|
Cette semaine à Paris
|
– Voir l’agenda sur Slash
|
|
|
This is not a book présente l’intégralité des livres d’artistes édités et produits par Rosascape depuis sa création en 2009. Le titre même de cette exposition renvoie au concept du livre comme espace de création et de monstration d’une œuvre à part entière, comme redéfinition totale — et infinie — de la nature même du livre.
|
Rosascape
|
|
|
Les neurones ont ceci d’extraordinaire que leur activité est tout à la fois foncièrement indispensable et totalement hors de portée de nos sens. Rendues visibles par le système d’imagerie Brainbow, les connexions neuronales apparaissent comme les pixels constitutifs d’une image. Associés le temps d’une exposition, six artistes proposent la mise en résonance d’œuvres et de propos.
|
Galerie Bertrand Grimont
|
|
|
19:00 → 21:00
Alun Williams est un peintre d’histoire. Mais il ne peint pas des couronnements royaux comme David ou des scènes de guerre comme Gros. Alun Williams raconte l’histoire de la peinture. Il nous invite à regarder l’art avec légèreté, en se « délestant » du poids de l’histoire.
|
Rencontre
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
|
|
|
Le Louvre invite Wim Delvoye à intervenir dans plusieurs espaces du musée : sous la pyramide, au sein des appartements Napoléon III, dans les salles gothiques du département des Objets d’art et dans le jardin des Tuileries. Après Tony Cragg, Wim Delvoye est le deuxième artiste à concevoir une nouvelle sculpture monumentale pour la colonne du belvédère.
|
Le Louvre
|
|
|
Les peintures de Guillaume Bresson mettent en relation harmonies formelles et anomalies du récit et font de l’artiste un héritier pictural des avant-gardes littéraires et cinématographiques. L’exposition résulte d’une ouverture dans le processus et les sources de la création, l’artiste ayant favorisé la friction entre les représentations et les espace-temps.
|
Galerie Nathalie Obadia
|
|
|
Rassembler François Génot, Muriel Moreau et Line Orcière dans une même exposition était une évidence. Leurs œuvres suivent le fil de sensibilités voisines, qui sont constamment cultivées au contact de la nature, puis affinées et acérées dans la pratique du dessin.
|
Galerie LWS
|
|
|
On pourrait considérer deux type de vécus : celui de l’Extérieur et celui de l’Intérieur.
Dans mon travail de sculpture, j’apporte une « charge » à l’œuvre en cours de réalisation, charge qui est soit purement mentale (incantation sérieuse ou loufoque, projection de pensée…), soit par l’introduction d’une « relique », d’un petit rien visible ou caché — Skall
|
Galerie Patricia Dorfmann
|
|
|
Yuhsin U Chang envisage la matière organique comme médium abondant de potentiels d’expressions, et autant de possibilités de métamorphose. Les matières utilisées, inertes, brutes, résiduelles, rejetées, dépréciées se transforment, dans la perspective d’un devenir. Sculptures fragiles mais dynamiques, elles semblent se mouvoir et s’altérer avec le temps.
|
A2Z Art Gallery
|
|
|
L’exposition réunit une vingtaine d’artistes et interroge autour de trois axes les « usages et convivialité » posant la question du paysage urbain ou familier voir intime, ainsi que l’idée de la temporalité dans la question de l’usage. L’exposition propose tour à tour aux publics d’être regardeurs, acteurs et usagers.
|
La maison des arts, centre d'art contemporain de Malakoff
|
|
|
Dans ses sculptures monochromes, Marcello Cinque expérimente de nouveaux matériaux, comme la peinture élastique et le caoutchouc spongieux. Celui-ci capable de s’enrouler sur lui-même, comme s’il sortait pressé directement d’un tube de couleur, lui permet de créer de véritables formes « post-lunaires » qui annulent les lois de la gravité.
|
Galerie Pièce Unique
|
|
|
À contre-courant des modes de la sculpture actuelle, Thomas Lerooy poursuit avec « Souvenir » sa démarche de réinterprétation des modèles empruntés à la statuaire classique qu’il revisite avec une vivacité résolument contemporaine et une gravité teintée d’humour noir qui n’est pas sans rappeler le Maurizio Cattelan de Comment un écureuil a-t-il pu en arriver là ?
|
Galerie Nathalie Obadia
|
|
|
Grey Area présente ici une nouvelle exposition collective : Ryan Boatright, Richard Galpin et Katie Godwin jouent avec les nuances de la couleur. Certaines œuvres abordent la couleur comme point de départ conceptuel, d’autres jouent simplement avec la brillance.
|
Grey Area Multiples
|
|
|
L’exposition ainsi que la programmation de performances No Sport, s’attachent à faire de l’échec un principe moteur de la création et de la réception esthétique et à ne pas distinguer la constitution d’un objet ou d’une exposition de son exécution et de sa perception, conjuguant l’expérience esthétique à celle de la vie.
|
ENSAPC YGREC
|
|
|
En réinventant un générateur de formes d’ondes low tech et obsolète à l’heure du tout numérique, la sculpture Bzzz! s’inscrit dans une réflexion sur l’histoire des techniques et tente de rendre hommage, à sa manière, au son analogique sans échantillonnage ni traitement, le son de l’électricité.
|
Plateforme
|
|
|
Il faut savoir conclure et en finir. Faire tout sortir. Ou alors tout rentrer, on ne sait plus. Chez Mrzyk & Moriceau, tout part du dessin — conformément à son étymologie — mais toutes leurs œuvres en volume y retournent. Littéralement.
|
Galerie Air de Paris
|
|
|
Pour sa seconde exposition à Air de paris, Leonor Antunès présente une série de nouvelles sculptures réalisées à partir de mesures prises sur des constructions modernistes. Ses réalisations sont autant de retournements : elle opère rien de moins que le geste anti-moderniste sur des référents ostensiblement modernistes.
|
Galerie Air de Paris
|
|
|
Albert Moser, créateur aussi sauvage que secret, est une découverte majeure. D’abord parce que son exposition repose la sempiternelle question de la réception d’une œuvre, conçue et conservée dans la clandestinité. Ensuite, parce que les créations de Moser interrogent avec force la problématique de la photographie dans l’art brut.
|
Christian berst art brut
|
|
|
18:00 → 21:00
L’invitation est faite aux artistes d’investir cet espace, abordant les limites de cette notion de résistance, aussi bien dans sa forme sculpturale que politique. Performances d’Alexandre Gérard, Double You, Nicolas Puyjalon
|
Performance
ENSAPC YGREC
|
|
|
LʼAmérique regarde toujours devant elle. Ici, pas dʼhistoire, de patrimoine ou de passé qui alourdissent. « Les adolescents représentent le futur », disent les américains. Larry Clark a été lʼun des premiers à être fasciné et à vouloir revivre cette période quʼil lui semblait avoir bâclée. Sur la scène des US, de jeunes artistes regardent toujours cette génération de teenagers.
|
Suzanne Tarasieve
|
|
|
Pour son exposition à la Galerie Praz-Delavallade, Adi Nes présente une sélection de photographies de sa nouvelle série : The Village. Comme dans ses travaux précédents, il convoque ici les notions d’identité et de masculinité. Cependant, The Village se distingue par sa mise en scène dans un paysage rural et surtout par sa référence à la tragédie grecque.
|
Galerie Praz-Delavallade
|
|
|
Les nouvelles sculptures présentées par Stephen Maas peuvent se réunir sous le signe du déplacement et de la transformation. Déplacements de mots, de lettres, de matériaux et de formes, mais aussi d’usages et de positions. Autant d’occasions de provoquer, d’observer et de retenir des états de matière et de signification paradoxaux.
|
Galerie Bernard Jordan
|
|
|
10:00
Le théâtre agricole est une journée d’études organisée par Bétonsalon, en lien avec l’exposition Tropicomania : La vie sociale des plantes. Elle sera consacrée à l’exploration historique et actuelle des enjeux politiques, socio-économiques et écologiques de la production agricole.
|
Evénement
Musée du quai Branly
|
|
|
14:00
Ananas appréhende et démêle les différents fils de la toile d’araignée mondiale que représente une multinationale de fruits. A partir de la projection d’Ananas, différents spécialistes ont été sollicités pour rendre compte de l’histoire de ces plantes voyageuses et commenter les divers enjeux de leur production industrielle.
|
Cinema
Muséum national d’Histoire naturelle — Grande galerie de l’évolution
|
|
|
Morgane Tschiember explore les qualités performatives de matériaux à valeur ajoutée ou sans qualité — métal, mousse expansive, verre, plastique — qu’elle soumet à toutes sortes d’impacts. Chacune de ses œuvres cache ainsi, en sous-texte, une série d’actions efficientes et diverses et dévoile ainsi en creux le « faire » à l’œuvre derrière ses formes.
|
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
|
|
|
L’exposition Ici, organisée en parallèle de l’exposition Là-bas à la Maison européenne de la photographie, nous propose de découvrir des espaces particuliers, des ailleurs, des lieux, hors de tous les lieux qui pourtant restent localisables.
|
Galerie Michel Rein
|
|
– Voir l’agenda sur Slash
– Tous les événements en ce moment
|
|
|