Magazine
|
– Voir le sommaire du Magazine
|
|
Entretien
Depuis 2004, Mathieu Copeland développe une réflexion curatoriale remarquée et identifiée. Invité par Marta Gili à s’emparer de la 6e édition de la programmation Satellite du Jeu de Paume, il articule pour l’occasion un double cycle de quatre expositions et de quatre publications qui sont, à l’image de sa démarche, ambitieuses et référencées.
Lire la suite
|
|
|
Cette semaine à Paris
|
– Voir l’agenda sur Slash
|
|
|
Claude Lévêque n’est pas un photographe mais un artiste qui photographie tout le temps, plus que les photographes peut-être, plus que les peintres-photographes certainement. Ce qu’il enregistre est à la fois drôle et terrible, aigu et poétique.
|
MEP
|
|
|
Si André Morain est au service de l’art, il est aussi et surtout au service de la photographie. Son oeil aux aguets, furtif et incisif, saisit à la volée les moments forts d’une scène artistique qu’il immortalise et nous restitue. Il est la mémoire virevoltante d’une époque à laquelle l’humour et parfois l’impertinence donnent le « la ».
|
MEP
|
|
|
Les parois de l’installation d’Atsunobu Kohira rappellent la forme des cocons. Cette enveloppe d’aspect soyeux est traversée par l’arrière d’une lumière blanche. Le spectateur une fois à l’intérieur se trouve englobé par l’installation, où une immersion sensorielle est privilégiée. L’œuvre le sollicite physiquement et psychologiquement.
|
MEP
|
|
|
Gustavo Speridião crée des fictions réelles de la vie post-moderne. Il nous met face à cette grande archive globale qu’est le monde. Ses images font le portrait de ce monde où partout se mêlent le désir, le vertige, la frustration, l’enthousiasme, en un mot, tous nos sentiments cachés par les grands médias et par leur stratégie de construction d’un bonheur artificiel.
|
MEP
|
|
|
Après Jonas Mekas et José Luis Guerin, c’est au tour d’Albert Serra et de Lisandro Alonso de se prêter au jeu de la lettre filmée dans le cadre du cycle « Cinéastes en correspondance ». Brève mais radicalement libre, la correspondance que les deux cinéastes ont entretenue a pris la forme de deux films qui seront présentés aux spectateurs lors des deux rétrospectives.
|
Centre Georges Pompidou
|
|
|
L’intervalle envisage la transmission à travers un ensemble d’œuvres intégrant la question des techniques de diffusion d’un message, d’un savoir, d’une expérience ou d’une fiction. Elles témoignent d’un déplacement géographique et historique voire narratif, dans l’intervalle duquel tout ou partie d’un contenu est susceptible d’être transformé, altéré, parfois perdu.
|
Maison populaire
|
|
|
Loué par ses contemporains, admiré et copié, Giotto di Bondone est l’auteur d’une révolution picturale sans précédent. Cette mutation radicale n’est pas seulement d’ordre stylistique, elle s’explique aussi par une attitude différente vis-à-vis du monde sensible que l’artiste entend restituer dans sa diversité et sa réalité tridimensionnelle.
|
Le Louvre
|
|
|
« Ce qui ressort de la plupart de mes tableaux est une lutte sans fin pour le pouvoir ; un changement de rôles permanent entre la supériorité et la soumission, sans jamais savoir qui est capable de maltraiter et qui accepte d’être maltraité » — Vasilios Paspalis.
|
Xpo Gallery
|
|
|
À partir de maquettes d’architecture et d’urbanisme, de films d’animation et de diaporamas, l’exposition analyse les circonstances dans lesquelles se sont développées, des années soixante à aujourd’hui, des villes du Japon et d’ailleurs, ainsi que les caractéristiques de l’actuel Tokyo.
|
Maison de la culture du Japon à Paris
|
|
|
Créée en 2009 par Antoine Lefebvre, La Bibliothèque Fantastique est un projet éditorial pensé comme une œuvre d’art. Quatre ans après son lancement, cette exposition est l’occasion de découvrir des maquettes originales, des œuvres dérivées et la centaine de livres produits par les artistes.
|
Immanence
|
|
17:00 → 21:00
|
Vernissage
|
Depuis le milieu des années 1990, Lara Almarcegui s’intéresse aux interstices urbains et suburbains : terrains vagues, souterrains, ruines et chantiers, autant d’espaces habituellement ignorés qu’elle étudie avec rigueur pour en transmettre l’expérience.
Le Crédac
|
|
|
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, avec le Cenquatre, consacre une rétrospective de grande envergure à l’artiste américain Keith Haring (1958-1990). Cette exposition permet d’appréhender l’importance de son œuvre et plus particulièrement la nature profondément « politique » de sa démarche, tout au long de sa carrière.
|
Le Centquatre-Paris Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
|
|
|
Ivry-sur-Seine est une ville en pleine mutation, aujourd’hui à l’aube de grands chantiers de développement qui en redessinent les contours et les usages. Invitée dès 2010 à mener une recherche sur le territoire, Lara Almarcegui s’est orientée sur la réalité souterraine de la ville. L’exposition rassemble ainsi une sélection de projets de l’artiste.
|
Le Crédac
|
|
|
Avec l’exposition La mécanique des interstices, Jennifer Caubet conquiert l’espace de La Maréchalerie et transgresse les échelles. Ses œuvres sont une référence permanente à l’architecture tant par l’utilisation de matériaux de construction — bois, métal, béton — que par ses formes et les espaces qu’elles occupent.
|
La Maréchalerie
|
|
|
Le dessin, léger ou appuyé, le collage simple ou stratifié, le mot commun ou poétique, la maquette intuitive ou d’étude mais aussi les extraits d’une rencontre, d’une lecture, les objets chinés au hasard et conservés pour leur beauté expressive ou leur histoire sont autant d’outils que Fabienne Bulle se plaît à manipuler pour traduire sa pensée architecturale.
|
La Galerie d’Architecture
|
|
|
Prerecorded Universe, dont le titre évoque les cut-ups faits de bandes magnétiques, métaphores d’un monde préenregistré, présente des créations récentes d’artistes qui réactualisent l’investissement de Brion Gysin à contester une réalité. Les perceptions sensorielles du temps et de l’espace y sont mises à mal, déjouées et recomposées.
|
ENSAPC YGREC
|
|
|
Le dessin est une composante essentielle de l’art dans l’Égypte ancienne. Point de départ dans l’élaboration des autres techniques artistiques comme la peinture, le relief, la ronde-bosse, les arts décoratifs et l’architecture, le dessin est l’art du contour : dessinateurs et peintres sont usuellement désignés comme « ceux qui tracent les formes ».
|
Le Louvre
|
|
18:00 → 21:00
|
Vernissage
|
Suite au workshop sous la direction des commissaires Eric Maillet et Jinsang Yoo, les étudiants de l’ENSAPC et de l’Ecole Kaywon, en Corée, réalisent des performances. Celles-ci sont envisagées comme un des héritages possibles du cut up et des permutations inventés par Brion Gysin.
ENSAPC YGREC
|
|
|
La série d’images Overland a été réalisée par Anne-Valérie Gasc et Gilles Desplanques au cours d’une résidence d’artistes commune à Maribor en Slovénie en octobre et novembre 2009. Ce travail consiste en un ensemble de découpages et collages à quatre mains, à partir de catalogues immobiliers des années 70.
|
Florence Loewy
|
|
|
Thomas Fougeirol voudrait nous faire voir la peinture pour ce qu’elle est — le moment où les images sont absorbées par les différents matériaux, cet instant où la matière se fige en son point d’impact et devient une métaphore de notre propre perception mentale. L’image nous reconnaît, non l’inverse.
|
Galerie Praz-Delavallade
|
|
|
Connu surtout pour ses interventions par lesquelles il souligne les contradictions de notre société contemporaine, Gianni Motti a toujours remis en question l’autorité, en utilisant le pouvoir que peut avoir l’humour de révéler des vérités. En regardant de plus près, au travers de son approche corrosive et de son scepticisme, se manifeste sa foi dans les qualités humaines de l’individu.
|
Galerie Emmanuel Perrotin
|
|
|
Jesper Just s’inspire de l’esthétique cinématographique de grands réalisateurs. Dans ses films énigmatiques, sans dialogues, la maîtrise des stratégies cinématographiques est au service d’une narration fondée sur une panoplie d’émotions humaines amplifiées par l’utilisation magistrale de la musique.
|
Galerie Emmanuel Perrotin
|
|
|
La Galerie Bernard Jordan présente les aquarelles des dernières années de Camille Saint-Jacques. Elles sont exécutées sur des feuilles 65 x 50 cm qui sont assemblées et qui déterminent le format, les plus grandes étant constituées d’un assemblage d’une dizaine de feuilles. « L’égaré c’est moi » — Camille Saint-Jacques.
|
Galerie Bernard Jordan
|
|
|
20:00 → 23:00
Cinq jours de performances au Générateur pour façonner ensemble une enfance adulte dans une cour de re-crée-action où l’ambition aurait moins les traits de la morbidité et de l’amour que ceux d’une histoire drôle : une profusion d’installations plastiques, d’événements scéniques, de mythologies synthétiques.
|
Le Générateur
|
|
|
Cette exposition évolutive est une manière de continuer à tisser le fil des idées de Julien Bismuth et Virginie Yassef — attirances et obsessions communes — à partir d’une fable dans laquelle le devenir animal fait écho à l’intérêt des deux artistes pour les expérimentations scientifiques, l’apprentissage, le rapport au corps et au langage et une certaine théâtralité.
|
La Ferme du Buisson
|
|
|
13:00 → 16:00
Annie Vigier & Franck Apertet
Pour la sortie officielle de la publication Imposteurs portant sur leur travail, les chorégraphes produiront la première monographie performée qui complète l’exemplaire dédié au CAC Brétigny.
L’ouvrage français et anglais est réalisé par les designers Vier5 et édité par le CAC Brétigny et Pierre Bal-Blanc
|
Evénement
CAC Brétigny
|
|
|
18:00
Mélange des langues : celle de l’architecte, celle des musiciens, celle du poète. Anne-James Chaton clôt sa résidence aux Soirées Nomades en mixant les paroles et les genres. La conférence, la lecture, le concert, la performance : de l’un à l’autre, et vice versa, la frontière est ténue.
|
Finissage
Fondation Cartier pour l’art contemporain
|
|
|
L’exposition présente dans les ateliers d’Ary Scheffer environ quatre-vingts esquisses, parmi les plus remarquables, prémices d’œuvres célèbres, variantes imaginées pour une même peinture témoignant des choix du peintre ou du commanditaire, ou projets qui n’ont pas abouti à un tableau achevé.
|
Musée de la Vie Romantique
|
|
|
L’exposition interroge voire conteste les méthodes de présentation avec lesquelles les œuvres d’art sont traditionnellement montrées. Incitant le public à devenir plus critique dans sa façon de regarder les expositions, elle l’invite à réfléchir sur le processus de décontextualisation de l’œuvre d’art et à questionner l’appropriation dont celle-ci peut faire l’objet.
|
Institut du Monde Arabe
|
|
– Voir l’agenda sur Slash
– Tous les événements en ce moment
|
|
|