Françoise Huguier aura sans doute gardé de ses années d’enfance passées en Indochine un désir d’ubiquité. D’avoir été faite prisonnière, avec son frère, par le Viêt-Minh une grande envie de narrer (J’avais huit ans, 2005). Alors elle voyagea, beaucoup et partout et mit en images le récit de ses explorations, de la Sibérie à l’Afrique, du Cambodge à la Russie.