Magazine
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Reportage
Performances, conférences, installations, concerts : le 12 avril, un Palais de Tokyo inédit convie le public pour trente heures de création plurielle. Près de cinquante artistes dévoilent durant cette entr'ouverture les coulisses d'un espace à l'épure transfigurée.
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Cette semaine à Paris
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J’ai proposé aux artistes de faire une pièce, une intervention, dans le lieu ou sur le support de leur choix, et que cette place soit une composante à part entière de leur travail. Le titre « Ça & là » insiste sur le couple objet (ou action) et place, tout en jouant avec les expressions délibérément irrésolues «çà et là» et « ceci cela ».
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Dans la plupart des cultures, des forces contraires structurent ou déconstruisent l’individu et se disputent l’univers : ordre et désordre sont au cœur du mouvement du monde. « Les maîtres du désordre » effectue un parcours entre vitalité et destruction, parmi les chefs-d’œuvre de collections anthropologiques et des installations d’artistes contemporains.
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Musée du quai Branly
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Artiste iconoclaste et singulier, Georges Tony Stoll marque son entrée dans la galerie Jérôme Poggi, en réunissant un ensemble important d’œuvres anciennes et nouvelles (vidéo, sculpture, photographies, dessins…) témoignant de la diversité de moyens avec lesquels cet artiste explore ce qu’il nomme lui-même le « territoire de l’abstraction ».
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Galerie Poggi
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Écrite comme une partition, l’installation de Raymond Gervais présentée à Rosascape fait dialoguer Debussy et Beckett en les resituant dans les derniers moments de leur création, lorsque tous deux s’interrogeaient sur l’éventuel échec de leur production, la manière de finir, et donc sur le « comment faire », puisque finir est encore faire quelque chose.
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Rosascape
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18:30 → 23:00
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Vernissage
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« Un envoûtement de l’Histoire » s’attache à la question des différentes versions qu’en offre le récit. Elle est ici rejouée, vivante et s’installe dans le présent encore chargée de ses fantômes.
Espace Khiasma
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Après « Trafic de Légendes », un premier mouvement consacré aux déplacements de la pratique documentaire vers le régime de la fable, « Un envoûtement de l’Histoire » s’attache à la question des différentes versions qu’en offre le récit. Elle est ici rejouée, vivante et s’installe dans le présent encore chargée de ses fantômes.
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Espace Khiasma
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Avant l’ouverture définitive le 20 avril, le Palais de Tokyo entrouvre exceptionnellement ses portes pendant 2 jours : un foisonnement d’événements, de concerts, de performances, de conférences et de spectacles, une intense vision accélérée et hallucinatoire de l’énergie qui va se déployer au Palais de Tokyo pendant les prochaines années.
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Evénement
Palais de Tokyo
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Avec « Tempo giusto », Genêt Mayor inscrit son œuvre à la croisée de la productivité et du rythme, de la cadence et de l’art, de la technique et de la créativité. Son usage de la peinture se déploie de manière modulaire, sérielle et géométrique, mais le dessin « à main levée » l’affranchit de tout héritage historique comme l’Art concret ou le Neo-Geo.
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Galerie Samy Abraham
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« Monsieur,
Une œuvre d’art est inutile ainsi qu’une fleur est inutile. La regarder nous procure un moment de joie. Voila tout ce que l’on peut dire de notre relation aux fleurs. Bien sûr l’homme peut vendre la fleur, et se la rendre utile, mais ceci n’a rien à voir avec la fleur. C’est un accident.
Tout ceci est très obscur. Mais le sujet est vaste. »
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Galerie Gaudel de Stampa
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« Séances » est un nouvel épisode de la série Conatus initiée par Boris Achour en 2006. Plongés dans une semi-obscurité, divers éléments composent un décor-paysage à arpenter pendant une durée de 45 minutes. Films, sculptures, textes, sons… mais aucun acteur ni évènement live : la conjugaison d’éléments formels et d’un public apparente cette proposition à un spectacle.
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Le Crédac
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Jusqu’à ce que, n’ayant plus rien dans la main, le Créateur, avec les deux premières griffes du pied, saisît un autre plongeur par le cou, comme dans une tenaille, et le soulevât en l’air, en dehors de la vase rougeâtre, sauce exquise ! Pour celui-là, il faisait comme pour l’autre. — Lautréamont, Les chants de Maldoror, chant deuxième (extrait).
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Jeune Création
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La galerie Almine Rech présente la 1ère exposition à Paris de Liu Wei, fer de lance de la nouvelle scène chinoise. Refusant le principe d’un style identifiable et de critères esthétiques attendus, il traduit à travers ses œuvres le chaos de Beijing en construction permanente, tout en perpétuant dans son travail les préceptes de la tradition confucianiste.
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Galerie Almine Rech
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Réflexion sur le caractère destructif du besoin de savoir à tout prix, le film de George Sluizer « L’homme qui voulait savoir » donne son titre à l’exposition. Dans cette dynamique cinématographique, la 1ère exposition en France de David Raymond Conroy construit un espace où artiste, œuvre et spectateur se cherchent et interrogent leurs propres positions.
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Galerie G-P & N Vallois
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Navy legacy évoque les images du vaste plan bleu de l’océan et de vaisseaux carénés traversant ces surfaces. On entend par héritage ce qui est légué par un prédécesseur, ce qui continue à prévaloir, qu’il s’agisse d’objet, d’idée originale ou de vision. Cela peut concerner aussi bien l’immatériel que le matériel devenu obsolète mais difficile à remplacer parce que d’un usage répandu.
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Galerie Laurent Godin
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Doit-on encore présenter John Crash Matos, pionnier du Street Art né dans le Bronx en 1961 ? Addict Galerie présente « Study in Watercolors », une sélection d’études préparatoires qui met en lumière le travail préalable au graffiti, trop souvent relégué au second plan d’un mode d’expression parfois assimilé à un jaillissement spontané de l’imagination.
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Galerie Addict
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Comme l’écrit Baudrillard, les apparences sont immortelles, invulnérables au sens et au non-sens. L’art est plus que jamais question d’imitation, souvent une imitation de l’art lui-même, pour le meilleur et pour le pire ; et aussi qu’il fait siennes les illusions, leurs désillusions corrélatives et, bien sûr, la séduction.
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Treize
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Chez Lélu, l’image collectée doit faire face à de multiples assauts ; arrachée à son contexte originel qui lui servait à la fois de justification et de protection, elle est tantôt recouverte, obturée, évidée de sa figure principale, ou encore mise sous tension dans la confrontation frontale à un texte venu la miner de l’intérieur.
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Galerie Nuke
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Plusieurs questions centrales à la pratique de Raphaël Zarka se rejoignent dans son exposition Les Prismatiques : son intérêt pour la géométrie, la transposition d’éléments empruntés au champ de la peinture vers celui de la sculpture, la constitution d’un corpus de formes développé sur le modèle de la collection.
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Galerie Michel Rein
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Société Réaliste expérimente sa typographie, en présentant les accumulations ornementales de la police Monotopia, en reproduisant la rythmique des mantras politiques, en mélangeant les directions fondamentales, en recherchant des correspondances entre le chiffre des dates, en s’essayant à définir la forme de n’importe quelle date et de n’importe quel lieu, en inscrivant la commune transversalité du temps et de l’espace, ou encore en se refusant à inscrire le « u » privatif de l’Utopie originelle.
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Galerie Michel Rein
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15:00
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Rencontre
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Rencontre autour de l’exposition, en présence de Émilie Pitoiset, Jean-Max Colard et (sous réserve) Catherine Robbe-Grillet.
À cette occasion, une navette assure le trajet aller-retour depuis Paris
Départ place de la Bastille, à 14h15
Gratuit sur réservation : leseglises@chelles.fr / 01 64 72 65 70
Les églises centre d'art de Chelles
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Gabriel Jones invite 11 artistes a exposer des œuvres dans son atelier de Montmartre, a la Cite des Arts de Paris. Les œuvres, des photographies, des dessins et une installation sonore, sont rassemblées et présentées librement dans son espace de travail, suggérant ainsi une proximité entre les visiteurs et les propositions artistiques.
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