Cette semaine à Paris
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Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Romantique, réaliste, symboliste, et même formaliste, l’artiste a été enrôlé tour à tour sous toutes les bannières. C’est cette complexité, signe de la richesse de cette œuvre que s’efforce d’éclairer cette exposition.
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Les Galeries nationales du Grand Palais
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Les deux artistes ressuscitent des énergies engourdies, des matières négligées, banalisées. Ils ne sont ni du même sexe, ni de la même génération, ni de même culture et, pourtant, Kazuo Yuhara et Mâkhi Xenakis, outre qu’ils partagent une même prédilection pour les œuvres sur papier, ont en commun ce désir de stimuler…
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Galerie Taïss
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18:00
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Vernissage
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Cette exposition regroupe neuf photographes contemporains autour d’un thème, le paysage, et d’un sujet, nos sociétés post-industrielles balbutiantes.
Galerie LWS
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Hans Kotter s’impose comme un des principaux artistes travaillant dans le domaine de la lumière artificielle. L’utilisation de néons dans ses œuvres lui permet d’agir directement sur l’espace d’exposition environnant et d’en changer l’aspect, ainsi que de mettre à l’épreuve les canaux perceptifs de l’observateur qui s’efforce de trouver des points de repère.
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Galerie Nery Marino
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En partenariat avec le musée du Prado, le Louvre réunit à l’occasion d’une exposition historique les œuvres réalisées par Raphaël à Rome durant les dernières années de sa courte vie. Cette période, qui est celle de son plein épanouissement stylistique, constitue le sommet de la Renaissance italienne.
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Le Louvre
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L’exposition a été conçue avec l’artiste Rossella Biscotti à partir de ses recherches sur la notion de blackout menées au cours de sa résidence à Kadist. Le blackout désigne une panne d’électricité, mais plus largement, l’interruption momentanée qui laisse alors le champ libre à de nouvelles perceptions et façons d’éprouver l’espace-temps.
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KADIST
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Cette exposition regroupe neuf photographes contemporains autour d’un thème, le paysage, et d’un sujet, nos sociétés post-industrielles balbutiantes. L’atlas proposé en 2012 redistribue les cartes. Ces d’artistes — allemands, italiens, iraniens, français, japonais — présentés par la galerie LWS font figure de nouvelle vague, ils observent et enregistrent le monde au travers du filtre de la couleur, de manière frontale ou vu de haut, sans jamais perdre le détail du geste qui dépasse la beauté de la forme.
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Galerie LWS
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Si depuis Warhol, la société de consommation est le sujet récurrent de travaux artistiques, H5 l’envisage en tant qu’acteur du système. En imaginant un territoire qui intègre tous les outils de la communication, le collectif propose de comprendre les mécanismes de cette discipline pour mieux s’en libérer.
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La Gaîté lyrique
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Avec plus de 400 œuvres, et une dizaine de séquences fortes complétées par de nombreux points documentaires inédits, cette exposition montrera comment, dans un contexte de pénurie et d’oppression, les artistes ont proposé des réponses nouvelles qui modifieront en profondeur le contenu et la forme de l’art jusqu’à aujourd’hui.
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Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
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Le Prix Fondation d’entreprise Ricard sera remis à l’un des artistes de l’exposition « Évocateur » lors du Bal jaune qui se tiendra le 19 octobre 2012. Cette année, la Fondation d’entreprise Ricard a souhaité confier la sélection des artistes du Prix à une jeune curatrice étrangère : Elena Filipovic.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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À partir de cette injonction : « Keep away from fire », le collectif Nøne Futbol Club propose un ensemble de sculptures explorant le répertoire de la culture de masse. Soumis à diverses opérations de brouillage des références, ces divers objets révèlent une ironie sous-jacente, illustration du regard porté par le duo sur les enjeux sociaux-politiques contemporains.
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Galerie Derouillon
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« Ent( r )e » est la première exposition en France de Loreto Martínez Troncoso que l’on connaît pour ses performances parlées. Le projet à la Ferme sera le centre d’une constellation plus vaste intitulée Fuga de Otoño, qui se déploiera en divers moments et endroits tout au long de l’automne.
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La Ferme du Buisson
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Ron Gorchov est le premier artiste à avoir déformé le châssis pour lui imposer une forme à la fois convexe et concave. Ce châssis va devenir partie intégrante de sa signature. Il dessine directement sur la toile les motifs de ses formes biomorphiques et laisse apparaître les repentirs lorsqu’il les trouve intéressants.
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Galerie Richard
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L’exposition propose une confrontation à l’histoire de l’Allemagne des années de plomb, celle de la RAF et des assassinats de personnalités de la classe politique et des milieux des affaires. Les deux dessins exposés d’Alex Hanimann sont tirés de photos de presse prises lors de la mort de Siegfried Buback, procureur général fédéral.
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Galerie Bernard Jordan
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La galerie Thaddaeus Ropac présente un large ensemble d’œuvres de Joseph Beuys. Cette sélection réalisée par le commissaire Norman Rosenthal, est regroupée autour de l’installation éponyme de l’exposition « Hirschdenkmäler », Œuvre emblématique dans la production artistique de Joseph Beuys car elle couvre un spectre très large de préoccupations de l’artiste.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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La Galerie Thaddaeus Ropac présente un nouveau groupe d’œuvres d’Anselm Kiefer et inaugure avec ce cycle le nouvel espace d’exposition à Pantin. Sous le titre Die Ungeborenen [Les non-nés], Kiefer réunit un ensemble de toiles et de sculptures monumentales se référant à des mythes et iconographies qui traitent de l’origine, et de la création.
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Galerie Thaddaeus Ropac Paris Pantin
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La Galerie Thaddaeus Ropac inaugure un nouvel espace dédié à la performance, un espace essentiel dans le nouveau complexe architectural de la galerie Ropac à Pantin en présentant des œuvres de Joseph Beuys qui ont un rapport avec la légendaire performance de Francfort, comptant parmi les plus spectaculaires et les plus fortes de l’artiste.
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Galerie Thaddaeus Ropac Paris Pantin
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Recréant un Âge d’or en déliquescence oscillant entre préciosité et précarité, Florian Bézu investit l’espace de la galerie pour y déployer les différents univers qui l’animent. L’épicentre : un building élevé en cartons d’emballage, peuplé par des fragments de fictions en céramique.
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Florence Loewy
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Personnage ambivalent, Baltard fut sans cesse tendu entre l’aspect artistique de son métier et la soif de nouveautés techniques. Par des œuvres de nature très variée (dessins d’architecture, maquette, photographies anciennes, peintures, mobiliers, vitraux, etc.), l’exposition montrera comment ces préoccupations ont nourri conjointement sa créativité.
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Musée d’Orsay
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« Luta ca caba inda« (La lutte n’est pas finie), titre de la proposition de Filipa César pour le 5e programme Satellite, peut être vu comme un ajout à son projet de recherche lancé en 2008 sur les origines de la production cinématographique en Guinée-Bissau. Les racines de ce cinéma remontent à la guerre de décolonisation contre le Portugal.
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Jeu de Paume
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Développée durant huit décennies, l’œuvre photographique de Manuel Álvarez Bravo (Mexico, 1902-2002) constitue un jalon essentiel de la culture mexicaine du XXe siècle. À la fois étrange et fascinante, sa photographie a souvent été perçue comme le produit imaginaire d’un pays exotique, ou comme une dérive excentrique de l’avant-garde surréaliste.
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Jeu de Paume
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« Souffrir par toi n’est pas souffrir »…
Dans cette belle chanson, les paroles d’Etienne Roda — Gil invitent un amour enfui depuis belle lurette à revenir, à s’asseoir, à oublier. C’est une invitation un peu lasse, certaine pourtant, semble-t-il, que sera convaincu l’être aimé. C’est une invitation tardive, caduque, faite après le chagrin, mais tant pis.
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Lili-Ubel gallery
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À l’occasion des 100 ans de la construction de la Coupole, les Galeries Lafayette célèbrent ce monument du boulevard Haussmann, symbole de l’architecture Art nouveau, avec des événements inédits qui vont rythmer la vie du magasin à compter du 16 octobre 2012.
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La Galerie des Galeries
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JI Zhou s’intéresse à la notion d’interaction visuelle. Ses photos, tout comme ses installations, dissimulent un piège qui trompe le spectateur. L’artiste joue avec le public tout en l’interrogeant sur la véracité et la fiabilité de ce qu’il voit. Ici, la frontière entre surface et substance devient confuse tant ces notions semblent interchangeables.
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A2Z Art Gallery
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