AKAA 2017 — Also Known As Africa
Foire
AKAA 2017
Also Known As Africa
Passé : 10 → 12 novembre 2017
Paris Photo, AKAA, etc. — Un novembre d’art contemporain L’effervescence de la Fiac et de son cortège de foires satellites s’achève à peine que le cœur de Paris s’apprête à battre à nouveau avec le second temps fort de l’automne en matière d’art moderne et contemporain, mené par la désormais incontournable foire Paris Photo. AKAA 2017 Présentée du 9 au 12 novembre au Carreau du Temple, la seconde édition de la foire Also Known As Africa réitère la belle impression que la première nous avait laissée avec un parcours de qualité, aéré et solide qui nous plonge avec plaisir dans la création africaine d’aujourd’hui et d’hier.Art & Design Fair
Forte du succès de sa 1ère édition en 2016, la foire d’art contemporain et de design AKAA — Also Known As Africa — revient du 10 au 12 novembre 2017 au Carreau du Temple, à Paris.
Un véritable enthousiasme pour cette scène artistique s’est confirmé ce printemps par les multiples manifestations dédiées à la création africaine, sur l’ensemble du territoire. Dans ce contexte, AKAA s’affirme comme le rendez-vous marchand et culturel pérenne, permettant de découvrir toute l’ampleur et la diversité d’artistes émergents ou confirmés originaires d’Afrique et de sa diaspora ou inspirés par le continent, travaillant sur tous types de supports.
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2017, AKAA poursuit son développement :
AKAA accueille pour cette 2ème édition 38 galeries provenant de 19 pays, dont 11 pays africains : Afrique du Sud, Angola, Côte d’Ivoire, Cameroun, Ethiopie, Kenya, Maroc, Ouganda, Sénégal, Tunisie, Zimbabwe.
La section design s’étoffe avec l’arrivée des designers comme Hicham Lalou, Abderrahim Yamou, Hamed Ouattara, Balla Niang…
Découvrez les galeries participantes
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Special Projects
AKAA accueille 7 Special Projects :
- Une installation monumentale accueille les visiteurs dans la nef centrale de la foire, œuvre de l’artiste camerounais BILI BIDJOCKA: Enigma #55 — Je suis la seule femme de ma vie.
- Dans le tout nouvel espace AKAA UNDERGROUND, conçu comme un laboratoire de pensées et pratiques artistiques proposant ateliers, rencontres, conversations performances et signatures de livres :
- Une carte blanche est donnée à l’artiste Sud Africaine LADY SKOLLIE qui occupera un espace dédié pour un projet audacieux réalisé in situ :The Mating Dance.
- Un hommage sera rendu à l’artiste sénégalais OUSMANE SOW, disparu en 2016. Un espace est dédié à l’artiste où seront présentés l’œuvre inédite le Nouba qui se maquille ainsi que deux bronzes de la série intitulée Petits Nouba, aux côtés de photos signées Béatrice Soulé. Deux films réalisés par Béatrice Soulé seront projetés le 10 novembre à l’occasion d’une table ronde animée par l’historienne d’art Françoise Monnin
- DUCK & RABBIT PROJECTS fruit d’une collaboration de longue date entre Arlene Wandera et Richard Zeiss, conçus comme des conversations expérimentales entre ces deux artistes aux pratiques et aux origines très différentes. Duck & Rabbit est dédié à la production de projets in situ ayant pour objectif de plonger le spectateur, au sein d’un même espace, au cœur des effets d’attirance et de répulsion de leurs deux approches artistiques opposées.
Sous les verrières de la Grande Halle :
- NEOFUZZ une exposition dédiée au design africain est confiée à Amy Ellenbogen, commissaire sud-africaine invitée. « Fuzz » (de l’anglais fuzzy = flou) fait référence aux lignes entre les idées, les cultures, les perceptions et les esthétiques dont les contours sont devenus nébuleux. L’exposition se concentre sur des produits, objets, récipients, ornements, matériaux et sensations qui célèbrent avec humour le design africain au sens large, riche héritier de traditions ancestrales souvent confondues ou catégorisées comme artisanales, toujours imprégnées d’anthropologie, de sincérité et de candeur.
- La Fondation TRIAD, présente « SHIELDS — BOUCLIERS », un projet né de la collaboration entre Virginia Ryan and René Peña. Le travail des deux artistes explore la relation entre le blanc et le noir, entre le contraste et le contact, entre l’objet et la relation viscérale née de la transformation de matériaux bruts : la surface de notre peau dans le cas de González et les débris abandonnés dans les grands objets contemplatif de Ryan.
- THE TEARS OF THE BANAMAN — une installation de Jean-François Boclé — Maëlle Galerie. La banane reste aujourd’hui l’icône d’un ailleurs exoticisé et fantasmé, comme elle nous renvoie à la figure d’une altérité radicale. Le fruit nous dit l’impossible, et pourtant nécessaire, fluidité entre endogène et exogène. Le dimanche 12 novembre à 17heures le public est invité à dévorer la sculpture de Jean-François Boclé faite entièrement de bananes !
Horaires
Vendredi & samedi 10 & 11 novembre : 11h — 20h — Dimanche 12 novembre : 11h — 18h
Tarifs
Plein tarif 16 € — Tarif réduit 8 €
Gratuit moins de 18 ans