creuzet.
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Galerie Dohyang Lee
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« La peinture n’est pas juste de la couleur. C’est de la lumière et de l’air que j’essaie de poser sur la toile, de l’ombre et de la lumière… Je tente de peindre l’atmosphère, de peindre la lumière elle-même » — Peter Joseph.
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Galerie Bernard Bouche
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Depuis bientôt soixante-cinq ans l’association Jeune Création, collectif d’artistes, est au service de la création émergente. Cette année encore, cinquante-six projets orignaux d’artistes sélectionnés investissent les Ecuries et reflètent la diversité des pratiques actuelles.
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Le Centquatre-Paris
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Artiste farouchement épris de liberté, peu soucieux de l’air du temps et peu enclin aux courbettes relationnelles, Pierre Jahan a composé en secret des morceaux majeurs dans les différents registres que son tempérament le poussait à explorer, en abordant sans vergogne et avec dextérité toutes sortes de fantaisies créatives, qu’il s’agisse de bousculer sujets, formes, techniques, ou mises en jeu esthétiques.
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Galerie Michèle Chomette
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Servies par une écriture photographique personnelle, qui s’appuie sur le noir et blanc, beaucoup des images de Sebastião Salgado sont devenues des icônes dont la beauté plastique est toujours enrichie de sens. L’ensemble parle, avec respect, de la juste place de l’homme dans la vie et la société.
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Polka Galerie
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14:00
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Visite
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— Rendez-vous à 14 h à la Maison populaire pour assister à la visite commentée de l’exposition « La Méthode des lieux » par Anne-Lou Vicente, Raphaël Brunel et Antoine Marchand, commissaires en résidence, en compagnie de l’artiste Guillaume Constantin.
— Suite du parcours à La Galerie, Centre d’art contemporain de Noisy-le-Sec à 15 h 30 pour la visite guid…
Maison populaire
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14:00 → 16:00
Le Gymnase nihiliste est une assemblée de spectateurs chargée d’examiner plusieurs projets d’art vivant destinés à voir le jour. Les membres de ce Gymnase, au nombre de dix, s’engagent dans un processus de travail collectif pour analyser les enjeux de chaque projet, la place qu’ils occupent dans le parcours de l’artiste et leur inscription dans le paysage culturel.
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Evénement
CAC Brétigny
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Pour le Louvre, Robert Wilson a choisi le titre Living Rooms car il transpose au cœur du musée le lieu où il vit, travaille, conserve et partage avec artistes et public ses archives aux Etats-Unis. L’exposition rend visible ses processus de création en réunissant une sélection d’objets qui constitue la matière première de son inspiration artistique.
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Le Louvre
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La démarche des spolia — ou remplois — rejoint celle de Sebastian Riemer qui, dans l’ensemble de son œuvre photographique, n’a de cesse d’extraire de leur contexte originel ses sujets pour les insérer dans un nouveau cadre.
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Galerie Dix9
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Pour sa 4e exposition personnelle à la Galerie Dominique Fiat, Rut Blees Luxemburg présente sa nouvelle série London Dust qui porte un regard sur la ville de Londres dont le centre financier est sujet à de rapides transformations.
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Galerie Dominique Fiat
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Conçue comme un carnet de recherches à ciel ouvert, Perceptions Successives met en relation des œuvres qui habitent l’espace, celui-ci étant appréhendé comme un lieu de travail et de connexions possibles entre différents objets. Nous sommes ici dans un atelier, pièce à vivre pour l’artiste qui y dépose ses trouvailles, ses idées, ses tentatives et autres essais.
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Jeune Création
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