Christian berst art brut — À propos — Slash Paris

La galerie christian berst art brut est reconnue internationalement comme un acteur de référence dans son domaine.

Active depuis bientôt 20 ans, elle a organisé près de 100 expositions, pour autant de publications bilingue.

L’intérêt croissant que le monde de l’art porte à l’art brut s’est récemment illustré par l’entrée, au cours des trois dernières années, de plus de cinquante artistes de la galerie dans les collections du Musée national d’Art moderne (Centre Pompidou), du MoMA, du Metropolitan Museum of Art ou encore du Boston Museum of Fine Arts.

En outre, depuis 2020, la galerie a effectué environ 700 prêts à certaines des plus grandes institutions muséales du monde — Fondation Prada, The Barbican Center, Museo Reina Sofía, Fondation Cartier pour l’art contemporain, Lafayette Anticipations, Palais de Tokyo, Centre Pompidou Metz, MAMC-Musée d’art moderne et contemporain, American Folk Art Museum — auxquelles s’ajoutent les biennales internationales d’art d’Athènes, de Shanghaï et de Berlin, ainsi que les Biennales de Venise de 2013 et 2017.

La même Biennale de Venise, lors de son édition 2024, fait d’ailleurs de « l’artiste brut » un « axe principal » comme le souligne son commissaire Adriano Pedrosa. Le Centre Pompidou, qui a ouvert en 2022 une salle d’art brut dans ses collections permanentes, prévoit d’explorer ce champ de l’art à travers une exposition d’envergure (prévue après sa réouverture, en 2027). Cette exposition sera précédée en 2026 d’une autre, à l’ambition comparable, dans le Grand Palais tout juste rénové. La galerie aura alors consolidé sa contribution à l’émulation théorique qui anime désormais l’art brut, et que signale le documentaire La folie art brut, coproduit par le Centre Pompidou et diffusé par Arte en 2023. Parmi ses actions majeures : une présence renforcée dans les grandes foires internationales, dont Paris+ par Art Basel, Paris Photo, artgenève, ARCOmadrid, et l’Independent Art Fair.

En 2020, la galerie a ouvert un second espace — the Bridge — où des commissaires invités expriment leur vision d’un dialogue fécond entre l’art brut et d’autres catégories de l’art.