Magazine
|
– Voir le sommaire du Magazine
|
|
Critique
Pour sa deuxième exposition personnelle à la galerie Christophe Gaillard, Guillaume Lebelle a choisi de présenter les productions de ces deux dernières années. Un travail où l’on devine une gestuelle agitée qui mène à une peinture abstraite aussi fébrile que maîtrisée.
Lire la suite
|
|
|
Cette semaine à Paris
|
– Voir l’agenda sur Slash
|
|
|
Vanessa Winship photographie l’Amérique, la persistance du rêve américain : « Pour moi la photographie est comme un processus d’alphabétisation, un cheminement par lequel je comprends que la vie ne nous est pas offerte sous la forme d’un récit parfaitement structuré ».
|
Fondation Henri Cartier-Bresson
|
|
|
Bruce Wrighton est mort à 38 ans, en 1988, laissant derrière lui un corpus limité, mais d’une force intemporelle : sa ville de Binghamton, ses habitants, ses nomades, ses diners, ses compositions, ses couleurs pointues, et même ses voitures cinématographiques.
|
Les Douches la Galerie
|
|
18:00 → 22:00
|
Vernissage
|
La galerie présente la première exposition personnelle de Juliana Borinski. Son travail déconstruit les médiums de représentation classiques, en altérant leurs mécanismes et leurs propriétés, à travers des installations, photographies et rayogrammes.
Galerie Poggi
|
|
|
Les œuvres de Stéphane Thidet mettent en scène sa vision de la réalité en l’imprégnant de fiction et de poésie. S’appuyant sur des situations de la vie courante, il y décrit toutefois la notion d’instabilité face à l’érosion du temps et de l’action qui mène à leur disparition.
|
Galerie Aline Vidal
|
|
|
Cette exposition présente au grand public le travail de l’un des principaux ingénieurs du XXe siècle. Grand spécialiste des structures en acier, l’Irlandais Peter Rice (1935-1992) a participé à la conception et la réalisation de nombreux projets qui font référence dans le monde de l’architecture.
|
Centre culturel irlandais
|
|
|
Cette 1ere édition invite le spectateur à une conversation entre Julie Legrand et Romain Rivière. L’espace de la galerie se transforme en une déambulation autour de leurs médias favoris, le travail du verre de Julie Legrand et celui de la photographie de Romain Rivière. L’univers de l’un répond à celui de l’autre à travers une scénographie à la fois dense et radicale.
|
Galerie Backslash
|
|
|
Les œuvres de Bernhard Rüdiger confrontent le visiteur à une expérience physique mettant en jeu l’objet, le corps et l’espace. À la fois sculptures, maquettes monumentales et architectures, ses œuvres cherchent, par leur agencement spatial et sonore méticuleux, à faire résonner l’histoire.
|
Galerie Bernard Bouche
|
|
|
Le cœur du travail d’Aram Bartholl est principalement issu de cette tension entre public et privé, hors ligne et en ligne, engouement pour la technologie et vie au quotidien. Qu’il s’agisse d’interventions ou d’installations publiques, l’artiste cherche là aussi, à mesurer cette part du monde numérique présente dans la réalité, et par quel artifice elle s’y trouve.
|
Xpo Gallery
|
|
|
La lumière comme matériau artistique spécifique interroge l’art dans ses dimensions fondamentales. Avec elle, les artistes déterminent les conditions de possibilité de nos expériences et bouleversent notre rapport au monde autant que notre rapport à l’œuvre.
|
Galerie Nery Marino
|
|
|
L’exposition Des œuvres qui prennent toute la place entend prendre position sur le rapport entre matérialité et intention, et interroger les conditions selon lesquelles signifiant et signifié correspondent. La perspective choisie prend pour postulat une inextricable filiation entre l’artiste et son travail, en mettant en scène la présence de l’artiste à l’œuvre.
|
Baraudou Schriqui Galerie
|
|
|
Disséminée dans plusieurs quartiers de la ville de Saint-Denis, l’exposition LMQTP 4* présente des œuvres inédites dans différents formats et modalités. Les artistes ont eu le désir d’explorer, d’habiter le territoire et d’en proposer des perceptions et représentations vivantes et innovantes, des nouveaux usages.
|
Synesthésie ¬ MMAINTENANT
|
|
|
Vincent Beaurin recouvre la surface de ses spots au volume entropique avec des mélanges de sable de marbre et de quartz colorés. Il juxtapose des couleurs rayonnantes ou réfléchissantes à des couleurs ombrées qui se mêlent dans une zone de vibration intense. Chaque spot est unique et porte en lui la plénitude de l’ensemble.
|
Evénement
Galerie Laurent Godin
|
|
|
Sciences & Fictions est une réflexion sur le partage des connaissances entre deux mondes opposés, les sciences modernes et les fictions narratives, sur le passage des constructions imaginaires de l’un à l’autre. Onze artistes ont décliné ce thème pour huit œuvres montrées à la galerie de Roussan.
|
Galerie de Roussan
|
|
|
« Libérons la fleur ! » est une exposition programmée dans le cadre du parcours Je sème à tout vent, regroupant onze galeries parisiennes et organisé par David Rosenberg.
|
|
|
|
Obsédé depuis l’adolescence par l’Amérique de Jack Kerouac, Edward Hopper et Robert Frank, le photographe français Rémi Noël a trouvé ici le décor idéal pour ses mises en scène. Grands espaces, routes sans fin, motels des années 60 dans leur jus, le Lone Star State regorge encore de morceaux de cette Amérique éternelle qui l’inspire tant.
|
Galerie Derouillon
|
|
|
La grotte de « La gorge du Diable » (Dyavolsko garlo) en Bulgarie se trouve dans les Rhodopes de l’ouest, à 1,8 km au nord du village de Trigrad et à 17 km au sud de Devin. Pleine de formations curieuses, la possibilité d’effleurer en son sein les mystères souterrains du monde attire et enchante un public toujours plus nombreux.
|
Galerie Patricia Dorfmann
|
|
|
Jason Langer nous guide dans une déambulation nocturne à travers les rues et les cafés, comme sur un air de jazz. Le noir et blanc de ses tirages d’une rare perfection et sa sensibilité poétique nous plonge dans une atmosphère de film noir, à la recherche d’une époque passée, d’une élégance oubliée.
|
Galerie Esther Woerdehoff
|
|
|
La galerie présente la première exposition personnelle de Juliana Borinski. Son travail déconstruit les médiums de représentation classiques, en altérant leurs mécanismes et leurs propriétés, à travers des installations, photographies et rayogrammes.
|
Galerie Poggi
|
|
|
A l’instar des artistes du Pop Art, Adrien Missika s’imprègne de ces images et opère par glissement. Il revisite ainsi un genre traditionnel, le paysage, à une époque contemporaine où la confusion règne souvent entre « la carte et le territoire », entre l’image et l’expérience physique du monde.
|
Galerie Edouard-Manet de Gennevilliers
|
|
|
Pour sa première exposition personnelle à la galerie Kamel Mennour, l’artiste belge Ann Veronica Janssens ponctue l’espace d’œuvres qui jouent des états mouvants de la matière, de diverses nuances de couleurs et de l’intensité de la lumière.
|
Galerie Kamel Mennour
|
|
|
Les œuvres de Jean-Luc Moerman sont parcourues d’un réseau de lignes qui évoquent à la fois le tatouage, les réseaux organiques qui sillonnent un corps, un enchevêtrement végétal, ou plus abstraitement un flux d’énergie.
|
Galerie Suzanne Tarasieve, Marais
|
|
|
Pour réaliser ses peintures situées aux frontières de la sculpture, Andrew Laumann s’affranchit des matériaux qui appartiennent au registre des arts traditionnels au profit d’objets trouvés. Ces objets deviennent une matière première que l’artiste déconstruit pour ensuite reconstituer, altérant leur fonctionnalité et créant une dyslexie visuelle.
|
Galerie Jeanrochdard
|
|
|
Sylvain Ciavaldini privilégie la diversité des médiums (vidéo, dessin, peinture, objets). Polymorphe, sa production s’appuie toutefois sur une pratique récurrente du dessin qui structure sa démarche et formalise son propos. Entre poésie et « scientisme », il essaie de justifier par différents moyens la place de l’artiste, du concept et de l’imaginaire.
|
Galerie Sator
|
|
18:30
|
Vernissage
|
Performance de Yoeri Guépin à 20h.
Baraudou Schriqui Galerie
|
|
|
19:00 → 20:30
Pour chaque espace construit naît un second espace en creux d’où l’on extrait les matériaux. Ce truisme permet d’imaginer le volume réel des sœurs cachées de l’architecture : les carrières, les mines, un poncif qui nous rappelle que chaque geste produit une empreinte directe double. A moins de considérer la ville comme une carrière à ciel ouvert.
|
Conférence
Le Crédac
|
|
|
Les toiles de Ma Sibo nous donnent à voir des fragments de paysages intimes, telles des fenêtres de l’esprit. Dans des lieux épurés de toute présence humaine, les sensations sont confiées aux choses et aux couleurs. En effet, les pinceaux de l’artiste entourent des objets inertes d’une aura émotionnelle, en réveillant une nostalgie vague ou des souvenirs estompés.
|
Galerie Paris-Beijing
|
|
|
Jacob’s Mirage Park est une imbrication de morceaux de rêves, la reconstitution d’un nouvel environnement à partir de souvenirs, songes et mémoires de voyages. Dépassant les limites matérielles de représentation, le projet parle à l’imaginaire collectif à travers des archétypes, des désirs, fantasmes, peurs ou frustrations, inhérents à notre époque mondialisée.
|
Plateforme
|
|
|
La dérision et l’humour mais aussi l’attente, le vide, l’erreur et l’errance sont au cœur de nombreux projets artistiques réalisés par Julien Bismuth. Les comiques de situation et de répétition se mêlent à l’absurdité de la condition humaine.
|
Galerie G-P & N Vallois
|
|
|
La pratique de Mike Cooter, né en 1978 à Epsom, en Angleterre, est inspirée par le cinéma et la littérature. Elle l’amène à s’interroger sur le rôle de l’artiste dans la société au travers d’installations mêlant diverses techniques telles que la sculpture, la vidéo et la photographie.
|
Galerie G-P & N Vallois
|
|
|
Dylan Pelot a reproduit ou créé de toute pièce plus de 150 films avec leurs histoires, acteurs, fiches techniques, contexte historique et tout le toutim. Sur la base de croquis détaillés, il a pris en photo des figurants en costumes et en situation, y a ajouté maquettes, décors, en respectant scrupuleusement les codes graphiques des époques des films pastichés.
|
Point Ephémère
|
|
|
Dialogue, positionnement manifeste sur la scène de l’art contemporain : Novembre à Vitry est pour certains l’occasion de poser les jalons d’un travail en devenir et d’entamer une première mise en perspective. Les démarches artistiques de Maude Maris et Julien Pelloux, à l’image de la diversité de l’art contemporain, s’affirment dans l’espace d’exposition.
|
Galerie municipale Jean-Collet
|
|
|
Situé au confluent du cinéma et de l’art cinétique et influencé par l’héritage des sciences cognitives et de la psychanalyse, le travail de Vincent Betbeze s’applique à l’observation, la décontextualisation et la subversion des structures physiques et conceptuelles réflexives d’une aliénation réciproque du réel et de ses représentations.
|
Jeune Création
|
|
|
Le Laboratoire nous invite avec The Olfactive Project à aborder cette exploration à travers le café, scénographie en cinq actes : écouter, sentir, goûter, manger, boire. Le visiteur finit par l’expérience olfactive du café virtuel grâce à une nouvelle invention : l’Ophone qui permet l’envoi instantané de messages olfactifs.
|
Le Laboratoire
|
|
|
A l’occasion du bicentenaire de la naissance du philosophe danois (1813-1855), Les visages de Søren Kierkegaard est une exposition biographique qui présente huit nouveaux portraits peints par Vibeke Tøjner. Sont projetés tous les jours le film sur Vibeke Tøjner de Jesper Jargil ainsi que le film documentaire « Søren Kirkegaard — un portrait » d’Anne Regitze Wivel.
|
Le Bicolore
|
|
|
Quatre artistes : quatre éléments. Quatre murs, aussi. L’exposition met l’accent sur l’eau et le feu. L’idée est de lier les technologies de l’écriture et toutes les technologies de la peinture qui s’y associent.
|
Galerie Campoli Presti
|
|
|
Erik Samakh se définit lui même comme un « chasseur-cueilleur », d’images et de sons, qu’il capte, enregistre ou déploie dans des espaces naturels. Le musée Rodin invite l’artiste à exposer et à investir le jardin du musée. Entre nature et sculpture, entre matérialité et présence impalpable, Erik Samakh dessine un parcours inédit.
|
Musée Rodin
|
|
|
Il est question d’échos spatiaux et visuels ; des variations et possibles pertes qui façonnent la répétition des espaces ; des doubles conformes et faux ; des creux, arrière-plans et détails qui s’éclipsent. Le vestibule et les canaux semi-circulaires, espaces architecturaux ou anatomiques, propagent les réverbérations.
|
Galerie Alberta Pane
|
|
|
Arborescences permet de voir comment cette thématique a été abordée par les artistes de la galerie avec des œuvres entre autres de Fermin Aguayo, Michael Biberstein, Bissière, Miguel Branco, Jean Dubuffet, Zarina Hashmi, Dani Karavan, Paul Klee, Roberto Matta, Wilfrid Moser, Fabienne Verdier, Susumu Shingu, Nicolas de Staël, Vieira da Silva, Yang Jiechan.
|
Galerie Jeanne Bucher Jaeger | Paris, Marais
|
|
|
Padmini Chettur, Prajakta Potnis et Zamthingla Ruivah donnent à voir la complexité du subcontinent indien, trop lié culturellement au reste du monde, pour que le sentiment d’appartenance à une même nation puisse surgir. Le mot « saudade » par exemple, tout comme le nom de « Bombay » (bom baía) rappelle la persistance d’un passé portugais.
|
KADIST
|
|
|
Avec Paris mon amour Enoc Perez continue d’explorer les thèmes de l’architecture moderniste, la nostalgie et la culture de Porto-Rico dont il est originaire et qui est déjà source d’inspiration dans son travail pictural. Les sculptures revisitent les atmosphères des hôtels dans les Caraïbes, une thématique qui est également présente dans les peintures des années 2000.
|
Galerie Nathalie Obadia
|
|
|
One Piece at a Time est une chanson de Johnny Cash : un ouvrier d’une chaîne de montage vole une pièce de voiture chaque jour dans l’espoir sans doute vain d’avoir enfin sa voiture. Laurent Proux peint aujourd’hui ainsi, morceau par morceau, en espérant à juste titre, non pas que tous ces morceaux finiront par faire image, mais que la peinture en sortira gagnante.
|
Galerie Semiose
|
|
|
Pour sa seconde exposition personnelle à la galerie, Pauline Bastard dévoile un nouveau projet « Les Etats de la matière » ainsi qu’un ensemble de pièces exposées pour la première fois.
|
Galerie Eva Hober
|
|
|
Les œuvres de Damien Cabanes nous entraînent de l’univers de la représentation et de l’objet vers celui de la rêverie et du voyage immobile. Yazid Oulab a produit une série de dessins abstraits avec du graphite embouté à une perceuse. Il en résulte une myriade de points s’élevant en tourbillons lui rappelant la course des électrons et par là l’origine de la matière.
|
Galerie Eric Dupont
|
|
|
Apartés est un projet récurrent élaboré par des artistes invités à interroger les collections permanentes du musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Les artistes sont conviés à choisir des pièces dans les collections afin de les présenter en regard de leurs propres créations et constituer ainsi des dialogues intimes d’œuvres à œuvres.
|
Musée d’Art Moderne de la ville de Paris
|
|
16:00 → 20:00
|
Vernissage
|
Une composition florale ikebana fraîchement installée rivalise de beauté avec une chorégraphie Buto empreinte d’élégance et toujours en dialogue avec les œuvres exposées.
Galerie Da-End
|
|
|
18:00 → 00:00
En regard de l’exposition Fantastique Kenojuak Ashevak, exceptionnellement ouverte pour la Nuit européenne des musées 2013, focus sur l’art inuit contemporain à travers la projection en continu de deux documentaires sur l’incontournable et prolifique communauté artistique de Cape Dorset.
|
Evénement
Centre culturel canadien
|
|
|
La galerie Da-End invite cette année près de quarante artistes à élaborer son troisième cabinet de curiosités contemporain sur le thème des fleurs. Écloses dans ce lieu à part, celles-ci semblent sonder notre faculté à repenser l’Homme et surtout à explorer ses zones d’ombre, à « extraire la beauté du mal ».
|
Galerie Da-End
|
|
14:30 → 19:30
|
Conférence
|
Un colloque explore cette même question de l’imbrication des imaginaires des sciences et des narrations fictionnelles d’un point de vue plus théorique avec la participation de Pierre Cassou-Nogues, Ludovic Duchateau, Jean-Noël Lafargue, Gwenola Wagon et Manuela de Barros.
Galerie de Roussan
|
|
– Voir l’agenda sur Slash
– Tous les événements en ce moment
|
|
|