Sophie Blet — Pas tout à fait vides, peut-être juste impossibles — L'ahah Moret — Exposition — Slash Paris

Commence demain : 27 avril → 18 mai 2024

commissariat : Diane Der Markarian

vernissage le 27.04.24, 17h-21h
exposition du 27.04 → 18.05.2024

L’ahah #Moret
24-26, rue Moret, 75011 Paris

L’ahah est heureuse de soutenir et de présenter le projet de recherche et d’exposition réunissant la commissaire d’exposition et critique d’art Diane Der Markarian et l’artiste Sophie Blet : Pas tout à fait vides, peut-être juste impossibles. L’ahah #Moret se fera ainsi du 27.04 au 18.05.2024, caisse de résonance du cheminement et des échanges du duo.

Première exposition personnelle à Paris de Sophie Blet, Pas tout à fait vides, peut-être juste impossibles bouscule notre perception, sondant le trouble né de l’exploration des multiples dimensions du réel, la ténuité de leurs frontières. Les recherches plastiques convoquent d’autres champs d’investigation — astronomie, cosmologie, philosophie des sciences, linguistique — dans un fécond enchevêtrement. Sculptures, installations, œuvres sonores comme autant d’outils pour mesurer le monde et le démultiplier.

Diane Der Markarian et Sophie Blet proposent une immersion où l’invisible devient palpable et la réalité se dissout. Nos sens et notre esprit sont en alerte. À tout moment, tout peut basculer. L’exposition éprouve l’œuvre et sa matérialité ainsi que notre rapport au langage, entre fabrique d’imaginaires et déchiffrement du réel.
p(info). Biographies de l’artiste et de la commissaire :

L’artiste

Sophie Blet

→ Sophie Blet vit et travaille à Marseille.
Après des études en histoire de l’art, elle étudie aux Beaux-Arts
de Monaco (Pavillon Bosio, DNSEP) et aux Beaux-Arts de Leipzig, Allemagne (HGB, Hochschule für Grafik und Buchkunst). Son travail plastique se développe à travers différents médiums qui entretiennent et poursuivent des dialogues réguliers avec d’autres chercheur·euse·s, où l’appréhension du réel bascule de l’espace perçu vers un espace incertain, et encore indéterminé.Son travail a été présenté notamment au Musée d’Art Moderne et Contemporain de Saint-Etienne (MAMC+), à la Graineterie, Houilles, dans le cadre de la 13ème Biennale de la jeune création, à la galerie Art-Cade, Marseille, à la Open-School Gallery, Beaux-Arts de Nantes, à la Galerie HO, Marseille, lors du 8ème Prix Jeune Création, Saint-Rémy, à la Fondation Vasarely, au Passage de Retz, Paris (Artagon), à la Galerie Bipolar, Leipzig, à la HGB Galerie, Leipzig, à Dos Mares, à la galerie 22,48m2, Paris et en été 2023 pour L’art dans les chapelles. En septembre 2023, elle bénéficie d’une exposition personnelle Du muable au SALON DU SALON Project, Marseille, avec un texte écrit par Diane Der Markarian.

La commissaire

Diane Der Markarian

→ Diane Der Markarian est critique d’art indépendante, membre de l’AICA- France. Elle est chargée de mission pour la Fondation des Treilles et collaboratrice de la Galerie C-Paris. Diplômée de l’Université d’Aix-Marseille, de l’École du Louvre et de Sciences Po Paris, elle a réalisé deux séjours d’études internationaux en Suisse et au Canada, et a dédié son mémoire de recherche à une monographie de l’artiste israélienne Michal Rovner (1957-). De mars à avril 2022, elle participe au programme de résidence Art Commune organisé par le Art and Cultural Studies Laboratory (ACSL) à Erevan en Arménie, et en septembre 2022, à la résidence Villa Numa à La Chaux-de-Fonds en Suisse avec l’artiste arménienne Nareh Petrossian. Membre du collectif Jeunes Critiques d’Art de 2016 à 2021, elle co-fonde l’association YACI — International Young Art Criticism en 2019. Elle a travaillé au sein de diverses institutions en France et à l’étranger, comme par exemple au Centre d’art du Château La Coste, au Musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole ou encore à la Fondation Guido Molinari, à Montréal.