Magazine
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Reportage
Avec « Vous arrivez trop tard », Émilie Pitoiset place sa propre cérémonie dans une scénographie précise, tendue, monochrome et quasi minimale dans laquelle se retrouvent ses accessoires, objets et/ou décors.
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Cette semaine à Paris
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19:00 → 21:00
Conférence donnée par l’anthropologue Ronan MacDubhghaill, accompagnée d’une projection, autour d’un texte écrit par Pedro Barateiro dans le cadre de son exposition personnelle « Theory of Speech » au Serralves Foundation Contemporary Art Museum, en 2009.
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Performance
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Les recherches des deux artistes échappent à toute démarche documentaire, leurs photographies ne font pas état de la réalité mais s’imposent plutôt comme un moyen de création, voire de narration. Le travail de Yumiko Utsu définit les frontières de mondes nouveaux ; celui de Mayumi Hosokura, appelle à un prolongement des sens et ouvre la porte à un dialogue avec le monde.
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Galerie LWS
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Extraits de ses carnets, Tom Sheehan propose une sélection de croquis de 1997 à 2012 ; des croquis pris comme des notes, des esquisses de recherche ou des instantanés de projets. Cette sélection constitue le fil conducteur d’un concepteur parisien ouvert sur le monde. « Le croquis est l’irréductible instrument de communication de l’architecte ».
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La Galerie d’Architecture
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La galerie Bailly met à l’honneur le néon, inventé en 1912, il y a tout juste cent ans. « […] Art de la couleur et de la lumière, l’art du néon est aussi et surtout un art du tracé et de la sinuosité. C’est l’histoire de ce simple trait dessinant d’innombrables chemins sinueux et lumineux que cette exposition propose de parcourir et d’explorer. » — David Rosenberg.
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On ne sait pas toujours quelles sont les conséquences de nos actes et l’on pense plus facile de prévoir des effets de cause / conséquence plus quotidiens. De là naît le doute sur la fonction même du regard, qui, s’il constate juste, croit pourtant toujours prévoir.
Mais voir, justement, ce n’est pas toujours revoir.
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Galerie Air de Paris
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La troisième édition de La Triennale d’art contemporain (anciennement « La Force de l’Art ») investit les espaces du Palais de Tokyo et de sept lieux associés situés dans Paris et sa proche banlieue. La Triennale propose un large état des lieux de l’art contemporain au confluent de la scène française et des foyers de création internationaux
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Lieux multiples
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Tim Maul est un artiste photographe et un critique d’art qui vit et travaille à New York. Dans un texte, qui constitue le point de départ de cette exposition, il nous livre son appréciation personnelle du livre d’artiste dans l’atmosphère New Yorkaise des années 70, au fil des rues, des galeries, des librairies et des expositions.
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Florence Loewy
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Laboratoire de réflexion sur les enjeux actuels du livre de photographie mais également plateforme essentielle de rencontres entre le public, les éditeurs, les photographes et les collectionneurs, cette 5ème édition du festival, qui
se tiendra exceptionnellement au BAL, s’impose comme le rendez-vous international incontournable de l’édition du livre de photographie.
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Le BAL
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10:00
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Visite
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Victor Mendès (directeur de la galerie), Victor Secretan (département photographie), Chiara Capodici et Fiorenza Pinna de 3/3 (commissaires invitées) ont le plaisir de vous convier à une visite privée autour d’un petit déjeuner.
Galerie LWS
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19:30
« Nous sommes une pluralité qui s’est imaginée une unité. », disait Nietzsche. Et c’est justement la phrase-clé pour résumer le projet d’art contemporain qui a réuni les visions artistiques de Léa Hautefeuille (installation vidéo), Pascal Allio (chorégraphie et interprétation), et Vlaicu Golcea (composition sonore).
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Institut culturel roumain
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Dans Lignes de Faille, Stéfane Perraud dresse un portrait géologique sensible des grands séismes qui ont touché notre planète aux 20e et 21e siècles. Vues à distance, ces vastes déchirures de la croûte terrestre apparaissent comme des rides sur un épiderme délicat et fragile, qui est à l’origine de certaines des plus grandes catastrophes de notre histoire.
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Plateforme
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A common feeling isole le moment où l’artiste convoque l’Autre dans son œuvre. Elle souligne le moment où celui-ci participe au processus de création. Lorsque l’autre est aussi bien le point de départ du travail que son destinataire final, le déclencheur d’un dispositif narratif, l’élément incontournable par lequel s’articulent tous les détours.
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Gb agency
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« Certes les moyens idéals ne sont pas dépourvus de matière, sinon on ne pourrait pas « écrire ». Quand j’écris le mot vin avec de l’encre, celle-ci ne tient pas le rôle principal mais permet la fixation durable de l’idée de vin. L’encre contribue ainsi à nous assurer du vin en permanence. Ecrire et dessiner sont identiques en leur fond »
— P. Klee
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Topographie de l’art
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Autodidacte, Rodrigo Almeida, cet admirateur d’Andrea Branzi, d’Ettore Sottsass, de Sergio Rodrigues et de Jean Prouvé se dit inspiré de manière plus générale et plus quotidienne par les objets indigènes et primitifs. C’est dans l’exploration de la culture elle-même que l’artiste s’immerge pour refaire surface avec de nouvelles intentions.
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Galerie Patricia Dorfmann
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19:00 → 21:00
Lancement de la monographie consacrée aux trois dernières années de production de Florian & Michael Quistrebert, et discussion autour du projet en présence des artistes et de Pascal Rousseau, historien d’art.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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