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Edito
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Nous sommes particulièrement heureux de vous présenter notre Newsletter. Vous y trouverez chaque mercredi le programme complet des 10 prochains jours, une sélection des expositions qui vont se terminer ainsi que les derniers portfolios d’artistes.
La rentrée artistique s’annonce riche en événements passionnants et nous nous ferons un plaisir de vous les présenter. La FIAC 2010 sera sur Slash, nous avons en effet le privilège d’être partenaires. Nous suivrons donc de près les grands moments de cette 37ème édition.
Nous espérons que vous prendrez autant de plaisir à lire cette Newsletter que nous en avons eu à la créer.
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Cette semaine à Paris
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– Voir l’agenda sur Slash
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Nicolas Guiet étend la notion de peinture à une troisième dimension. Ses peintures, réalisées à partir d’une toile et d’un châssis, intègrent l’architecture comme élément essentiel de sa création. Posées au sol ou accrochées au plafond, placées aux angles de deux murs, ses œuvres questionnent l’idée du tableau, en le pensant en terme de volume.
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Galerie Jean Fournier
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Entre ciel et terre, ou plus précisément entre nuages et boue, Bente Skjøttgaard œuvre depuis un moment au-dessus de nos têtes et sous nos pieds. Dans les nuages est la quatrième exposition de l’artiste à Paris. Elle est le fruit d’une recherche quasi-contradictoire pour fixer dans la terre cuite les qualités légères et éphémères des nuages.
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Galerie Maria Lund
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Cette exposition est un manifeste pour la ville repensée comme un écosystème global coopératif et symbiotique, utilisant les ressources actives du vivant à travers des projets démonstrateurs « bioniques ». Aujourd’hui, on se préoccupe de l’énergie, demain peu à peu les matières premières s’épuiseront car notre univers est en pleine mutation.
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La Galerie d’Architecture
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Extrêmement diversifiée, l’œuvre d’Arnaud Maguet interroge les fondements de la subculture des années 50 à 70. Partant en premier lieu de la sphère musicale, tout en croisant les films expérimentaux de Kenneth Anger ou Andy Warhol, le graphisme D.I.Y, la littérature undergound, le cinéma populaire.
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Galerie Sultana
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La galerie Catherine Putman, éditeur français de Georg Baselitz depuis 1997, dévoile « Big Night », une série inédite de 6 xylographies. Lors de sa première exposition personnelle en 1963 à la galerie Werner & Katz à Berlin, Baselitz provoque un scandale et certaines de ses toiles sont confisquées pour indécence.
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Galerie Catherine Putman
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La Galerie Alain Gutharc présente des céramiques et des peintures de Marlène Mocquet. Pour l’artiste, la céramique et la peinture sont deux pratiques qui se complètent, se nourrissent et s’enrichissent. Le travail en volume répond à la préoccupation de l’espace dans ses tableaux, au souci de la composition, de la perspective.
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Galerie Alain Gutharc
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Guillaume Pinard profite d’un retour à la galerie Anne Barrault pour se rappeler une pratique fondamentale, mise de côté par déviation et qui s’invite de nouveau dans la ronde de ses inclinations : la sacro-sainte peinture à l’huile. Le temps de cette nouvelle exposition, il oublie le noir et blanc râpeux de ses figures spectrales et agitées.
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Galerie Anne Barrault
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Plus que l’exposition des individualités qui se façonnent, Bad Romance est une interrogation vive sur la sculpture. Pascal Lièvre la soustrait à son socle, la dévoile de son drapé et n’en retient que le geste. Ce travail d’enlèvement, caractéristique de son œuvre, ramène les figures à leur minimum signifiant pour en exagérer la force évocatrice.
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GVQ – Vanessa Quang
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Pour sa troisième exposition personnelle à la galerie, Yazid Oulab poursuit sa réflexion sur l’Homme et la place qu’il tient dans notre monde au travers d’une série d’œuvres inédites intitulée : Les Confessions négatives.
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Galerie Eric Dupont
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La série Totems d’Alain Delorme nous plonge au cœur de la Chine contemporaine et de sa complexité. Sous le ciel bleu d’un Shanghai acidulé, les hommes traversent la ville charriant des amoncellements improbables. Ces colonnes précaires faites de cartons et de chaises apparaissent comme les nouveaux totems d’une société.
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Galerie Magda Danysz
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Des chiffres, des courbes, des tableaux, des indices, des sondages, des études, des fourchettes, des extrapolations, des synthèses, des conseils, des taux, des pourcentages, des ratios, des mails, des teasers, de la musique en ligne, des animations, des sons… Désormais rien ne s’explique, tout s’envoie, tout circule.
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Galerie Laurent Godin
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Jimmy Robert œuvre dans les domaines de la performance, de l’installation, de la danse, du théâtre ou encore de la photographie. Suivant un processus de flux continu, mais non-linéaire, ses œuvres questionnent les limites du langage et de la représentation.
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Galerie Art : Concept
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La technique remarquable d’Hervé Ic lui permet de décrire ses songes noirs Goyesques dans ces espaces métaphysiques faisant parfois penser à Tanguy. Sur un fond de couleurs saturées, telles des cartes postales trompeuses, le sujet se dissout dans la superposition d’autres sujets invitant le spectateur à composer une histoire.
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Galerie Eric Mircher
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L’exposition réunit objets typiques du quotidien et canons de la culture US dans un étrange ballet domestique. Une poubelle de rue et des casiers de classement bureautique sont les icônes du consumérisme ordinaire d’une mégalopole américaine comme Los Angeles. Ils constituent ces éléments usuels et usés qu’on ne regarde plus mais dont pourtant chaque détail conte un morceau de vie.
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Galerie Frank Elbaz
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Technique de composition sonore permettant de créer une retenue, la suspension à généralement pour effet de déclencher l’attente auprès de l’auditeur. En acoustique, il s’agit du microphone et de son système d’accroche permettant de réduire les chocs et la vibration. En droit, la suspension est une mesure disciplinaire qui interdit provisoirement l’exercice d’une fonction.
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Galerie Frédéric Giroux
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Agathe Snow a su ré-utiliser des mediums souvent récupérés à l’issu de ses errances urbaines pour exprimer le language du corps et sa résonance émotionelle. Son travail est basé sur des narrations relatant les problèmes environnementaux, les dysfonctionnements sexuels, la déchéance religieuse et morale et la désorientation physique.
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Galerie Hussenot
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Manipulant avec brio les effets et illusions d’optique, Pierrick Sorin excelle dans les jeux psychologiques d’inversions. Son dédoublement dans les auto filmages et les doublures qu’il utilise sont autant d’autoportraits ambigus : Prestidigitateur, personnage ectoplasmique dans ses théâtres optiques ou auteur d’activités étranges qui, faute d’entrer dans le rayon d’action balisé par l’Homo faber, pourraient bien s’apparenter à de l’art…
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Galerie Eva Hober
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A l’automne 2007, Gosha Ostretsov transformait la galerie Rabouan-Moussion en un Salon de beauté fortement imprégné de réminiscences de l’époque soviétique. Trois ans plus tard, l’artiste revient en proposant une salle commune réservée aux heavy patients d’une hypothétique clinique.
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Galerie Rabouan Moussion
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Chaque année, au mois de septembre la galerie Martine & Thibault de la Châtre, en collaboration avec David Rosenberg (auteur et commissaire indépendant) vous donne rendez-vous avec une exposition consacrée à de jeunes artistes contemporains. On y retrouve les « macropopes » de Pierre La Police, les « petits riens » de Wang Taoran et Wu Wenwen, les matières naturelles périssables de Charwei Tsai…
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« À la façon d’un apprenti archéologue, je m’emploie à sonder les strates des constructions de l’homme et de son environnement ». D’amorces de récits autour de distorsions, d’assemblages, de recompositions de lieux et d’aventures, naissent des dessins de paysages architecturaux, urbains, ruraux, maritimes ou imaginaires…
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Galerie Mitterrand
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L’exposition de la Fondation HCB, rassemble plus d’une centaine de tirages noir et blanc réalisés par l’auteur. Cette présentation permet de découvrir les thèmes de prédilection du photographe — la ville, sa famille et la nature, trois axes intimement liés à sa vie personnelle, qui vont se conjuguer jusqu’à la fin.
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Fondation Henri Cartier-Bresson
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Koos Breukel procède par empathie et choisit des êtres que la vie a obligés à réagir. Il construit ainsi, dans un face à face émotionnel, une représentation qui traduit davantage une situation qu’une identité. Portraits existentiels si l’on veut, auxquels se raccrochent souvent une histoire, un conflit, une blessure.
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MEP
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La Maison Européenne de la Photographie présente une rétrospective des autoportraits de Kimiko Yoshida. La série des « Mariées célibataires » trouve son point de départ dans l’enfance de Kimiko Yoshida. Elle reflète la hantise de la petite fille qui découvre le destin humilié de sa mère, soumise à un mariage arrangé.
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MEP
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L’univers de Fabien Chalon ne cède pas à la tentation de la prouesse technologique qui se met au service du détournement poétique de l’objet. Pour captiver notre attention, l’artiste déploie des trésors d’ingéniosité. Les tours de magie s’enchaînent comme pour mieux tenter de retenir la fraîcheur de l’instant qui s’éloigne peu à peu et se transforme déjà, sous l’effet du temps.
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MEP
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Le Petit Palais, qui s’ouvre à l’univers de la photographie et de l’image contemporaine depuis 1998, soutient Reporters sans frontières, à l’occasion de ses 25 ans, en exposant son album anniversaire consacré à Pierre et Alexandra Boulat.
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Petit Palais
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Réunis librement autour du titre de la vidéo de l’artiste suédoise Ulrika Byttner Even in Paradise apples might be rotten, Manon Bara, Max Boufathal et Piotr Baran, ont fabriqué une sorte de cadavre exquis en accentuant la particularité de leur propre médium.
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Galerie Isabelle Suret
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« Il y a un an j’ai été parachuté à l’arrière des lignes ennemies, j’y ai vécu plusieurs vies. C’est un monde d’une banalité troublante et édifiante, où des isolats de nature persistent, en dehors desquels, tout, sous couvert des apparences, est dirigé vers le front. Cet ennemi est la mort » Bruno Perramant
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Galerie In Situ
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Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Lelong, Barthélémy Toguo a créé une sorte de théâtre invitant le spectateur à entrer dans sa perception du monde. Dans cette mise en scène, l’œil est aussitôt capté par des milliers de salamandres en porcelaine qui ont envahi, du sol au plafond, les vastes murs blancs de la galerie.
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Galerie Lelong & Co
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Pour sa première exposition à la Galerie Bendana-Pinel, Irit Batsry a choisi de passer le mois d’août « en résidence » à la galerie, s’en appropriant l’espace pour créer une installation de grande échelle sur les vitrines et une installation vidéo transformant l’espace en un dispositif de surveillance.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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Dans le prolongement des recherches menées par les artistes, les différents éléments de l’exposition (une vitrine archéologique, une nouvelle méthode d’inventaire balisant les sous-sols, un livre à exemplaire unique), invitent à s’intéresser à une pratique de la collection et à une certaine archéologie du savoir.
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Galerie Marcelle Alix
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Un trio incontournable de la scène artistique contemporaine américaine réunit par agnès b. dans un lieu qui n’a jamais eu froid aux yeux et leur a toujours été fidèle. Ce n’est pas un hommage qu’agnès b. a voulu rendre à Dash Snow, elle a plutôt imaginé de faire vivre ses dernières œuvres au milieu de celles de ses amis et pairs.
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Galerie du Jour - Agnès b
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Combinant le style sauvage du graffiti au geste de l’action painting et la picturalité de l’expressionnisme abstrait au dessin pop, Joyce Pensato détourne l’imaginaire du cartoon américain. Toutes ces figures familières sont triturées, réduites à leur plus simple expression par de grands traits qui sont autant de balafres sur ces icônes enfantines.
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Galerie Anne de Villepoix
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Before and After, proposée par Bill Cournoyer, empreinte son nom a une série de toiles de Andy Warhol datant de 1961, montrant une femme de profil avant et après qu’elle se soit fait refaire le nez. Selon Arthur Danto, ce changement représente « le rêve qui hante tellement de gens préoccupés par leur apparence physique, et prêts à la modifier dans le but d’être plus beau. »
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Galerie Balice Hertling
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Le titre de l’exposition, fait appel en premier lieu au processus presque archéologique utilisé par Isabelle Ferreira sur ses grands dessins par lequel elle gratte et élimine au moyen d’un cutter les différentes couches du papier épais pour n’en faire subsister qu’une peau de papier.
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Galerie Schirman & de Beaucé
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« Eh bien oui, j’aime ce désert, et les cyclones, et la neige grise des sauterelles, la nature sauvage, les tribus sauvages. Nous vivons la légende, la vieille légende terrible des misères et de l’ombre, et tout là-bas à l’horizon, c’est l’aurore d’une ère nouvelle. » Louise Michel in Légendes et chants de gestes canaques, 1874
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Galerie Crèvecoeur
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