Magazine
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Reportage
Oscillant entre traces et disparition, présence et absence, les œuvres de Katinka Bock activent des processus en même temps qu'elles témoignent de leur(s) action(s) dans le temps, notamment sur la matière.
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Cette semaine à Paris
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La Fondation HCB rend hommage à deux grands maîtres de la photographie : Henri Cartier-Bresson et Paul Strand. La mise en perspective de leurs travaux sur le Mexique entre 1932 et 1934 est l’occasion pour le public de découvrir deux visions d’un même pays et surtout deux approches de la photographie.
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Fondation Henri Cartier-Bresson
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18:30
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Rencontre
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Pascal Gautrand en conversation : Art is Language, Fashion is Language, Art is Fashion
Galerie Taïss
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Les spots paintings de Damien Hirst font partie des peintures emblématiques de l’art contemporain, leur symbolique est reconnue universellement, dépassant ainsi les barrières de la culture et du langage. Depuis la première spot painting réalisée en 1986 jusqu’aux œuvres les plus récentes cette exposition présentera le « monde des pois » de Damien Hirst.
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Gagosian Gallery
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Les missions du Fonds municipal d’art contemporain (Fmac) de Gennevilliers sont orientées sur la jeune scène française, en correspondance avec le travail prospectif mené par la galerie Édouard-Manet.
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Galerie Edouard-Manet de Gennevilliers
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Exposition documentaire à l’occasion de 50 ans du Prix Nobel de littérature et 120e anniversaire de la naissance de Ivo Andric. Exposition réalisée par le Musée de la Ville de Belgrade et le Musée Mémorial d’Ivo Andric avec le soutien du Ministère de la culture de la République de Serbie.
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Centre culturel de Serbie
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Vincent Beaurin élabore ses expositions comme des paysages. Chaque œuvre prend position dans l’espace comme autant de lieux qui constituent le paysage. Ces lieux attirent et produisent un effet que certains ont appelé, en raison de son caractère peu ordinaire, l’aura.
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Galerie Laurent Godin
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Avec Curls, Kinks and Waves, l’artiste dresse un décor — une scène abstraite constituée de paysages fragmentés, d’horizons onduleux et de silhouettes féminines sensuelles. Les nouvelles œuvres de Hill évoquent le marché, la richesse à travers les lignes et les courbes fantaisistes et subtilement érotiques de ces pierres tombales balnéaires.
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Galerie Almine Rech
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Mark Hagen compose des désorientations temporelles subtiles et met en relief des événements inattendus, tandis que des enchevêtrements physiques reflètent des enchevêtrements visuels. Pour cette exposition, il manipule la toile de jute, la peinture acrylique de bâtiment, le ciment et l’obsidienne à travers de nombreux processus contrôlés ou abandonnés au hasard.
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Galerie Almine Rech
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L’humour est souvent manifeste tout au long du travail de Boris Mikhailov, et tend à être le lien qui unit ses autoportraits. Sa sensibilité comique peut être vu dans la série « I am not I », en particulier lors de gesticulations ridicules avec un gode.
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Suzanne Tarasieve
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La galerie Marian Goodman présente « The Devil’s Fidelity », qui rassemble un groupe d’artistes internationaux, dont le travail n’a jamais été exposé à la galerie. Si ces six artistes représentent un champ large de travaux distincts en vidéo, photographie, sculpture et peinture, ils se rejoignent néanmoins autour de certaines trames communes.
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Galerie Marian Goodman
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A l’instar des mains jointes de la religion catholique, du poing levé de la révolte, de la main tendue à plat du salut fasciste, des deux doigts écartés des hippies ou encore de la manita des « indignés », la fameuse position des mains lors d’une séance de « table tournante » réussit à elle seule à symboliser universellement le mouvement spirite.
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Galerie Florence Leoni
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L’exposition imaginée pour la rentrée 2012 a la densité d’un ciel d’orage : invasive, démesurée, massive, la sculpture en bois de François Mazabraud jouxte les œuvres de Mateo Andrea et d’Oliver Beer.
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Galerie de Roussan
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La galerie Wallworks propose une version parisienne de l’exposition Off The Wall qui s’est tenue à Singapour en novembre 2011, après Jakarta en 2010. Organisée par Claude Kunetz, elle rassemble neuf des artistes ayant participé à l’exposition de Singapour sur le concept d’échanges entre street-artistes occidentaux et asiatiques.
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Turbulence des mélanges liquides et des vapeurs, amoncellement contradictoire de matières d’origines diverses : la peinture de Matthieu Blanchard procède d’une longue cuisine. L’humidité d’une cave, retardant son temps de séchage permet à la peinture de ne pas se figer et d’envahir l’espace, pour en disparaissant devenir une résurgence imprévisible.
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Galerie Samy Abraham
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La mémoire est un phénomène complexe, multiforme, objet de recherches continues tant du côté des sciences que de la philosophie, trop central à l’esprit humain pour laisser les artistes indifférents… après une première exposition axée sur la relation entre mémoire et écriture, le deuxième volet de chapelle vidéo met en lumière l’articulation entre mémoire, jeu et création.
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L’artiste indonésien Eko Nugroho sillonne Paris comme il sillonne Yogyakarta, capitale culturelle de Java : profondément ancré dans l’univers urbain, son travail traduit en dessins et en motifs le bruit et la fureur de la rue, les jeux de regards, les attitudes — et tous les moyens de création sont bons pour traduire ces mixages entre Indonésie et Orient.
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Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
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Marion Meyer Contemporain soutient depuis plusieurs années le travail de Werner Büttner. Né dans les années 50, cet artiste allemand, dans la lignée de ses contemporains Albert Oehlen et Martin Kippenberger, s’inscrit dans la vague des « Neue Wilde » ou « Junge Wilde », qui prônèrent un « retour à la peinture ».
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Galerie Eva Meyer
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En poursuivant sa radioscopie de l’architecture et du développement des grandes agglomérations, Gabriele Basilico observe l’évolution de ces lieux de vie et de civilisation où cohabite désormais la majorité des humains.
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Galerie Anne Barrault
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Difficile de donner une unité stylistique à l’œuvre d’Hubert Duprat. Son intention n’est pas de surprendre et de créer sans tenant ni aboutissant; chaque œuvre est le résultat d’un moment précis et tangible d’une expérience significative par laquelle il rompt provisoirement avec ce qu’il avait précédemment mis en place.
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Galerie Art : Concept
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Les peintures présentées à la Galerie Marie Cini apparaissent à la fois comme un inventaire de propositions insolites mais aussi comme une contribution actuelle à l’abolition des genres. Ni natures mortes, ni paysages et encore moins portraits, elles participent de tout cela à cause d’une égalisation volontaire due à la technique.
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Galerie Marie Cini
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Boris Mikhailov revient à son travail sur l’Ukraine postsoviétique et retourne photographier des scènes de rue pour confronter son regard à la réalité sociale d’un pays où, aujourd’hui, « tout peut être acheté et vendu, même les enfants ».
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Galerie Suzanne Tarasieve, Marais
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De retour de Corée du Sud, Marie Lelouche investit la galerie Alberta Pane avec une exposition en deux volets directement inspirée par ses séjours au pays du matin calme. Cette jeune artiste française, née en 1984 et diplômée de l’Ensba en 2008, s’est spécialisée dans l’art raffiné du verre soufflé et de la porcelaine.
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Galerie Alberta Pane
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Des formes obliques, des diagonales, des zones d’ombre triangulaires ressurgissent ici et là. Dans les photographies, les lignes de l’architecture doublées par des lignes d’ombre multiplent les plans. Le dessin se profile dans l’image, tandis que des formes abstraites issues des photographies font leur apparition dans les dessins.
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Galerie Frank Elbaz
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Le monde est empreint de gravité. Personne ne prétend s’y soustraire, mais certains prennent le parti d’en jouer. Les lois de la physique sont incontournables certes, mais huit artistes pratiquent ici le détour pour donner forme à l’impalpable et braver la pesanteur.
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Galerie Bertrand Grimont
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Time Capsule s’appuie sur une notion que l’on trouve dans la peinture médiévale : plusieurs temporalités sont rassemblées dans une image comme un mouvement décomposé. L’image devient une architecture du temps. Ce principe sera exploré à travers le prisme d’œuvres de huit artistes de différentes générations.
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La maison des arts, centre d'art contemporain de Malakoff
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Alors que depuis de nombreuses années, les modes de fabrication et de circulation des objets et des images ont laissé place au doute, à l’incertitude quant à leur nature et leur véracité, les artistes réunis autour de ce projet, participent, à leur tour, à cette migration, tant sémantique que physique, des formes contemporaines.
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Florence Loewy
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Stock Option, titre emprunté au champ lexical du monde financier comme un rappel à l’actualité, trouve ici une autre résonance. Entre organisation et chaos les frontières sont floues, les solutions multiples. Stock Option est une installation en mouvement qui se poursuit tout au long de l’exposition, à la recherche de solutions alternatives.
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Galerie 22,48 m²
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Dan Flavin réalise dès 1961 des monochromes en volume surmontés ou barrés de tubes fluorescents qu’il nomme « Icons » bien qu’il conteste toute référence mystique ou religieuse dans sa démarche.
Dans un dialogue constant avec la peinture, la sculpture et l’architecture, il inaugure en 1963 l’œuvre « the diagonal of May 25, hommage à La Colonne sans fin de Brancusi. »
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Galerie Emmanuel Perrotin
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A l’occasion de sa troisième exposition à la Galerie Perrotin, Lionel Estève développe un environnement, empirique et sensuel, constitué de sculptures longues de 10 à 15 mètres aux couleurs acidulées faites de tissus, de sable, de milliers de perles et d’épingles tel un vivarium où se nouent et se mélangent des étranges serpents.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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« lnvisibles » renvoie à plusieurs questionnements de l’œuvre de Veronique Ellena : la place de l’homme dans la société et la cité, l’environnement, sa symbolique, l’empathie avec les êtres. Sans pathos ni misérabilisme, elle photographie les sans-abris, formes imprécises, voire mystérieuses, qui semblent appartenir au corps de la ville.
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Galerie Alain Gutharc
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La galerie Bendana Pinel propose de confronter les regards de deux artistes de la scène émergente brésilienne sur notre société contemporaine. D’une part le travail métaphorique et poétique de Pedro Motta montre l’exploitation de la richesse de la nature, de l’autre la symbolique que Matheus Rocha Pitta tire de la consommation ordinaire l’idée d’indifférenciation.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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Projet gutenberg réunit les travaux de sept artistes qui évoquent un même constat: du plomb au numérique, de la typographie classique à la technologie offset, l’impression a plus évoluée en un demi-siècle qu’elle n’a changée depuis l’invention de l’imprimerie.
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Galerie Jeanrochdard
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Le travail de Nicolas Momein met en jeu une certaine rivalité entre les dimensions fonctionnelles et sculpturales des objets. En usant de gestes simples, il s’agit pour lui de matérialiser une dérive formelle, un enchaînement possible entre des processus de fabrication, et d’interroger dans son travail le rôle de l’artiste comme producteur.
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Galerie White Project
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Vanille rassemble les travaux des artistes Nicolas Deshayes et George Henry Longly qui explorent les enjeux du goût et du désir dans le cadre de l’espace privé et public. En choisissant le terme « vanille » comme titre de l’exposition, les artistes s’amusent de la définition du « goût », à la fois comme jugement esthétique et comme saveur.
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Galerie Valentin
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Xue Sun présente pour la première fois son travail dans une galerie à Paris. « La nature produit des choses tellement extraordinaires que je me plierais volontiers corps et âme devant elle. Je cherche à me débarrasser de tous les critères d’appréciation du « monde civilisé », je cherche juste à façonner un visage humain « à l’était pur ». »
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Galerie Eric Mircher
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L’exposition-dossier « New Frontier : l’art américain entre au Louvre » est centrée sur Thomas Cole (1801- 1848) et la naissance de la peinture de paysage américaine, selon le type grandiose et sauvage élaboré par la littérature américaine contemporaine. Cinq œuvres prêtées par les institutions partenaires rendent compte de ce moment inaugural.
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Le Louvre
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L’exposition présente une série d’objets en mutation, mais arrêtés ou minéralisés par le geste artistique dans un état intermédiaire ou embryonnaire, à l’exemple de la maquette d’une commande pour l’espace public de Franz West plongée dans un parallélépipède en plexiglas rempli de résine.
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Galerie Hussenot
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19:00
A l’occasion de la publication de « La traversée du XXème siècle — Joseph Beuys, l’image et le souvenir » de Jean-Philippe Antoine, la Fondation d’entreprise Ricard propose une conversation avec l’auteur et Marjolaine Lévy. Première monographie d’envergure en français, le livre vient combler un vide éditorial.
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Conférence
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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Pendant trois jours Dominique Issermann a photographié Laetitia Casta, à Vals, dans les Thermes construits par l’architecte Peter Zumthor en Suisse.
C’est un travail à deux, un pas de deux, une chorégraphie photographique.
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MEP
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Voyageur compulsif, Götz Göppert sillonne le monde aussi bien que l’univers de ses proches avec pour seul but de se laisser happer par le beau et l’inhabituel, rapportant au gré de ses échappées une documentation de ce qui l’entoure.
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MEP
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William Ropp présente, à la Maison Européenne de la Photographie, une sélection d’environ 20 photographies ponctuant 20 années de travail. De l’obscurité révélatrice du studio aux vastes étendues africaines, en passant par les villages du Mexique, ici, ailleurs, partout, il détaille les fils d’une obsession pour l’homme dépouillé de ses artifices.
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MEP
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Pascal Rivet est sculpteur. Depuis 2001, son intérêt se porte sur le monde du travail et ses représentations symboliques. Il s’intéresse actuellement au monde agricole. Pièce maîtresse de l’exposition que lui consacre le centre d’art de l’Onde, Dominator est inspirée d’une moissonneuse-batteuse fabriquée dans les années 1980 par la marque allemande Claas.
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Micro Onde — Centre d’art contemporain de l’Onde
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Une partie des régimes, après les égarements embrasés de révolutions utopistes, voient se refermer ou s’amenuiser les idéaux démocratiques pour des chaos généralisés. Les médias nous saturent d’exécutions sommaires, de tortures et de massacres ethniques de camps de réfugiés, de villes en flammes. Mais où se situent les artistes dans ce monde ?
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Galerie Albert Benamou
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Le point de repère historique de ce volet est la revue féministe « Sorcières » (1975-1982) qui accompagne les mouvements féministes des années 1970 en traitant, au fil de ses parutions et entre autres thèmes, les questions du travail domestique non rémunéré, du contrôle de la vie humaine et de la violence contre les femmes.
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Maison populaire
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Croisement irrésolu entre le projet des avant-gardes, qui attribue à l’objet artistique une valeur pratique, et le geste duchampien conférant à l’objet d’usage une valeur symbolique, le travail de Mathieu Mercier redéfinit sans cesse les modalités de production des objets et leur passage dans le champ de l’art.
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Le Crédac
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Mais où donc est passé Joachim Mogarra, cet imprévisible artiste, ce poète des objets du quotidien, cet historien moqueur des grands textes classiques, démiurge à ses heures, enfant perdu dans le monde des adultes, magicien manipulateur qui cueille pour nous des images insolites ?
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Galerie G-P & N Vallois
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