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Édito
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Grands noms, grandes ambitions, la rentrée des galeries parisiennes a de faux-airs de tour de chauffe avant l’effervescence du mois d’octobre et son cortège de foires… L’occasion idéale de sortir des sentiers battus pour aller découvrir les pépites cachées et amorcer la nouvelle saison de Slash, qui s’annonce déjà riche et passionnante. Lire la suite
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Cette semaine à Paris
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Armé de sa lourde chambre photographique en bois, Lewis Wickes Hine (1874-1940) fut un combattant acharné pour la justice sociale. Convaincu que la nécessité de la production industrielle asservit les hommes…
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Fondation Henri Cartier-Bresson
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Malinowska explore le monde, les cultures, voire l’absence de culture du centre des Etats Unis, avec une inquiétude passionnée : « Ce que je trouve fascinant dans le fait d’étudier d’autres cultures, dit-elle, c’est le sentiment de relativité que j’en retire, une relativité cosmique qui me dit que rien n’est définitif. »
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Galerie Taïss
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Lorsque Ana Mendieta meurt à New York en novembre 1985, cette jeune artiste de 36 ans n’est connue que d’un cercle restreint. Son œuvre radicale n’a été exposée que de façon relativement confidentielle depuis 1976 et c’est l’exposition du New Museum of Contemporary Art, en 1987 à New York, qui commence à mettre en lumière la force de ce travail.
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Galerie Lelong & Co
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La Galerie Lelong réunit ici un ensemble de dessins, collages et gouaches sur papier réalisés par James Brown, artiste américain né en Californie en 1951.
« Un art qui ne représente pas, qui ne décrit pas, qui n’invite pas […] mais qui tente de transmettre une présence, de perpétuer un mystère, un art qui vise à la justesse »
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Galerie Lelong & Co
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En costume cravate, « L’homme sans tête » de Marie Aerts est un être générique à caractère humain mais dont la physionomie même pose question. Proto-humain ou extra terrestre, cette figure récurrente dans le travail multiforme de l’artiste est un être sans passé ni avenir.
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Galerie Dix9
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La galerie présente les œuvres récentes de Peter Soriano, confrontant un ensemble de sculptures intitulé « Numbers » aux œuvres sur papier. Les « Numbers » s’articulent autour de la notion de thème et de variation et les dessins sont réalisés à la peinture à la bombe et reprennent la sémiotique new-yorkaise de marquage au sol.
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Galerie Jean Fournier
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Vanités de Géraud Soulhiol présente une collection de petits dessins sur d’anciennes sous-tasses, utilisant du café soluble comme medium. Ce travail s’est progressivement agrandi depuis son commencement en 2009, et propose une gamme extrêmement variée de sujets.
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Projective City
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L’Institut Néerlandais présente pour la première fois en France une grande monographie consacrée à l’artiste néerlandais Luuk Wilmering : installations, collages, photographies, dessins, peintures et livres d’artistes. Il étudie sans répit, et non sans humour, son identité personnelle et sa propre position en tant qu’homme et artiste.
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Institut néerlandais
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Gérard Garouste présente à la Galerie Templon un ensemble d’œuvres inspirées par le célèbre Faust de Goethe. Depuis longtemps concerné par l’empreinte du christianisme sur notre culture, le peintre a choisi d’explorer le mythe de Faust tel que Goethe le présente en 1808, celui d’un homme qui dispute son destin au Diable et à Dieu.
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Galerie Templon
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Pour son exposition à la galerie kamel mennour, l’artiste a choisi de présenter deux ensembles d’œuvres récentes photographiées dans un quartier populaire de Marseille : les Cours intérieures et les Grisailles, qui marquent toutes deux un tournant dans son travail en raison d’une plus large place accordée à l’architecture.
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Galerie Kamel Mennour
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La galerie dukan hourdequin est heureuse de présenter Remembering Disasters, première exposition personnelle en France de l’artiste tchèque Richard Stipl. Il ne s’agit pas cependant d’une rétrospective, l’artiste reprend et regroupe régulièrement d’anciennes installations dans de nouvelles configurations avec leur singularité propre pour chaque lieu d’exposition.
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Galerie Dukan
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19:00 → 23:00
Patrick Javault reçoit l’artiste Jim Shaw et Jean-Philippe Antoine, philosophe et critique d’art.
L’entreprise de Jim Shaw touche à l’histoire, à la politique et à l’anthropologie en révélant des trésors d’imagination et une prodigieuse liberté. Elle offre un tableau des Etats-Unis et de son inconscient, et agit comme un révélateur du culte de l’art.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Philippe Bazin présente ici deux séries de son travail photographique, témoignant de cette puissante relation entre esthétique et politique qui en fait le nœud. Antichambres d’une part, Les Présidents de l’autre.
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Galerie Eva Meyer
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Romain Bernini et Youcef Korichi exposent chacun un ensemble de nouveaux tableaux où la figure humaine apparaît exilée, perdue dans un maelstrom quasi psychédélique. Au premier abord, les tableaux des deux artistes semblent issus de traditions picturales bien distinctes, mais ils partagent un intérêt commun pour la représentation d’une figure humaine isolée.
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Suzanne Tarasieve
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L’enjeu du projet itinérant Open Books, est de réfléchir à la représentation et à l’exposition de l’objet livre. À l’image de sa première version présentée au Royal College of Art à Londres, les curatrices du projet, Charlotte Cheetham & Sophie Demay proposent une selection de livres, de projets et d’installations autour de cette thématique.
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Cneai de Paris
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Pour sa première exposition l’artiste brésilien Henrique Oliveira transpose au cœur de Paris la déliquescence dynamique des banlieues de São Paolo, sa ville natale. Oliveira parvient à libérer une série de formes, de textures et de couleurs pleines de vie, dont l’aspect organique est à la limite du parasitique.
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Galerie G-P & N Vallois
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Considéré comme l’un des meilleurs graphistes au monde Slavimir a aussi une facette de son œuvre plus personnelle, foisonnante et loufoque qu’il décline sous la forme de sculptures, objets improbables, tableaux… Le monde de Futro est un antidépresseur où tous les repères et les conventions visuelles sont chamboulés.
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Centre culturel de Serbie
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L’exposition réunit des travaux de provenances différentes. Elle comprend des œuvres très récentes, dans lesquelles, Anselm Reyle favorise des motifs figuratifs et concrets, dont les modèles se basent sur le principe du « paint-by-number » une méthode bien connue des enfants et des peintres amateurs.
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Galerie Almine Rech
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S’introduire dans un chantier en pause la nuit, déambuler à travers une ville désertifiée à cause de la crise, porter une attention rigoureuse aux sites abandonnés … Florimond Dupont, Ben Sandler et Elisabeth Czihak intègrent à leur démarche artistique l’exploration de lieux désactivés, fermés au public ou fatalement voués à une clôture imminente.
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Le 24 novembre 1951, le Jikken kōbō présentait sa première création collective, un ballet intitulé « La Joie de vivre » créé à l’occasion de la première rétrospective de Pablo Picasso à Tokyo. Soixante ans plus tard, Bétonsalon présente les recherches initiées par ce collectif japonais transdisciplinaire.
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Bétonsalon - Centre d'art et de recherche
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Reconnue parmi les leaders de sa génération, Lily Hibberd est une artiste conceptuelle pluridisciplinaire et écrivain. Sa pratique tourne autour de la question du temps, de la mémoire et du désir, le tout dans une approche contemporaine.
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Galerie de Roussan
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Mick Peter conçoit, pour sa deuxième exposition personnelle à la galerie Crèvecœur, une installation spécifique faisant écho à sa réflexion sur la réception et le devenir de la sculpture installée dans l’espace public. C’est cet usage public de la sculpture qu’il met ici en question, celui des spectateurs qui en deviennent, de bon gré ou non, des usagers.
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Galerie Crèvecoeur
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Les œuvres récentes présentées à la galerie Thaddaeus Ropac reflètent l’influence de la Chine, et plus particulièrement de Pékin. Depuis 2008, Not Vital travaille cinq mois par an à son atelier dans le quartier de Caochangdi. Il a découvert là-bas une créativité et un savoir-faire exceptionnels dans l’artisanat de l’acier.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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L’exposition rassemble différentes séries, dont une inédite, récemment réalisée à l’occasion d’une résidence à l’île de la Réunion. Dans ces nouvelles photographies, Laura Henno met en scène de jeunes migrants, figures d’une évocation historique de la colonisation de l’île et de l’histoire des déplacements de populations.
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CPIF — Centre photographique d’Ile-de-France
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Ici un halo de fumée devant le visage d’une femme matérialise le souffle vital, là une aberration visuelle souligne la fragilité d’un arbre en fleurs. L’œuvre de Sarah Ritter résiste à la seule volonté de circonscrire ou de dire, elle joue des paradoxes des affects propres à la condition humaine.
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CPIF — Centre photographique d’Ile-de-France
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Lors de l’inventaire qu’il dresse des lieux de pouvoirs à Paris, Nicolas Milhé retrouve la figure de la Marquise de Pompadour. Première locataire de l’Élysée, logée aux bons soins de Louis XV, la marquise fait paître dans les jardins du palais un troupeau de moutons aux cornes dorées, comme le veut la mode du « retour à la nature ».
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Galerie Samy Abraham
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A l’occasion de la parution du livre Peter Downsbrough: The Book(s) 1968-2010, Florence Loewy propose une exposition rétrospective, pour découvrir ou redécouvrir, l’œuvre imprimée de cet artiste conceptuel. Il appartient à cette première génération d’artistes qui a utilisé le livre comme médium à part entière.
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Florence Loewy
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Dans la continuité de Balkis Island, une île fictive née de l’amitié entre l’architecte Yona Friedman et l’artiste Jean-Baptiste Decavèle, la galerie Anne Barrault vous invite à leur deuxième exposition, …&, iconostases 25 i.s.
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Galerie Anne Barrault
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La série « Assembly Instructions » présentée à la galerie art: concept s’inscrit dans un corpus d’œuvres plus large qui comprend des performances, des conférences, des installations, l’écriture de pièces de théâtre et des enregistrements radiophoniques.
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Galerie Art : Concept
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Vincent Mauger est-il fasciné par les paysages les plus bucoliques de nos campagnes ou bien par les rendus glacés des dernières technologies numériques ? Est-il un personnage romantique dont les œuvres seraient autant de survols et de clichés de la surface de la terre, ou un géologue qui exploiterait minutieusement la moindre faille ?
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Galerie Bertrand Grimont
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C’est la première fois qu’Aleksandra Mir réunit un ensemble de ses dessins en France et c’est un événement. Plus rarement exposés que ses actions et ses sculptures géantes, les dessins sont sans doute la première forme, et la plus étendue, d’une démarche qui formule une vraie politique de l’espace.
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Galerie Laurent Godin
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La galerie présente une exposition de Deimantas Narkevičius. L’artiste considère l’Histoire comme un matériau vivant, une œuvre d’art, selon lui, peut toujours être lue comme un questionnement sur d’autres pratiques.
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Gb agency
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La galerie Alberta Pane présente la première exposition personnelle en France de l’artiste internationale Esther Stocker, qui investit totalement l’espace de la galerie. Esther Stocker travaille principalement l’installation et la peinture — les deux médiums étant intimement liés — dans une perspective abstraite et géométrique.
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Galerie Alberta Pane
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Catherine Melin investit l’espace dans sa globalité, par un dispositif complexe associant une série de dessins sur papier, des dessins muraux, deux vidéos et des structures linéaires qui redessinent le parcours du visiteur. Un travail qui s’appuie sur l’observation des modalités de mouvements du corps dans des espaces urbains qui le conditionnent.
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Galerie Isabelle Gounod
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Anne-Charlotte Depincé développe une peinture du recouvrement à partir d’images photographiques. La série Covers présentée à la Galerie Marie Cini nous propose un monde d’images à la dérive, de figures en voie de disparition. Images de guerre et d’enfance, dont le recouvrement impose une distance comme condition du deuil et du désir.
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Galerie Marie Cini
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L MD galerie invite en résidence les artistes Soraya Rhofir, Sandra Aubry & Sébastien Bourg. Ayant à disposition un studio et un atelier, ils travailleront sur leurs derniers projets et prépareront l’exposition de la rentrée.
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Galerie L MD
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« Don’t be cruel » nous ramène entre chien et loup. A l’heure où une sirupeuse chanson des années 60 peut subitement se mettre à dérailler. Alors qu’Elvis pousse discrètement au vice, notre part animale s’éveille, libérant les énergies telluriques et nous invitant à d’étranges rituels.
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GVQ – Vanessa Quang
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Les années passent, Jean-Luc Verna continue à vouer un culte à l’icône Siouxsie Sioux, puisqu’elle a changé sa vie à partir du moment où il la vit pour la première fois à la télévision alors qu’il était adolescent. Depuis, « La » Verna continue à sculpter son corps, ne cesse de le redessiner, de le corriger, de le décorer.
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Galerie Air de Paris
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L’exposition se prête comme expérience à l’hypothèse suivante : des objets du monde sensible peuvent, à travers l’utilisation qui en est faite par les artistes, se transformer en points de repère, en cairns. Ainsi « Cairns », à travers deux installations, propose un déplacement de la fonction habituelle de la galerie.
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Galerie 22,48 m²
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Pour sa première exposition, il sera question de confronter une diversité de motifs aux caractéristiques formelles surprenantes et intrigantes (galerie de taupe, conque géante, dent d’animaux sculptée…) ; des motifs que l’artiste se plaît à réinterpréter en jouant tout autant avec leur échelle qu’avec les potentialités de la matière.
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Galerie Semiose
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Pour sa première exposition à la Galerie chez Valentin, Luca Francesconi propose à travers une installation de sculptures et d’objets une réflexion sur le mouvement du soleil. Pensée à la fois comme élément naturel et symbole métaphysique, l’étoile solaire renvoie à l’infiniment grand et à l’infiniment petit.
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Galerie Valentin
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Dans la continuité de l’approche conceptuelle du cinéma de Melik Ohanian, « Days, I See what I Saw and what I will See », est l’expérience d’une représentation continue de l’espace et d’une représentation discontinue du temps. Les deux versions du film ont été tourné pendant 11 jours dans un Camp de travailleurs à Sajaa.
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Galerie Chantal Crousel
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Arts plastiques, vidéos-dessins font partis de l’univers de Fabiano Gonper. Il dessine des silhouettes et scrute les comportements physiques des êtres. A la manière des films muets, il dessine l’action sans les mots. Il s’interroge sur les circuits de l’art, les questions du pouvoir et de la politique.
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Galerie White Project
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Le projet de fenêtre japonaise associe trois artistes Soshi Matsunobe, Takashi Suzuki , Koki Tanaka dont les processus de création intègrent la réalisation et la production d’œuvres en plusieurs exemplaires comme une donnée intrinsèque de leur travail. Ici, la pratique du multiple est envisagée comme l’exploration du possible.
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GDM, Paris — Galerie de Multiples
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Jim Shaw fait partie de cette génération d’artistes américains qui a marqué la culture de la côte ouest des Etats-Unis du milieu des années 80 à aujourd’hui. Son œuvre est empreinte d’éléments issus de la culture Pop américaine et d’innombrables références à l’histoire de l’art.
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Galerie Praz-Delavallade
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Pour la société, Lüpertz a mis en avant une apparence de bohème aristocratique au discours provocant qui l’a tout à la fois révélé et masqué. En particulier la notion de génie qui pour lui supplée aux handicaps du talent. Génie est le mot par lequel l’artiste veut signifier l’histoire de ce début toujours repris.
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Galerie Suzanne Tarasieve, Marais
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Le travail de Candida Höfer se caractérise à la fois par son objectivité et sa distanciation. A la précision photographique, fait écho lʼâme des lieux, dont elle révèle toute la puissance. Lʼartiste à travers cette nouvelle exposition à la galerie Yvon Lambert, plonge le spectateur dans une certaine forme de contemplation du souvenir.
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Galerie Yvon Lambert
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Développant une pratique artistique de l’absurde et de l’éphémère, Vincent Ganivet crée des œuvres à partir de matériaux bruts, d’objets et de phénomènes quotidiens détournés de leur fonction initiale : ses sculptures en béton jouent sur le détail, la fuite et l’attente.
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Galerie Yvon Lambert
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Pour la première fois, l’artiste britannique Hamish Fulton a accepté de réaliser une marche destinée à faire l’objet d’une exposition dans une galerie parisienne. L’invitation de Romain Torri faite à l’artiste reposait sur la condition qu’il choisisse un site naturel en France et que la galerie produise l’ensemble du processus artistique.
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Torri
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La galerie Jeanroch Dard accueille la première exposition personnelle en France de l’artiste américain de Colin Cook. Les dessins de cette série sont le résultat d’une collaboration avec son ami Bill Shambaugh, qui ne se considère pas artiste. L’idée maîtresse de ce travail est de combiner les styles de deux mains très différentes.
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Galerie Jeanrochdard
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La notoriété, ou plutôt sa représentation, ne fonctionne qu’en tant qu’elle suscite le fantasme. Cette fabrique de fantasme est une fabrique d’images qui toutes obéissent aux mêmes procédés. L’image de la star est la star et en cela permet le fantasme et l’identification. C’est cela le motif du travail de Marc Turlan.
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Galerie Anne de Villepoix
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Jim Jones était un pasteur évangéliste connu pour la façon dont il a manipulé ses adeptes, tel un gourou de secte, pour les entraîner dans un acte ultime de foi. En employant le procédé du culte de la personnalité, il parvint à leur faire ingérer un cocktail empoisonné à base de cyanure de potassium, tuant au final une vaste majorité de sa congrégation .
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Galerie Sultana
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« Frédéric Léglise retranscrit des ambiances vécues mais semi-réelles par les moyens de la peinture. La liquidité rose et transparente des corps donne à la représentation une dimension fantomatique, sentimentale. Les corps flottent et les formes se détachent sur fond presque toujours blanc, comme inachevé. » Jill Gasparina
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Galerie Backslash
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A la faveur d’une série inédite de dessins à l’encre de chine et au café, et de sculptures en céramique émaillée, l’artiste Cameron Jamie donne naissance à une galerie de personnages à l’étrangeté élégiaque, presque poignante, paraissant nous interroger sur la nature de la condition de l’homme et sa destinée tragique d’animal social.
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Galerie Nathalie Obadia
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Giuseppe Gabellone associe souvent la sculpture à la photographie créant entre les deux langages un rapport de dépendance et d’ambiguïté. La première salle réunit un ensemble de 32 photographies et 14 bas-reliefs en aluminium placés à intervalle irrégulier. Dans la seconde salle, quatre sérigraphies sur papier révèlent des images sur verre.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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« Orchestra » sonne sous la direction de l’artiste Xavier Veilhan telle une polyphonie d’objets renouvelant la perception de l’espace de la Galerie Perrotin. Cet événement marque un tournant, les nouvelles formes présentées ne sont pas une négation des travaux antérieurs, mais plutôt inscrites dans leur continuité.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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A la fin des années 1990, Kirill Chelushkin découvre l’institut Livchitz. Ce club ré-interprète la pensée de l’historien d’art soviétique Michael Livchitz, ardent défenseur du réalisme socialiste, et critique des déviances formalistes du modernisme. Cette rencontre renforce l’artiste dans sa volonté de pratiquer un art tourné vers la réalité qui l’entoure.
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Galerie Rabouan Moussion
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Depuis les années 60, poète et artiste, non-art artiste, Tamas St. Turba résiste à tout système idéologique. Son acuité et liberté de pensée lui donnent une position particulière aujourd’hui. Cette œuvre polymorphe (actions, poèmes, environnements, dessins, photographies, films…) fait écho à de nombreux questionnements actuels.
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Level One
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Après une exposition inédite à Shanghai, le sculpteur chinois propose une sélection non moins singulière dans la capitale française. Tout sourire relate un ancrage conceptuel fort par l’exploration du bois et balise l’espace de la galerie par de fortes détonations inventives.
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Galerie Magda Danysz
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La galerie Xippas inaugure la saison 2011-2012 avec « There are two sides to every coin, and two sides to your face », la première exposition de son nouveau directeur Carlos Cardenas. Les artistes exposés proviennent d’origines géographiques variées et représentent un champ de pratiques esthétiques large : peinture, sculpture, installation, film…
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Galerie Xippas
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Selon ses habitudes, John Murphy artiste Britannique joue sur le thème de la similitude et de la différence — avec des matériaux existants tels que reproductions, photos de films anciens, cartes postales. Ses œuvres évoquent souvent la nostalgie, l’absence, la sexualité, avec une subtilité et un raffinement exquis de précision.
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Galerie Bernard Bouche
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À la différence du road movie, l’image reste fixe, et contrairement aux œuvres de Richard Long, personne n’a fait un seul pas. Chaque page d’Inside a Triangle téléporte le lecteur sur un nouveau chemin d’un nouveau pays. Ce livre d’artiste de Claude Closky contient 100 photographies de routes, sentiers, pistes, trottoirs et promenades du monde entier.
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Galerie michèle didier
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17:00
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Evénement
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The Crystal Maze II — Freeake Library
Catherine Guiral, Brice Domingues et Jérôme Dupeyrat proposent la seconde édition du Crystal Maze, dispositif de monstration et de discussion dédié aux livres, à l’édition, et à tout ce qui s’y rapporte.
Cneai de Paris
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Dans le cadre de son exposition annuelle dédiée à un artiste de la scène contemporaine, la galerie Tornabuoni Art est heureuse de présenter « Destinées », une exposition consacrée à l’œuvre de l’artiste canadien Louis Boudreault. L’exposition réunit 40 œuvres de grand format représentant des personnalités qui ont marqué le XXe siècle.
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Tornabuoni Art
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La Fondation présente la 13ème exposition du Prix Fondation d’entreprise Ricard. Sur une proposition de Eric Troncy avec Erwan et Ronan Bouroullec, Gaëtan Brunet et Antoine Espinasseau, Erwan Frotin, Corentin Grossmann, Adrien Missika, Loïc Raguénès.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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C’est par la sculpture et le dessin que l’artiste aborde l’intime, le corps et la sexualité. Qu’elles soient empilées, empalées ou adeptes du « bondage », les petites femmes sculptées de Caro Suerkemper empruntent à l’esthétique romantique des saynètes des biscuits de Sèvres, mais diffèrent tant par leur aspect glossy que par le propos érotique.
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Galerie Schirman & de Beaucé
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Cette exposition explore l’aesthetic movement qui, dans l’Angleterre de la seconde moitié du XIXe siècle, se donne pour vocation d’échapper à la laideur et au matérialisme de l’époque, par une nouvelle idéalisation de l’art. Peintres, poètes, décorateurs et créateurs définissent un art libéré des principes d’ordre et de la moralité victorienne.
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Musée d’Orsay
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Saluée dès sa première édition pour sa qualité, son originalité, son ambition et sa pertinence, Photoquai poursuit en 2011 sa mission d’origine : faire découvrir des artistes dont l’œuvre est inédite en Europe, susciter des échanges et des croisements de regards sur le monde.
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Quai de Seine
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Passé
Architecte et plasticienne, Elise Morin et Clémence Eliard captent les lieux et les non-lieux de ce monde en mutation où l’action humaine façonne étrangement la notion de paysage.
Depuis trois ans, elles collaborent afin de mener une recherche héritière de la tradition plastique occidentale paysagiste.
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Le Centquatre-Paris
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