Hospitalités — 31 lieux d’art contemporain — Exposition — Slash Paris

Visite en 2 parties de l’exposition « Le Tamis et le sable 2/3 : L’Intervalle » aux Instants Chavirés à 14h
pour le finissage puis à la Maison Populaire à 15h30 pour la suite de la visite. L’exposition envisage la transmission à travers un ensemble d’œuvres intégrant la question des techniques de diffusion d’un message, d’un savoir, ou d’une expérience.

Visite guidée de l’exposition « Le Deuxième Sexe — une note visuelle », un essai visuel inspiré par le livre éponyme de Simone de Beauvoir. Avec le travail d’artistes femmes de différentes générations, l’exposition présente et discute des stratégies féministes à travers une lecture réactualisée des concepts développés dans ce livre fondamental du féminisme contemporain.

Visite de l’exposition « Mandrake a disparu » qui énonce une situation paradoxale : ce n’est plus le lapin qui disparaît dans un chapeau, mais le magicien lui-même dont on ne retrouve plus la trace, puis présentation du projet de Julien Prévieux, Datumo !, réalisé en collaboration avec le FRAC Île-de- France / L’Antenne.

Visite et déjeuner au cœur du bâtiment de l’Onde, où l’agencement sculptural proposé par Vincent Mauger renverse les perceptions qu’on a des lieux et de l’espace et les met sous tension. À partir d’une compilation d’œuvres autonomes, l’artiste dessine les contours d’un nouvel environnement où le matériau est amplifié dans de fascinants volumes.

La Maréchalerie propose une visite de l’exposition de Jennifer Caubet « La mécanique des interstices » en présence de l’artiste qui conquiert l’espace de la Maréchalerie et transgresse les échelles. Ses œuvres sont une référence permanente à l’architecture tant par l’utilisation de matériaux de construction que par ses formes et les espaces qu’elles occupent.

La Maison des Arts de Malakoff propose une rencontre avec l’artiste en résidence Élodie Bremaud et la présentation du dispositif de la cabane de papier. Pour sa résidence à la Maison des Arts, Élodie Brémaud lance un programme d’actions à l’échelle de la ville de Malakoff. L’artiste joue sur le décalage entre les gestes et leur documentation.

Visite de l’exposition des frères Chapuisat et découverte des « Siestes électroniques », festival dédié aux musiques électroniques. Entre architecture et sculpture, le travail des Frères Chapuisat procède d’une conception de la sculpture élargie au champ entier de l’espace réel. Leurs œuvres bousculent les perceptions de l’espace, du mouvement et de la gravité.

Le parcours que propose le Palais de Tokyo s’attache à faire apparaître des seuils, des espaces intermédiaires où se manifestent ces qualités particulières de l’hospitalité.
 Ainsi, cʼest bien cette révélation dʼune « poétique des seuils » qui sera notre fil conducteur au travers de la découverte des espaces alternatifs.

Visite privée de l’Espace culturel Louis Vuitton et performance de Gil Yefman. Voyage immobile en terres mouvantes et inconnues, l’exploration de l’identité est une aventure au plus profond de soi qui, des rivages de l’intime à la découverte de l’Autre, repousse à l’infini les limites de la connaissance et de la conscience.

Le visiteur est invité à parcourir un scénario en six expositions : Les aventures d’Arthur, Odile et Franz, les éditions de Lubok Verlag, One Sculpture a Day de David de Tscharner, Antoine Poncet présente également deux études sur des timbres édités en 1930 pour soutenir les « chômeurs intellectuels » enfin François Aubart réunit des travaux d’artistes.

Rdv à la conque de la Villa des Tourelles autour de la peinture « Centre de gravité », en présence de l’artiste Olivier Nottellet avec une surprise de Mathieu Godefroy au violon. La « conque » — un coquillage utilisé comme instrument de musique à vent — aussi définie « Théâtre de plein air » constitue un édifice monumental du patrimoine de Nanterre.

Visite privée de l’exposition « L’Ange de l’Histoire », première exposition de Nicolas Bourriaud. Les galeries d’exposition des Beaux-arts de Paris reprennent leur nom historique de « Palais des Beaux-arts ». Le bâtiment de 1000m2 a été entièrement repensé pour accueillir une nouvelle formule de programmation qui reflète l’identité de l’école.

À l’occasion d’Hospitalités, le Jeu de Paume a proposé à Kenneth Goldsmith une lecture-performance de son ouvrage « Je ne me tourne vers la théorie qu’après avoir réalisé que quelqu’un a consacré toute sa vie à une question qui m’avait à peine traversé l’esprit jusqu’alors ». À l’issue de cette lecture, Goldsmith dialoguera avec Mathieu Copeland.

Virginie Yassef et Julien Bismuth échangent, parlent et se promènent ensemble depuis des années. En 2011, ils initient un 1er travail en collaboration : Untitled Dialogue, rencontre du troisième type entre un homme et un singe, filmée dans une chambre de palace parisien. C’est à la suite de ce projet qu’est venue l’idée de les réunir pour une exposition à deux voix.

Rdv au CPIF pour la découverte de l’exposition collective Quel travail ?! en compagnie des artistes. La photographie s’invente et se développe tandis que se confirme le mouvement d’industrialisation au XIXe siècle. Art dit mécanique, elle accompagne les regards sur le travail teintés d’idéologies qui définissent la place de ce dernier dans la société.

Artiste plasticien et sonore, Julien Clauss présente « Isotropie de l’ellipse tore », une installation sensorielle qui conjugue l’architecture, l’acoustique et la nature du lieu. Adossé sur une construction circulaire en bois, le spectateur est invité à s’immerger dans l’œuvre par l’expérience physique des vibrations sonores.

Dans le cadre de sa résidence, le Parc culturel donne à Lek une carte blanche. Multipliant les supports, photo, vidéo, installation ou bien encore peinture, Lek expérimente ces différents médiums pour créer ses nouvelles œuvres. Pour cela, il convie également d’autres artistes issus du street art à venir le rejoindre dans cette aventure.

Les deux artistes lauréats 2012 du prix « Novembre à Vitry » proposent un dialogue pictural : les peintures de Maude Maris présentent dans un espace anonyme des formes luisantes, dont la dimension et la fonctionnalité nous échappent, Julien Pelloux quand à lui propose des peintures qui trouvent leur source dans des images du quotidien.

Invité à développer un projet spécifique pour la nef du MAC/ VAL, l’artiste Dominique Blais s’est intéressé aux multiples rapports qu’entretiennent le musée, l’architecture qui l’abrite, les œuvres qui l’habitent, et le public qui les contemple et en quelque sorte les anime. Le MAC/VAL inviter également Ange Leccia pour une exposition monographique inédite.

Invitée dès 2010 à mener une recherche sur le territoire d’Ivry-sur-Seine, Lara Almarcegui s’est orientée sur la réalité souterraine de la ville. L’exposition rassemble ainsi une sélection de projets de l’artiste autour d’une nouvelle publication intitulée Ivry souterrain.

Photocopies, murs peints, magazines découpés… le travail de Clément Rodzielski interroge les conditions d’apparition des images, l’ombre de leur reproduction, les détours de leur circulation. Dans ses œuvres, il s’agit le plus souvent de mesurer l’écart entre ce qui est face à soi et la provenance des images, leurs usages, leurs mésusages et leurs destinations.

Bétonsalon — Centre d’art et de recherche propose une visite de l’exposition « Quelque chose de plus qu’une succession de notes » par la directrice et commissaire de l’exposition Mélanie Bouteloup, suivie de la performance « Fabula » de Violaine Lochu.

Le CAC Brétigny présente un concert-performance de « Vomir » alias Romain Perrot, l’une des figures centrales du courant bruitiste radical « Harsh Noise Wall », suivi d’une visite de l’exposition « There’s a Riot Goin’On » par l’artiste Matthieu Saladin et d’un barbecue ouvert à tous.

Brion Gysin, père de la Dreamachine, pionnier de la sound-pœtry, collabore avec des créateurs et musiciens tout au long de sa vie, générant une œuvre expérimentale et protéiforme. Visite de l’exposition « Prerecorded Universe » par la commissaire Alice Marquaille, concert de Myriam El Haïk et performances des étudiants Leila Abdi et Shahrzad Fathi.

La maison rouge vous invite à une visite commentée de l’exposition « My Joburg ». Dans un cycle d’expositions consacré aux scènes artistiques de villes dites « périphériques », l’exposition présente un panorama de la scène artistique de Johannesburg, en mettant l’accent sur une jeune génération d’artistes méconnus en France.

Apartés est un projet récurrent élaboré par des artistes invités à interroger les collections permanentes du Musée d’Art moderne selon un protocole prédéfini. À l’occasion de cette édition, Leonor Antunes, Julien Prévieux et Marie Voignier sont conviés à choisir des pièces dans les collections afin de les présenter en regard de leurs propres créations.

Accueil avec la pièce sonore de Julien Prévieux puis visite de l’exposition personnelle d’Adrien Missika. L’artiste développe un travail essentielement lié à ses voyages. Ses œuvres, marquées d’un fort attrait pour les « monuments oubliés » du modernisme ou les phénomènes naturels, sont autant de moyens de transmettre une relation physiologique au monde.

Escale insolite et dépaysante en compagnie de Thierry Payet. Dans le cadre de sa résidence à Synesthésie, l’artiste a créé à Saint-Denis, un projet d’aménagement urbain à partir de cartes sensibles du territoire. Sa démarche prend pour point de départ un état des lieux des perceptions et des usages des habitants.

Soirée de performances organisée dans le cadre de Degré 48. Pendant les dix mois de sa résidence d’écriture, Daniel Foucard invite écrivains et artistes à produire publiquement leur propre manifeste. Ces manifestes sont mis en forme et diffusés dans l’espace public par le collectif de graphistes g-u-i.