Domitille Ortès
Les peintures, dessins, photos et vidéos de Domitille Ortès marquent un temps suspendu comme dans « le paradis des splendeurs disparues » dont parle Lewis Carroll.
Marie Guilhot-Voyant
PHOTOGRAPHIE
Domitille Ortès, Table rase 3, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, La Chevelure de Bérénice 1, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, Jeu de mains 1, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, Réflexion Portrait 1, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, La Chevelure de Bérénice 2, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, Ombilic 1, 2012
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, La Blanche 3, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, Table rase 1, 2013
Photographie — Dimensions variables — édition de 12
Courtesy of the artist
PHOTO-SCULPTURE / PHOTO-INSTALLATION
Les réflexions sur l’identité ont amené Domitille Ortès à réaliser des séries de photographies.
Et pour être au plus près des questionnements que certaines induisaient, elle a commencé à réfléchir à leur mise en espace et à concevoir des objets.
Domitille Ortès, Eventail, 2013
Photo-sculpture — Dimensions variables — Pièce unique
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Domitille Ortès, Dans le pantalon, 2012
Tirages sur papier Ilford collés sur contreplaqué — 166,5 × 112,5 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Cellule, 2013
Photo-sculpture — Dimensions variables — Pièce unique
Courtesy of the artist
Domitille Ortès, Boîte à réflexion, 2013
Bois laqué, miroir et photographie — Dimensions variables — édition de 5
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PHOTO-REFLEXION
À travers une boîte à réflexion, des paysages ont été photographiés.
Ont ainsi été réalisées des images dont une partie, voire la totalité, apparaît inversée.
Certaines parties de ces visuels se troublent tandis que d’autres restent très précises. D’autres encore apparaissent à l’endroit.
On obtient une vue fragmentée et partielle. Le paysage réel est reconstruit à partir d’une architecture personnelle, provoquant une perte de repères et une sensation d’irréalité.
Domitille Ortès, Les manches, 2012
Huile sur toile — 65 × 81 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Restauration, 2013
Huile sur toile — 130 × 170 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Recroquevillée, 2013
Huile sur toile — 97 × 130 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Les mains, 2011
Huile sur toile — 50 × 40 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Cordelette, 2012
Mine de plomb et crayons de couleur sur papier — 32 × 24 cm — Pièce unique
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Domitille Ortès, Cordon sur l’épaule, 2012
Mine de plomb et crayons de couleur sur papier — 32 × 24 cm — Pièce unique
Courtesy of the artist