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Cette semaine à Paris
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Initialement intéressé par le cinéma, René Burri s’est finalement tourné vers la photographie, mais conserve une véritable fascination pour le mouvement. Cette exposition rassemble une centaine de photographies illustrant cette notion : jeunes dansant dans les rues de Rio, Jean Tinguely devant ses machines animées…
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MEP
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L’intérêt que Keiichi Tahara porte pour la lumière le fait constamment osciller entre ce qu’il appelle la lumière blanche et la lumière noire, entre soleil et lumière imaginaire. L’exposition que lui consacre la Maison Européenne de la Photographie est une rétrospective qui retrace cette perpétuelle quête.
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MEP
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Sylvain Bourget s’est engagé depuis quelques années dans la collecte et l’analyse des pratiques de performances domestiques qu’il étudie par l’intermédiaire des vidéos amateurs qui prolifèrent sur la toile. Lieux de la performance, mouvements générés par ces pratiques, dispositifs à performer sont ici rassemblés dans « Tragédie du solite ».
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Galerie Marine Veilleux
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Trois artistes de la même génération, venus d’horizons différents : Jaume Plensa, Kiki Smith et Barthélémy Toguo. Trois artistes qui aiment explorer des matériaux variés et travaillent à la fois pour le mur et dans l’espace. Trois artistes qui placent la figure humaine au centre de leur travail.
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Galerie Lelong & Co
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Les toiles de Fu Site semblent superposer les niveaux et les temps de la narration, en introduisant une dimension psychique dans l’espace. Des visions hallucinatoires surgissent dans l’immobilité du décor, telles des traces, des bribes de mémoire ou des présences fantasmagoriques.
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Galerie Paris-Beijing
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Roman Moriceau ouvre des passages entre l’infiniment grand et l’infiniment petit pour révéler l’effet papillon de nos habitus. Avec un regard soucieux et humaniste, il examine notre rapport aux images en soulignant des relations dichotomiques : actes-conséquences, conscience-inconscience, apparition-disparition, visible-invisible, citoyen-consommateur.
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Galerie Derouillon
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« The Registry of Promise » est une série de quatre expositions–réflexions sur ce que l’avenir pourrait nous réserver ou pas. Ces expositions jouent sur des lectures multiples et simultanées du concept de promesse : anticipation du futur, maintien ou rupture de la promesse, ainsi qu’un sentiment d’inéluctabilité, positif et négatif.
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Le Crédac
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Cécile Beau s’intéresse aux phénomènes trop lents ou trop discrets pour l’échelle de temps humaine ; ceux que l’on ne voit pas ou qui sont à peine perceptibles. Elle s’en empare pour renverser nos perceptions ordinaires. Avec « Substrat », elle propose une fiction semi-souterraine loin de nos repères habituels.
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Galerie 22,48 m²
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Voilà cinq artistes partis sur la route à l’invitation du BAL à la recherche d’une histoire, souvent la leur. L’autoroute, anonyme et pourtant si familière, devenue leur territoire de création, le terrain du « je ». Ils voyagent dans le temps et l’espace, leurs déambulations mènent alors à se perdre, comme à se trouver.
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Le BAL
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Dans cette exposition, Julian Hoeber propose une nouvelle série de peintures, une intervention dans l’espace sous la forme de moulures ainsi qu’une sélection de sculptures dont une porte appuyée contre un mur, et deux chambres photographiques sur trépied. L’artiste souhaite ici questionner l’architecture et le corps, comme des espaces à occuper.
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Galerie Praz-Delavallade
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Oana Farcas, Robert Fekete et Sergiu Toma sont trois artistes du quotidien. Un quotidien qu’ils savent retranscrire dans leurs toiles parfois monochromes comme dans des juxtapositions de couleurs. Fekete et Toma souhaitent jouer avec le lien entre l’observateur et l’observé, où parfois le point de vue du spectateur devient partie intégrante de la peinture.
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Galerie Dominique Fiat
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Pablo Lobato veut intensément engager notre regard dans l’expérience, de même manière que le toucher : dans la série « Muda », le geste très sensuel de percer des fruits dans le seul but d’atteindre leurs pépins évoque le tactile, tout comme le faisceau de lumière qui projette le film « 1000 x 1 » est presque un objet palpable.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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15:30 → 17:00
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Conférence
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En préambule du vernissage au Crédac, cette table ronde réunit certains des principaux acteurs du projet The Registry of Promise. En présence de Chris Sharp, commissaire des expositions, Lorenzo Benedetti, directeur de De Appel, Claire Le Restif, directrice du Centre d’art contemporain d’Ivry-le Crédac.
Le Crédac
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19:00
C’est à une expérience collective et à un lieu que s’intéresse en 2014 la revue « Initiales » avec cette quatrième livraison dédiée à Monte Verità : une communauté d’artistes et anarchistes pré-hippie née en Suisse en 1900, constituée notamment par Hermann Hesse, Otto Gross, Isadora Duncan ou encore Max Weber.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Le titre de l’exposition provient du célèbre conte « Le vilain petit canard » de Hans Christian Andersen. Comme l’histoire du petit cygne, les œuvres de Søren Martinsen défient l’idée répandue de la vie harmonieuse et idyllique à la campagne.
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Le Bicolore
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L’exposition, en offrant la possibilité de manipuler le classeur, objet imposant, permet à chacun d’appréhender l’ampleur de l’œuvre-roman « The Novel That Writes Itself ». Cette dernière se voulant l’autobiographie, bien que romancée, d’Allen Ruppersberg, elle permet alors d’embrasser l’essentiel du travail réalisé par l’artiste depuis presque quarante années.
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Galerie michèle didier
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L’Irlandaise Amanda Coogan est une artiste performeuse de stature internationale. Tout son savoir-faire réside dans sa capacité à condenser une idée pour la réduire à son essence même et à utiliser son corps pour la communiquer. Le CCI expose une sélection de ses œuvres clés.
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Centre culturel irlandais
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« Je dis souvent que mes œuvres naissent grâce à l’observation de mon quotidien. (…) Des premiers regards, des premières sensations, me poussent à prendre l’appareil. L’image que je pense avoir prise s’installe alors dans ma mémoire avant d’être transformée par celle qui prendra place ensuite : l’image développée. » — Edith Bories
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Jeune Création
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Caractérisés principalement par un code de couleur bleu et rouge, une composition et un tracé très nets, les dessins de Mark Dion ne sont pas sans évoquer le goût de l’artiste pour les planches de naturalistes et les relevés archéologiques.
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Galerie In Situ
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L’art et le langage au sens de la langue sont des jumeaux. Ils sont consubstantiels pour dire, entendre et comprendre notre monde. Ils ont leur système propre, ouvert ou fermé ; changeant, évoluant, jusqu’à se mêler parfois, et même s’échanger. Cette exposition explore le lieu, l’espace où l’un et l’autre se mêlent, où ils redeviennent indissociables.
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Galerie Djeziri-Bonn — Linard éditions
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Les œuvres de Pipaluk Lake offrent à voir un magma en transformation permanente, l’image de la genèse d’un monde à la fois inconnu et familier, merveilleux et angoissant. Ici, l’imaginaire se confronte aux éléments, aux matières et à leurs lois.
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Galerie Maria Lund
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Né à Minneapolis, Tom Arndt s’est attaché à photographier son Minnesota natal. S’inscrivant dans la grande tradition de la photographie documentaire américaine, il nous livre un album de famille du Minnesota avec une très grande empathie et une grande dignité.
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Les Douches la Galerie
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Xavier Veilhan aime se confronter au génie des lieux. C’est avec un spectacle musical qu’il investit le jardin du musée Eugène-Delacroix. Le ballet mécanique qu’il a imaginé fonctionne comme un prélude visuel à l’interprétation d’une pièce pour harpe d’Eliane Radigue, « Occam I », composée en 2004.
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Evénement
Jardin du musée Eugène Delacroix
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Johann Rivat peint l’exaltation des inconnus qui se dressent, ici et là, contre l’ordre du monde. Fasciné par l’égarement des peuples désenchantés, il représente le rêve fou de ceux qui veulent changer le système sous nos yeux cathodiques. Les scènes de rue de Johann Rivat ont l’intensité ardente des tragédies grecques.
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Galerie Metropolis
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Pour sa première exposition, Salle Principale invite l’architecte et scénographe Patrick Bouchain. Figure majeure de l’architecture contemporaine, Patrick Bouchain est représenté pour la première fois par une galerie d’art contemporain.
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Salle Principale — la galerie
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19:00
Patrick Javault invite Anne Laure Sacriste à l’occasion de la sortie de son livre « Orion aveugle », qui réunit une sélection d’œuvres, tableaux compositions, caractérisées par l’emploi de fonds monochromes, la présence de motifs végétaux qui rappellent des paysages vus dans la nature ou dans la peinture classique ou romantique.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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