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Cette semaine à Paris
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Le directeur artistique de l’événement, Alain Bisotti, confie à un artiste une Carte Blanche inédite et hors concours. Cette année, il a choisi le travail onirique de la photographe allemande Ursula Kraft. Avec sa série Alice dans les hôtels, l’artiste va rendre un double hommage à l’univers de Lewis Carroll et de Wim Wenders.
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Galerie Esther Woerdehoff
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Comme Malraux le proposait déjà dans son musée imaginaire, Jean-Pascal Léger nous invite à un va-et-vient entre art moderne et contemporain à travers des œuvres d’artistes tels que Thibault Hazelzet, André Marfaing, Thomas Müller, Daniel Pommereulle, Nicolas de Staël, Pierre Tal Coat, Paul Wallach.
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Galerie Christophe Gaillard
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Le travail de Claude Tétot s’appuie sur une recherche coloriste. Ces couleurs exaltantes constituent le matériau même de ses peintures et nourrissent la confrontation et l’équilibre de la composition. Cette idée de confrontation est au cœur de sa démarche : confrontation de couleurs, de plans, de formes, de traitements.
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Galerie Jean Fournier
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« S’il y a une idée centrale dans mes tableaux, c’est l’idée d’une réalité qui est continuellement dans un état de flux ou de dissolution, qui se fragmente pour ensuite devenir un tout, avant de s’effondrer à nouveau » — Suling Wang.
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Inception Gallery
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Les dispositifs de Bernard Lallemand sont composés d’éléments appartenant à des médiums et des temporalités différents. Ils se modulent en fonction de la nature des espaces dans lesquels ils s’inscrivent. Les associations d’images et d’objets constituent les traces de rêves qui transforment la galerie en un espace mental peuplé de fantômes.
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Dans son travail, Franck Eon s’attache à faire intervenir et réactiver des motifs multiples empruntés à ses œuvres antérieures mais aussi puisés dans l’histoire de l’art ou la culture populaire. Son univers formel très géométrique porte le spectateur dans une dimension picturale aux assemblages fortement contrastés.
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Galerie Cortex Athletico
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La Galerie Almine Rech annonce la seconde exposition personnelle de Beatrice Caracciolo à Paris. A partir de photographies qu’elle transforme par un procédé en plusieurs étapes, Beatrice Caracciolo réalise des gravures, des photogravures et des collages en noir et blanc sur le thème du feu. Il s’agit de la troisième étape de son travail dédié aux quatre éléments.
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Galerie Almine Rech
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Eduardo Terrazas vise principalement à établir un dialogue constant entre les éléments clefs de la tradition artisanale et de la culture populaire de son pays d’un côté et les différentes facettes de l’art contemporain de l’autre. À travers ce dialogue, l’artiste permet une réhabilitation et une évolution de chacun de ces héritages.
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Galerie Almine Rech
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À l’origine de « La vie matérielle », il y a le désir de concevoir une exposition plus physique, plus littérale et en un sens plus abstraite que ce que j’avais pu produire dernièrement. Un projet qui se fonde sur des gestes presque primaires, qui tendent vers un degré zéro, un langage restreint et engagé. L’exposition est une sorte de mécanique vivante.
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Fondation d’entreprise Pernod Ricard
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« Avec cette exposition, je veux peindre les pensées nocturnes d’une femme (…) Ce qui m’intéresse c’est la situation narrative : un homme décrit l’état intérieur d’une femme. Il y a une incommunicabilité entre l’homme et la femme, une réunion toujours ratée, de même que la peinture est toujours une rencontre avortée… » — Paz Corona.
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Galerie Les filles du calvaire
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Karine Rougier, que l’on connaissait jusqu’à présent pour sa maîtrise du dessin, reprend et transpose son univers peuplé de personnages étranges, d’animaux, de masques et de chimères en tenant compte des propriétés plastiques offertes par ce nouveau médium.
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Baraudou Schriqui Galerie
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Plus que des portraits, Katinka Lampe peint des visages, ceux d’enfants ou d’adolescents : des visages sans histoire qui sont des êtres de peinture surgissant de grands fonds colorés. De trois-quarts, de face, en buste, le regard droit ou dissimulé derrière la chevelure, les visages intriguent et veulent entrer en dialogue avec le spectateur.
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Galerie Les filles du calvaire
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Dans un monde où tout est soigneusement délimité, quantifié, sectorisé, Xiao Fan souligne dans son travail la subjectivité de ces barrières en laissant l’esprit vagabonder et braver ces lignes imaginaires. Ses peintures représentent des objets en lévitation ; une vision qui propose une allégorie de l’univers enfermé dans une bulle pour en montrer ses limites.
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Galerie RX
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Pour cette exposition composée de peintures à l’huile, d’installations et de manuscrits, l’artiste Gregory Thielker a collaboré avec l’anthropologue Noah Coburn afin de créer un portrait complexe de l’Afghanistan d’aujourd’hui. Leur parcours sans surveillance militaire leur a permis de rencontrer intimement les locaux. Grâce à une approche anthropologique et artistique, cette étude présente une vision large, subtile et sans a priori de la vie au sein du conflit.
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Galerie Derouillon
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Gayle Chong Kwan crée des photographies comme des miroirs inversés, comme s’il fallait projeter une vision au lieu d’en recevoir le reflet. Ces miroirs d’or sont construits à partir d’images puisées dans l’œuvre de Méliès et son Voyage dans la Lune à qui l’artiste rend hommage.
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Galerie Alberta Pane
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Imprégnées de références, les œuvres de Jitish Kallat composent une chronique du cycle de la vie dans une Inde en mutation rapide. L’artiste porte un regard à la fois ironique et poétique sur les rapports transformés de la nature et de la culture, l’étrangeté au cœur du quotidien, la persistance du spirituel au cœur de la dégradation matérielle.
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Galerie Templon
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Rosson Crow s’attèle à dépeindre l’histoire complexe du sud des États-Unis. À travers ses traditions protestantes évangéliques, son passif colonial, l’ancienne institution de l’esclavage et son séparatisme pendant la guerre de Sécession, l’American South possède une identité collective bien identifiable que Rosson Crow assimile dans son travail pictural.
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Galerie Nathalie Obadia
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Claire Tabouret travaille à partir de photographies, aussi bien des archives personnelles que des clichés anonymes récoltés au fil de ses recherches. Elle s’empare de figures figées dans un espace-temps indéfinissable, pour avancer une nouvelle lecture de leurs présences et de leurs apparences.
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Galerie Isabelle Gounod
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La recherche de Guaita affronte la peinture monochrome et le paysage, ce dernier étant entendu comme un antagonisme mais aussi comme substrat générateur. Dans ces divers aspects, l’artiste réalise une stratification continue, presque un archivage, il cherche en définitive à conduire la peinture à son accomplissement définitif.
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Galerie Bernard Bouche
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Les peintures Raster Image Processor de Tatjana Doll ne sont pas des copies conventionnelles mais des réappropriations à partir de reproductions commerciales ou de médiations technologiques. Ces images-sources, appauvries, dégradées, ne sont plus que des simulacres de l’œuvre initiale.
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Galerie Jean Brolly
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Pour sa quatrième exposition à Praz-Delavallade, Philippe Decrauzat s’empare de l’espace de la galerie en mettant en place un dispositif qui fait se confronter une sculpture murale à une série de peintures, comme deux signaux émis en parallèle.
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Galerie Praz-Delavallade
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Chacune des œuvres réunies pour cette exposition reprend son univers très personnel où le ready made se confronte à l’image photographique, où chaque point de vue de l’artiste sur l’objet opère un basculement singulier de la simple matérialité à la magie de l’objet ainsi déplacé.
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Galerie Valentin
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Profondément lié à la photographie argentique, Robert Polidori part à la recherche de lieux secrets et cachés normalement fermés aux regards extérieurs et sans doute invisibles à ceux fugaces. En réalisant des images connotées temporellement et pourtant capables d’une portée éternelle, l’artiste dirige les regards fuyants parfois trop rapides et aveugles aux détails.
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Galerie Karsten Greve
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Marc Desgrandchamps définit son parcours comme un « développement » et citant le philosophe Althusser « un processus sans sujet ni fin ». Ses tableaux sont en général dépourvus de titre : ils rassemblent maints détails de la vie ordinaire que l’artiste qualifie d’« équivoques ». Cette exposition organise la confrontation de tableaux réalisés entre 1987 et 2013.
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Galerie Zürcher
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Jouer avec les frontières et les limites, les distendre, les contourner, les approcher, est l’un des motifs que l’on retrouve dans les pratiques artistiques contemporaines, que ces frontières soient symboliques, artistiques, physiques. Les artistes réunis pour l’exposition s’exercent à transgresser, dépasser et tester les possibles des médias et des supports artistiques.
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Centre d'Art Contemporain Chanot CACC
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Peintures ou sculptures ? Au delà d’un simple débat des anciens contre les modernes, la question nous amène à réfléchir à la notion de dimension dans les œuvres malicieuses — une malice sans méchanceté — d’Anne Brégeaut. L’artiste nous invite à plonger dans d’excentriques paysages mentaux.
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Galerie Semiose
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Ronde sable n’est pas une exposition en duo mais développe à partir d’œuvres individuelles un tissu de relations entre des images et des objets. Qu’il s’agisse de défaire le pliage de l’un ou de poncer la peinture d’un cadre de l’autre, les gestes et les œuvres d’Aurélien Mole et de Christophe Lemaitre prolongent, corrigent et bégayent empiriquement leurs sources.
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Florence Loewy
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Audrey Nervi poursuit son dialogue pictural avec le monde d’aujourd’hui, ce monde qu’elle observe attentivement depuis ses marges, depuis les pays endettés, dégradés par les autorités de la finance internationale, mis en faillite, mais aussi depuis les zones d’occupation temporaires où se pensent et s’inventent des mondes alternatifs.
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Galerie Eva Hober
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« 5 Dessins » est le contrôle d’une énergie réciproque, où chacun des traits construit une sorte de composition canonique infinie. Cette action a aussi une mesure: la vitesse moyenne de réalisation des traits est de 1,6 km/h. Ce chiffre multiplié par le temps de travail nécessaire à la réalisation du dessin donne son titre à l’œuvre.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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Le travail d’Hayoun Kwon traite principalement de la mémoire (individuelle comme collective) et des limites. Mais elle ne cesse de brouiller les pistes. Elle confronte l’intention à son interprétation, la construction à la fiction, la remémoration à l’invention. Elle interroge les rapports ambivalents entre réalité et fiction, entre théâtre et réel.
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Galerie Dohyang Lee
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Pour sa seconde exposition personnelle à la galerie Xippas, Farah Atassi présente un ensemble de toiles inédites, réalisées à New York lors de sa résidence à l’ISCP. Dans cette proposition, le modernisme est confronté à ses esthétiques rivales : l’expressionnisme allemand et l’ornement folklorique.
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Galerie Xippas
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En janvier 2013, durant huit jours, Jonathan Chauveau et Florian Viel ont parcouru Los Angeles pour réaliser un reportage sur la scène artistique locale. L’exposition Eight days in L.A. est un souvenir de ce voyage.
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Galerie Patricia Dorfmann
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Au delà d’une liberté des formes et d’une certaine esthétique visionnaire, Lee Bul matérialise une vision métaphorique des paysages urbains. La complexité visuelle de ces entrelacs métalliques semble évoquer l’intensification croissante des réseaux matériels et immatériels dont elle retient les principes de circulation, de fluidité et de lumière.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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La Galerie Thaddaeus Ropac Paris présente une exposition personnelle du polonais Marcin Maciejowski. Avec virtuosité et au moyen d’une simplification et d’une schématisation typiques, l’artiste allie parfois des graphismes rappelant la bande dessinée à une touche plus douce, plus sophistiquée, parfois en pleine pâte, qui évoque les grands maîtres d’autrefois.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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Cette exposition sur le travail de Gilles Balmet présentera un ensemble d’œuvres inédites sur papier liant recherches esthétiques sur l’image, le paysage et l’abstraction à l’aide de lavis d’encre ou de peinture manipulés dans des bains grâce à des protocoles précis.
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Galerie Dominique Fiat
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Dans sa nouvelle exposition « A toute épreuve », Julien Beneyton propose quatre portraits de groupe aux teneurs et ambitions différentes, formant à leur tour un ensemble d’une unité remarquable. Toutes les scènes se déroulent en extérieur, non pas en pleine nature, mais avec pour décor naturel la ville et ses monuments d’urbanisation bétonnés.
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Galerie Olivier Robert
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Cette exposition se situe dans la continuité de « couleur lumière ». 100% lumière est composée de 60 dessins, réalisés au crayon de couleur, à la gomme, et au papier de verre. Ils prennent en compte les fondamentaux : la ligne, la couleur mise en silence et l’espace qui en résulte.
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Galerie Nery Marino
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Le travail de Justin Morin est à la frontière entre deux mondes. D’un côté, il y a l’art, dont il s’approprie fréquemment les formes historiques, notamment à travers ses reprises de l’art des années 1960. Et de l’autre, la mode, entendue comme une industrie qui s’occupe de design et de production, mais aussi de mise en image des produits, et donc de marketing.
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Galerie Jeanrochdard
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L’œuvre de Dorothy Iannone a souvent été ponctuée par le chant. Elle a travaillé au studio de Kraftwerk. Le projet d’édition du Cneai revient sur ce moment important dans le parcours de l’artiste en publiant un CD audio. À partir de 1968, Dorothy Iannone commence un travail expérimental sur des photographies directement sorties du polaroïd.
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CNEAI = Centre National Édition Art Image
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Delphine Gigoux-Martin imagine, modélise et dessine des situations perturbantes. Elle raconte des histoires extravagantes en combinant les techniques et les niveaux de perception. La percussion narrative est renforcée par l’harmonie formelle des pièces ou tout est simplicité, élégance minimale, délicatesse aiguisée.
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Galerie Metropolis
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Display est une exposition de groupe qui rassemble différents artistes qui ont utilisé l’idée du mobilier comme mode d’expression artistique. Leurs travaux partagent une haute perception de l’interconnection entre l’environnement et le corps ; un espace de suggestion pour l’art de vivre et pour la forme.
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Galerie Hussenot
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Si de nombreuses expositions ont déjà eu pour objet le retour des formes du modernisme par des artistes contemporains, leur propos était particulièrement centré sur la nostalgie d’une époque révolue où l’art pensait pouvoir encore changer la vie. L’exposition After tente d’échapper à ces deux grandes tendances de nostalgie et de critique.
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Galerie Mitterrand
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L’exposition questionne la place de l’artiste dans la société contemporaine. aujourd’hui, nombre de créateurs, sont forcés d’adopter une autre activité professionnelle pour subvenir à leurs besoins. Cependant, si ce genre de doubles vies peuvent être un obstacle à la pratique de certains artistes, elles enrichissent parfois étonnement les œuvres.
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Galerie Rabouan Moussion
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Ici, la déclaration désormais canonique de Marcel Duchamp semble pleinement s’appliquer : « c’est le regardeur qui fait l’œuvre ». A force de le répéter et de jouer avec les conventions de l’art, cette expérience se limite bien trop souvent à un jeu académique où le spectateur ne fait plus qu’identifier la règle qui lui est proposée.
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Galerie Anne Barrault
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L’exposition présente des dessins anciens mis en correspondance avec une sélection de toiles récentes. True Story apparaît comme l’histoire d’une trajectoire artistique — celle que connaît Vera Molnar depuis les années 1950 — mais aussi de la galerie TORRI, qui, en septembre 2010, inaugurait sa programmation par une exposition personnelle de la même artiste.
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Torri
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Réunissant un ensemble de travaux inédits réalisés entre 2012 et 2013, l’exposition Diplopie propose, à travers un accrochage linéaire, des confrontations, des apparitions et des surprises… Toujours avec humour, l’artiste brouille la frontière entre deux registres de représentation, l’une arbitraire et l’autre déterminée.
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Galerie Laurent Godin
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Pour la rentrée 2013, la galerie christian berst propose sa formule d’exposition « hors-les-normes » qui lui permet de présenter une collective de créateurs d’art brut contemporain montrés pour la première fois. Lors de ce rendez-vous annuel, sont également exposées de nouvelles acquisitions des créateurs qu’elle représente.
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Christian berst art brut
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10:00
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Evénement
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Le commissaire d’exposition et le duo d’artistes inviteront le public . Gil & Moti cuisineront et serviront un plat spécial dans l’atmosphère chaleureuse de ce qui pourrait rappeler un kibboutz israélien, et, le ventre une fois plein, engageront une discussion informelle sur les sujets abordés par l’exposition.
Galerie Eric Dupont
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Lionel Sabatté s’intéresse à une remontée fantasmée vers les origines et interroge le vivant et sa perpétuelle régénération jouant avec les matériaux récupérés ou avec leurs aléas pour leur redonner corps. Le dessin accompagne chaque moment de son travail.
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Galerie municipale Jean-Collet
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Le CAC Brétigny présente en septembre prochain l’œuvre chorégraphique Jonctions — Situation I et Situation II — créée pour l’occasion par François Laroche-Valière dans la configuration exceptionnelle de liaison architecturale du centre d’art et du plateau du théâtre adjacent. L‘œuvre est activée et en accès libre pour une durée étendue de dix jours.
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CAC Brétigny
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Les nouveaux bronzes de Baselitz incluent Sing Sang Zero, un couple se tenant bras dessus, bras dessous, et trois sculptures — Marokkaner, Yellow Song, Louise Fuller — au caractère de fétiches évoquant des figures humaines encerclées d’anneaux. Est également présentée la sculpture BDM Gruppe, un groupe monumental composé de trois figures hautes de 3 mètres.
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Galerie Thaddaeus Ropac Paris Pantin
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Pour cette saison automnale, la galerie propose un accrochage qui permet d’instaurer un dialogue entre les artistes de la galerie parmi lesquels Ricardo Bloch, Thomas Dhellemmes, Nicolas Dhervillers, Vee Speers, Cécile Le Talec et Ghyslain Bertholon.
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School Gallery / Olivier Castaing
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En 2013 l’équipe d’Esther Shalev-Gerz a été sélectionnée parmi les six finalistes de la compétition pour la création du Monument National de l’Holocauste organisée par le gouvernement Canadien.
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National Holocaust Monument in Ottawa, Canada
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