|
Magazine
|
– Voir le sommaire du Magazine
|
|
Critique
Matériau foisonnant, se pliant à force pratiques et propos, le néon dans l'art depuis 1940 n'avait que peu fait l'objet de présentations. Un exercice trop périlleux ? Pas pour la maison rouge.
Lire la suite
|
|
|
|
Cette semaine à Paris
|
– Voir l’agenda sur Slash
|
| |
|
Ruffin peint, d’après photo, des régressions de grandes personnes. Vincent Ruffin s’amuse. Et dans ses toiles immenses, les modèles semblent trouver, un certain calme, un serein repos, un endroit pour se relier, à une enfance lointaine, inconsciente et sans gêne, un stade avant les choses sérieuses et les bonnes manières, un lieu pour s’abandonner, un peu.
|
|
School Gallery / Olivier Castaing
|
| |
|
Depuis la Renaissance, le lien est étroit entre connaissance de l’animal et fascination pour sa beauté : artistes et naturalistes n’ont cessé d’observer et représenter les animaux avec toute l’exactitude possible. L’exposition réunit cent trente chefs-d’œuvre, merveilleuse ménagerie qui mêle le sauvage et le domestique, l’étrange et le familier.
|
|
Les Galeries nationales du Grand Palais
|
| |
|
La Galerie Suzanne Tarasieve présente « Forever Young » : le photographe Claude Gassian et les peintres allemands Abetz&Drescher révèlent les portraits de Rock Stars tels Iggy Pop, The Doors, The Who… Le titre de lʼexposition, chanson de Bob Dylan parue en 1974, évoque ces personnalités dont lʼimage et les refrains ont traversé le temps.
|
|
Suzanne Tarasieve
|
| |
|
Michael Schnabel photographie les Alpes comme des architectures gigantesques, d’une monumentalité éternelle, perdues dans une nuit silencieuse et polychrome. Ursula Kraft questionne la dimension du rêve, de la métamorphose, du mythe et du passage de l’enfance à l’âge adulte.
|
|
Galerie Esther Woerdehoff
|
| |
|
18:00 → 21:00
|
Vernissage
|
Le Frac Île-de-France / Le Plateau présente « Through Somnambular Laws », première exposition à Paris d’Elise Florenty et Marcel Türkowsky, essentiellement consacrée à leurs nouvelles productions — films, installations et interventions pensées spécifiquement pour le lieu.
Frac île-de-france, le Plateau
|
| |
|
« Incarnations » présente une sélection d’artistes chinois qui explorent les possibilités de la performance liée à la photographie et au body art. Ai Weiwei, Zhang Huan, Zhu Ming, Liu Bolin, Li Wei, Cang Xin et Hei Yue partagent une approche de l’art où l’incarnation est la représentation concrète d’une idée abstraite dans des traits humains.
|
|
Galerie Paris-Beijing
|
| |
|
Pendant un an, Synesthésie accueille l’artiste Thierry Payet en résidence à Saint-Denis.
L’artiste a choisi de porter son regard et son écoute sur le quartier Franc-Moisin/Bel-Air. Selon sa méthode habituelle, il enquête sur les modes actuels d’appropriation de l’espace social, les lieux de centralité ou de passage.
|
|
Synesthésie ¬ MMAINTENANT
|
| |
|
« Through somnambular Laws » est la première exposition à Paris d’Elise Florenty et Marcel Türkowsky. Au fil d’une déambulation proche du rêve éveillé, ponctuée d’instructions, de rébus, de sortilèges et de divagations délirantes, leurs œuvres montrent une même fascination pour la puissance poétique du langage et de la fabulation.
|
|
Frac île-de-france, le Plateau
|
| |
|
Dan Miller superpose des couches considérables d’écriture jusqu’à l’illisible. Sa création acharnée a tant fasciné le public qu’il est l’un des premiers artistes d’art brut à être entré dans les collections permanentes du MOMA. Bien que cette œuvre soit formellement très contemporaine, c’est néanmoins hors du débat artistique que Miller invente ses modes d’expression.
|
|
Christian berst art brut
|
| |
|
Dans le cadre de l’exposition de Vittorio Santoro, Frédérique Aït-Touati, maître de conférence à John’s College à Oxford et à Sciences Po Paris, est invitée à venir présenter son travail de recherche sur la science moderne, et se propose d’explorer comment, entre la Renaissance et les Lumières, la science vient croiser le chemin de la fiction.
|
|
Performance
Fondation d’entreprise Pernod Ricard
|
| |
|
Erin Lawlor, artiste peintre et commissaire d’exposition, propose d’ignorer, pour un instant, les bruits de la morosité et de contempler les travaux d’un groupe d’artistes qui œuvrent « dans les lieux fertiles de prospection entre abstraction et figuration ». Son regard, à travers moveable feast, donne à voir le dynamis…
|
|
|
| |
|
A l’occasion de la semaine du dessin, la galerie Dominique Fiat présente un group show spécial dessin d’une sélection d’artistes représentés par la galerie.
|
|
Galerie Dominique Fiat
|
| |
|
Il y a des natures purement contemplatives et tout à fait impropres à l’action, qui cependant, sous une impulsion mystérieuse et inconnue, agissent quelquefois avec une rapidité dont elles se seraient crues elles-mêmes incapables.
— Charles Baudelaire, « Le Mauvais Vitrier » in Le Spleen de Paris.
|
|
Galerie Jocelyn Wolff
|
| |
|
Au cours du dernier millénaire de l’histoire pharaonique, au rythme des crises et des invasions, l’Égypte s’est ouverte à de multiples influences. Les trésors de ces dernières dynasties sont dévoilés pour la première fois : plus de 100 pièces exceptionnelles témoignent de la richesse et de la diversité de l’art égyptien après les derniers Ramsès.
|
|
Musée Jacquemart-André
|
| |
|
Le travail de Dermot Seymour, où le passé reste présent et donne force à la réalité quotidienne, constitue un commentaire codé de la situation socio-politique de l’Irlande et des années troubles. À la limite du surréalisme, son iconographie de la relation entre l’homme et la bête interpelle le subconscient du spectateur et y laisse une trace indélébile.
|
|
Centre culturel irlandais
|
| |
|
A la fois exposants et curateurs, Thierry Lagalla, Stéphane Protic, Emmanuel Régent, Jérôme Robbe, Karine Rougier et Stéphane Steiner accueillent respectivement Justin Sanchez, Ludovic Paquelier, Ben Vautier, Philippe Tourriol, Lina Jabbour et Junko Yamasaki et accrochent leurs pièces graphiques les plus récentes.
|
|
Baraudou Schriqui Galerie
|
| |
|
Après ses expositions au MMOMA de Moscou et à la Fondation Ahlers à Hanovre, Philippe Pasqua présente, pour sa 4ème exposition personnelle à la Galerie RX, une sélection d’une dizaine de peintures et dessins récents et inédits. Autodidacte, sa peinture essentiellement figurative est axée sur le corps, la figure humaine étant son leitmotiv.
|
|
Galerie RX
|
| |
|
Le sommeil humain, indispensable à la régénération de nos forces, demeure un des points de conjonction du vivant et relève d’une complexité à la mesure de notre cerveau. Nous savons ainsi que l’activité créatrice et notamment artistique va puiser dans les arcanes infinis du sommeil les ressources instauratrices de la création la plus inattendue.
|
|
Galerie municipale Jean-Collet
|
| |
|
Sulfureuse, l’œuvre de Newton a cherché à restituer la beauté, l’érotisme, l’humour, voire la violence que sa sensibilité lui permettait de relever dans les rapports sociaux du monde qu’il fréquentait. Ponctuée de citations, l’exposition conçue par June Newton restitue les champs parfois secrets de son travail : en quelque sorte, « Newton par Newton ».
|
|
Les Galeries nationales du Grand Palais
|
| |
|
Les œuvres de Sigurdur Gudmundsson, constituant des déclarations fondamentales sur la condition humaine que les survivants qualifieraient d’humour, possèdent une actualité intemporelle. Cette exposition présente des photos, videos et sculptures de 1970 à 2011 : énigmes visuelles, citations, illustrations de discours philosophiques ou artistiques…
|
|
|
| |
|
Lightness réunit huit artistes dont le travail s’efforce de saisir cette fonction existentielle de l’art qu’est la recherche de la légèreté comme réaction à la pesanteur de vivre.
La légèreté est liée à la précision et à la détermination, nullement au vague et l’aléatoire, elle apparaît ici moins sous l’aspect d’un défaut que d’une valeur.
|
|
Less is More Projects
|
| |
|
L’œuvre de John Hodany ne se laisse pas aisément définir et connaît depuis une dizaine d’années un développement qui ne doit rien à la fantaisie mais à la rigueur d’une logique personnelle qui place l’artiste à la jonction entre l’homme de l’art et l’homme de science. Chacune de ses expositions marque ainsi une étape sous la conduite d’une « théorie critique de l’évolution ».
|
|
Galerie Zürcher
|
| |
|
À l’heure où nous traversons une crise économique mondiale, pouvons-nous encore croire à une croissance illimitée ? S’intéressant à l’économie, l’urbanisme, la physique, la biologie ou la botanique, les artistes de cette exposition font de la croissance un sujet de recherche mais également le moyen d’interroger leurs propres méthodes de travail.
|
|
La Ferme du Buisson
|
| |
|
Fermez les yeux et plongez ; c’est un rêve éveillé ou peut-être un voyage dans l’inconscient que nous offre l’Echappée de Catherine Maria Chapel : ses nouveaux dessins sont une exploration plastique de la substance et de l’absence, par le trait et l’abstrait. « Echappée » nous permet d’aller vers l’ailleurs tout en étant un peu plus ici.
|
|
Galerie Maria Lund
|
| |
|
« J’avais besoin de silence. Ce fut alors un coup de poing sur la table : du rouge, du rouge, du rouge ! ». Pour parler de cette couleur qui va dominer une grande partie de son œuvre, Bernard Aubertin pense son travail en terme de « sensation physique », et le rouge est le plus approprié pour diffuser l’appréhension de l’énergie et son rôle déterminant.
|
|
Galerie Jean Brolly
|
| |
|
12:30
|
Conférence
|
Présentation de l’exposition « Arles, les fouilles du Rhône ; un fleuve pour mémoire » par Jean-Luc Martinez, musée du Louvre, commissaire de l’exposition.
Le Louvre
|
|
|
– Voir l’agenda sur Slash
– Tous les événements en ce moment
|
|
|
