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Cette semaine à Paris
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L’œuvre vidéo de Gotscho présentée à la Maison Européenne de la Photographie est une pièce d’angle, composée de deux films courts, conçus pour être projetés simultanément. Les deux films agissent par destruction et reconstruction complémentaires. Anouk Féral y incarne, dans chacun d’eux et dans l’ensemble, une seule et même figure.
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MEP
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La Maison Européenne de la Photographie présente 16 photographies en noir et blanc prises par l’ethnologue, documentariste et photographe Carlos Fausto depuis 2000, au cours de ses recherches auprès des Kuikuro, dans le Parc national de Xingu, au sud de l’Amazonie.
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MEP
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Le Tamis et le sable, La Méthode des lieux se structure autour de cette technique développée dans la Grèce antique permettant de mémoriser de longs discours. Élément-clé dans l’enseignement de la rhétorique et de la dialectique, elle consiste à projeter mentalement une architecture et à associer à chacune des pièces une image forte et symbolique.
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Maison populaire
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Alors que le Japon traversait une longue période de paix, les samouraïs de Kanazawa établirent avec succès leur propre culture. Cette exposition présente des armures, sabres et casques de guerriers. Elle fait cependant la part belle aux arts liés à la cérémonie du thé ainsi qu’au théâtre, avec de splendides masques et kimonos.
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Maison de la culture du Japon à Paris
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L’exposition retrace la carrière de Félix Vallotton au travers des thèmes qui l’ont inspiré, comme le portrait, le nu féminin, les scènes du quotidien, les paysages, les natures mortes ou les sujets mythologiques. Sous une apparence banale, lisse et froide des tableaux, le peintre dissimule une réalité trouble, des secrets de la vie intime, des drames et des silences.
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Les Galeries nationales du Grand Palais
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Anomalies est une fiction mettant en scène des personnages non identifiés dans des espaces qui portent les stigmates du monde industriel : bâtiment vides, pylônes électriques, traces et empreintes sur le sol. L’exposition est une invitation à l’errance ou chacun se raconte une histoire. L’histoire d’une adaptation, le moment ou l’anomalie devient la norme.
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Galerie Claude Samuel
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Cette exposition est consacrée aux sœurs de Napoléon Ier, Elisa, Pauline et Caroline, princesses et reines d’Italie. Trois personnalités différentes, mais toutes témoins privilégiés et actrices de leur époque. Tableaux, sculptures, mobilier, accessoires, bijoux et parures de cour matérialisent sous nos yeux les destins extraordinaires de ces trois femmes.
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Musée Marmottan Monet
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19:00 → 20:30
La fondation d’entreprise Ricard présente une monographie rétrospective de l’artiste Gerald Petit — une vue d’ensemble des ses travaux photographiques et picturaux, avec une conversation entre l’artiste et Laurent Montaron et un texte de Judicaël Lavrador.
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Rencontre
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Erwin Olaf a réalisé vingt photographies et une installation pour Berlin, sa dernière série. Elle comprend sept scènes, treize portraits et deux autoportraits. Berlin a été créée à l’occasion du prix Johannes Vermeer, qui fut remis à Olaf en 2011.
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Galerie Rabouan Moussion
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Explorant l’inconnu et l’indicible, Nicolas Boulard nous invite à travers cette exposition à un voyage au pays de ce qui échappe à la raison ; à un endroit où le rationnel n’agit que pour en laisser émerger sa part irrationnelle. L’artiste s’empare avec la même aisance et la même objectivité de la grande histoire comme de l’anecdote.
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Centre d'Art Contemporain Chanot CACC
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L’artiste Alicia Paz nous invite à déambuler au cœur d’une faune et d’une flore exubérante où mythes et légendes fantasques nous sont murmurés. Amalgames somptueux de peinture, papiers et objets trouvés, ces jardins insolites nous dévoilent son interprète: la figure féminine.
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Galerie Dukan
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Les installations de David Douard propagent dans l’espace d’exposition toute une population d’éléments hétérogènes et tentaculaires au point de coloniser leur environnement. Matières ou objets, éléments identifiables ou non se mêlent dans des assemblages bricolés, débarrassés du souci de la virtuosité technique, revisitant le « grotesque » comme forme esthétique.
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Les églises centre d'art de Chelles
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Dessins et Dessins Olympiques est la 1e exposition à Paris de Kristján Gudmundsson depuis sa participation à l’exposition inaugurale du Centre Pompidou en 1977. Chaque dessin est composé de 4 lignes horizontales en graphite et accompagné d’un objet d’athlétisme homologué par l’Association internationale des fédérations d’athlétisme en référence aux Jeux Olympiques.
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L’exposition Ça bouge de Jérémie Gindre, présente entre peinture et dessins, des séries de glissades de pierres, de formes, de trajectoires géologiques et de fictions historiques.
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Florence Loewy
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Considérant Paris comme un paysage plus que comme un simple décor, les artistes de cette Nuit Blanche proposent des happenings esthétiques, politiques et sensationnels, où le son, le mouvement, l’action et la relation à l’autre exaltent l’expérience de l’instant. Ce samedi 5 octobre, les œuvres privilégient la magie de l’éphémère propre à cette aventure nocturne unique.
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Evénement
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Artiste maintes fois primée et montrée dans des espaces publics d’art contemporain, Hee Won Lee développe une pratique artistique où se rencontrent vidéo, graphisme, son et installation. Faisant appel aux ressources des nouveaux medias et de la technologie, ses œuvres nous plongent dans un univers fragile et onirique gommant les frontières entre réel et virtuel.
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Galerie Dix9
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Cette série de présentations récupère l’idée de festivité comme moyen d’organiser le temps. Une fête mobile est en fait un jour de fête où sa date n’est pas fixée à une journée particulière du calendrier annuel mais qui change selon une computation. En inaugurant les samedis et en durant seulement 20 jours, chaque présentation s’inscrit dans une célébration cyclique.
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Galerie Campoli Presti
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« Se rappeler qu’un tableau avant d’être un cheval de bataille, une femme nue, ou quelconque anecdote, est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées » — Lina Ben Rejeb.
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Galerie Florence Leoni
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Tetsumi Kudo rend compte de la métamorphose de l’homme moderne au travers des notions de hasard, d’indétermination, de biologie, de sexe et de contrôle et interroge ce qui persiste de la liberté humaine dans notre société d’aujourd’hui : la place de l’inné, de l’acquis et celle du programmé. Il jette ainsi les bases de ce qu’il appellera « une nouvelle écologie ».
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Galerie Christophe Gaillard
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Les photographies de Simone Kappeler nous plongent dans un univers de sensations, une représentation personnelle de ce qu’étaient les Etats-Unis il y a trente ans. Le photographe français Philippe Monsel présente en parallèle une autre image de l’Amérique, cette fois conceptuelle et très contemporaine.
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Galerie Esther Woerdehoff
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19:00
« L’enromancement de la crise » : Michel Maffesoli invite Gaspard Koening, écrivain, ainsi que Aurélien Fouillet, chercheur au CEAQ, pour cette première conférence des Invitations à l’Imaginaire.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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