|
|
Inception Gallery présente le travail de la peintre Corse Monique Orsini et de l’artiste et architecte Marc Fornes, auteur d’un nombre impressionnant de structure organique et autosupportées à mi chemin entre art et architecture.
|
Inception Gallery
|
|
|
« Les œuvres murales d’Armanious convoquent des fragments qui articulent la valeur et les efforts de l’espace. À travers une structure apparente et la coopération matérielle des objets, elles semblent nous dire : « venez voir derrière nous ». Et maintenant, avec des petites lampes torches, nous voudrions nous glisser furtivement à l’intérieur des cavités murales » — Patrick Hartigan
|
Galerie Allen
|
|
|
Intitulée Circulation intérieure, cette exposition regroupe une dizaine de toiles qui ont toutes pour unique sujet la maison où vit l’artiste. On retrouve des lieux familiers — or, cette modeste maison, bâtie à la fin du XIXe sur les hauteurs de Saint-Cloud, entourée par un jardin, n’est qu’un prétexte pour parler d’autre chose : de la peinture elle-même.
|
Galerie Jean Brolly
|
|
|
The Secession Sessions sont conçues comme une série d’invitations, initiées par l’artiste Eric Baudelaire, afin d’interroger la nature fictionnelle de la construction d’une nation à travers l’histoire particulière de l’État sans État qu’est l’Abkhazie.
|
Bétonsalon - Centre d'art et de recherche
|
|
|
La galerie Almine Rech est heureuse de présenter _The Lovers,_ la première exposition personnelle de William J. O’Brien à la galerie et en France.
Précédant une importante rétrospective du jeune artiste américain au Museum of Contemporary Art de Chicago, l’exposition rassemble une série de sculptures en céramique r…
|
Galerie Almine Rech
|
|
|
« En travaillant avec la technologie, il explore visiblement la nature paradoxale des effets tactiles du réel, révélant la possibilité d’une innervation technologique et rappelant une honnêteté transparente de l’image comme tentative d’imitation. » — Laura Preston, à propos de Paul Czerlitzki.
|
Galerie Laurent Godin
|
|
|
L’exposition The Pink Spy, s’inspire de l’œuvre de Giambattista Tiepolo : la fascination pour l’artiste italien du XVIIIe siècle incite Narcisse Tordoir à entamer une série d’œuvres de grands formats s’inspirant de la thématique et de la taille de deux séries de gravures de Tiepolo.
|
Galerie Dukan
|
|
|
L’exposition rassemble des œuvres de Sarkis, autour de la couleur blanche. Avec justesse et précision, l’artiste investit la galerie à la manière d’un compositeur de musique. En agençant les œuvres comme des sons dont il module les intonations formelles à travers l’accrochage et la participation du spectateur, Sarkis propose une partition dont l’écho est éloquent.
|
Galerie Nathalie Obadia
|
|
|
Pour sa seconde exposition personnelle à la galerie Almine Rech, l’artiste californien Joel Morrison présente un nouvel ensemble d’assemblages en acier inoxydable. Un cadre conceptuel inébranlable est joint à des objets du quotidien et enchâssé dans des extérieurs lisses et raffinés.
|
Galerie Almine Rech
|
|
|
19:00
Cette séance Poésie Plate-Forme propose une rencontre exceptionnelle entre Marie-Thérèse Allier, fondatrice et directrice de la Ménagerie de Verre, lieu exemplaire de la création contemporaine chorégraphique en France depuis trente ans, et Jérôme Bel, le plus célèbre, « révolutionnaire » et inventif des chorégraphes de sa génération.
|
Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
|
|
|
Les artistes participent à la construction ou la reconstruction de récits liés à une histoire personnelle et/ou collective, à travers leurs archives, mais aussi celles de leurs familles ou d’inconnus. Certains sont à la recherche d’une vérité, d’un éclairage sur une histoire spécifique, d’autres s’emparent des images et du texte pour générer de nouveaux récits.
|
Galerie 22,48 m²
|
|
|
À l’occasion de la présentation de « Something in a box » 62 cartes de Robert Barry seront présentées hors de leur boîte, formant une frise déposée sur le haut des cimaises de la galerie. Cette frise rappellera le premier studio de Robert Barry à New York, utilisé avant son installation par une communauté religieuse.
|
Galerie michèle didier
|
|
|
L’exposition met en résonance des matériaux visuels, des supports et des objets sonores issus de la performance inaugurale, qui témoignent tous de la recherche d’un geste poétique concentré : une seule image, résidu. Ainsi, une constellation mouvante de phénomènes dispersés émerge venant former le spectre d’un paysage mnémonique.
|
Galerie Nivet Carzon
|
|
|
Convoquant les énergies vitales de l’art optique et du punk, cette exposition réunit quatre artistes qui travaillent les résonances lumineuses ou sonores. Une poétique de l’apparition, opposée aux esthétiques et politiques de la ruine.
|
Plateforme
|
|
|
Didier Demozay montre pour cette nouvelle exposition un ensemble de peintures de formats différents ainsi que des travaux sur papier. La toile représente pour lui un champ d’expérimentation plutôt qu’un champ de représentation dans lequel la couleur prime. Pour l’artiste, une toile n’est jamais terminée. Le visiteur regarde une toile en train de se faire, in progress.
|
Galerie Jean Fournier
|
|
|
Reprenant le titre d’un article de 1953 du journaliste Arthur Guy Mathews, partisan de la Guerre Froide, ce projet explore les liens historiques et idéologiques entre l’anti-communisme et l’homophobie aux États-Unis, ainsi que les recoupements entre le communisme et l’identité sexuelle telle qu’elle s’est construite au cours du siècle.
|
Galerie Sator
|
|
|
Malgré une apparence assez banale, les matériaux utilisés par l’artiste Senga Nengudi ont diverses significations dans ses mains. Les limites corporelles et sociétales du corps de la femme sont abordées dans ces sculptures de collant. Etirés, remplis, noués et tirés, les collants se donnent des allures biomorphiques aussi belles que grotesques.
|
Galerie Anne de Villepoix
|
|
|
Artiste français né en 1976, John Cornu propose pour ce project room quelques sculptures « ready-made » présentées sur des socles : soit des billots de boucher achetés à des professionnels en fin de carrière ou décédés. Il s’agit d’hybrider des formes facilement assignables à une attitude minimale, tout en injectant une dose d’expressivité.
|
Galerie Anne de Villepoix
|
|
|
Kim Myeongbeom crée des atmosphères magiques et des expériences inhabituelles à travers des rencontres inattendues entre des objets de tous les jours, des créatures étonnantes et l’espace : un arbre qui flotte dans l’air, suspendu à d’innombrables ballons colorés, un cerf dont les bois deviennent branches, une ampoule remplie d’eau, où évoluent des poissons rouges.
|
Galerie Paris-Beijing
|
|
|
Black and White réunit des œuvres des artistes YZ, Nicolas Buffe, et JonOne ; trois univers différents dont les œuvres témoignent d’une approche commune. L’exposition offre non seulement trois regards insolites, mais aussi trois manières différentes de s’approprier le noir et blanc, à travers des œuvres contrastées, nuancées, pleines de poésie et de finesse.
|
Galerie Magda Danysz
|
|
|
Comment toujours regarderait-on ? Pourrait-on encore parler d’artistes ? et qui seraient les artistes ? et les regardeurs ? Ne verrait-on pas mieux le monde par les yeux des autres ? L’œuvre Le regard de chacun est cette fois-ci travaillée à quatre mains par Bruno Kladar et João Vilhena.
|
Galerie Alberta Pane
|
|
|
La galerie propose un accrochage de rentrée autour de trois artistes dont Bernhard Rüdiger avec une installation sur le son, quatre images de Marc Trivier de son voyage dans le Montana et un hommage au sculpteur Belge Raphaël Buedts.
|
Galerie Bernard Bouche
|
|
|
L’intervention in situ de Lionel Estève s’empare du lieu avec précision, simplicité et ampleur, dans une expérience renouvelée des espaces comme du lieu. Une douce chorégraphie s’opère par laquelle se rejouent avec bonheur les limites de la définition de la sculpture.
|
Les églises centre d'art de Chelles
|
|
|
Isabelle Lévénez dépasse la dualité du genre humain pour celle entre l’espace et le temps. Fil conducteur depuis ses débuts, le rapport féminin/masculin n’aurait plus lieu d’être car la disparition des corps, après une lutte acharnée, s’enfoncerait dans les flots d’un océan de sel.
|
Galerie Isabelle Gounod
|
|
|
L’exposition que propose la galerie White Project réunit des dessins français et européens, anciens et contemporains ; cette présentation est due au fait que l’ensemble des dessins ont un dénominateur commun : le lieu. Quelque soit leur époque, ils ont aussi une certaine permanence des formes et des lignes.
|
Galerie White Project
|
|
|
Sébastien Gouju jongle avec les mots, les techniques et les contextes. Sa nouvelle exposition est une réflexion sur le jeu basée sur deux rapports : celui entre l’homme et la nature, celui entre l’art et l’artisanat. Qui est domestiqué ? Qui est apprivoisé, par qui et par quoi ?
|
Galerie Semiose
|
|
|
Dans la continuité du soutien qu’elle apporte à la scène émergente brésilienne la galerie Bendana ⎮ Pinel présente « Janeiro », exposition des travaux de Pablo Lobato, Pedro Motta et Camila Sposati, qui mêle photographie et dessin contemporain.
|
Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
|
|
|
Dans un espace radicalement modifié, Stéphane Vigny présente, pour sa deuxième exposition personnelle à la Galerie Claudine Papillon, un ensemble monochrome de pièces d’une grande densité formelle et référentielle. Amusante — ou inquiétante — particularité de ce dispositif, ici la couleur est au fond, dans et sur les fonds, et le blanc domine dans les volumes et aplats exposés.
|
Galerie Claudine Papillon
|
|
|
Pensant ses œuvres comme des remèdes, Chai Siris conçoit des espaces silencieux ou ensommeillés, majestueux ou réflexifs, toujours propices à la remémoration. Aussi cette pratique n’est elle pas seulement documentaire mais profite au contraire régulièrement des accidents et des lacunes de la mémoire pour sortir des rets du réalisme et entrer dans la fiction.
|
Torri
|
|
|
Patrick Saytour fonde son travail sur une approche déconstructiviste de la peinture, ses codes, ses modes de production et de valorisation. Attaquant, avec une ironie jubilatoire, les prétentions essentialistes la grande métaphysique de l’art, et la mythologie du génie masculin héritée du modernisme, son œuvre repose sur une rhétorique de l’ornement et de la surface.
|
Galerie Valentin
|
|
|
« Ce qui arrêtait ces dames, c’était le spectacle prodigieux de la grande exposition de blanc. Autour d’elles, d’abord il y avait le vestibule, un hall aux glaces claires, pavé de mosaïques, où les étalages à bas prix retenaient la foule vorace. Ensuite, les galeries s’enfonçaient, dans une blancheur éclatante, une échappée boréale, toute une contrée de neige… » — Emile, Zola, Au bonheur des dames.
|
Galerie Jeanrochdard
|
|
|
En s’appropriant différents aspects de l’histoire industrielle et esthétique de l’architecture, Guillaume Linard-Osorio crée un monde dont l’homogénéité apparente se mue en formes et récits aux destins suspendus. L’artiste singularise des matériaux universels, emblèmes d’une mondialisation économique et esthétique.
|
Galerie Alain Gutharc
|
|
|
Melvin Edwards est un des pionniers dans l’art et la sculpture afro-américaine. Son travail reflète son engagement contre le racisme, la violence, le travail et les problèmes de la diaspora africaine. Il crée des sculptures composées d’objets du quotidien en acier soudé tels que pelles, pioches, couteaux et des pièces mécaniques pour créer de nouvelles formes.
|
Galerie Anne de Villepoix
|
|
|
Au-delà des rapprochements formels ou artistiques, cette exposition tente de présenter la manière dont ces cinq artistes continuent à résister à leurs contextes, avec leurs codes et leurs règles. Leurs travaux témoignent de cet héritage conceptuel comme ci celui-ci avait d’abord été un outil d’émancipation ramenant l’échelle de travail à celle du corps.
|
Gb agency
|
|
|
Le travail de Peter Laurens Mol manifeste une grande complexité conceptuelle, et comprend différents niveaux de perception ou de sens, et il ne privilégie pas de style ou de medium en particulier. L’artiste se compare souvent à un alchimiste dont les pratiques mystérieuses évoluent en des expériences visuellement stimulantes et chargées en émotion.
|
Galerie Farideh Cadot
|
|
|
Le photographe Thierry Ardouin part à la rencontre des européens en temps de crise. Comment vit-on avec et au-delà de la crise ? Comment influe-t-elle les trajectoires de vie ? L’expérience des générations précédentes apporte-t-elle des solutions ? Ce quotidien « contraint » permet-il d’envisager des perspectives, un futur ?
|
Le Forum
|
|