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A travers cette exposition, José Lévy aborde le Japon avec la dimension de transversalité qui le caractérise et l’intime pour mètre-étalon. Voyage intérieur, il invite à un jet-lag émotionnel qui donne à voir une facette troublée de l’univers du créateur.
José Lévy est Lauréat de la Villa Kujoyama, Kyoto, 2011
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Galerie NextLevel
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Il faut s’imaginer, tout au long du XIXe siècle, l’acharnement éreintant, presque suicidaire, d’une prestigieuse lignée d’artistes qui cherchèrent, vaille que vaille, à créer avec un matériau encore insaisissable : la lumière. Leur défi ? Ne plus composer seulement avec des lignes, des couleurs, de la pierre ou de la terre, mais avec une radiance.
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Galerie Taïss
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Dans le cadre de l’exposition de Camille Henrot, les fleurs réputées inoffensives prennent l’aura d’une arme puissante et dévastatrice. L’artiste met en place un langage lapidaire dont le phrasé est libérateur. On comprend alors pourquoi les révolutions s’approprient des noms de fleurs, la révolution portugaise des œillets, la campagne des cent fleurs en Chine…
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Galerie Kamel Mennour
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On entre dans l’œuvre d’Axel Pahlavi comme on « entre en religion », en acceptant qu’une force que nous ne pouvons pas nommer nous guide dans un récit, nous prenne par la main pour nous raconter une histoire de peinture. Pour l’artiste, toute création est affaire de transformation, mais aussi de relation à l’autre, à celui qui accepte de regarder.
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Galerie Eva Hober
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Pour son exposition de la rentrée, Inception Gallery fait une proposition sur la mise en scène dans la photographie contemporaine en présentant les œuvres de Sandy Skoglund et de Cerise Doucède. Ces deux artistes ont comme point en commun, le mélange des genres : sculpture, maquette, peinture, couture… Le tout figé en une photographie au point de vue unique.
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Inception Gallery
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Nicolas Guiet avec ses peintures, se développant en trois dimensions, propose un nouveau vocabulaire, un nouveau langage de formes qui s’étirent, se développent dans l’espace qui les accueille, tels des vers de poésie avec un rythme, une ponctuation, des reprises.
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Galerie Jean Fournier
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La galerie présente en cette rentrée les travaux de Germain Hamel et Achraf Touloub. Deux jeunes artistes aux intentions communes, développées au travers de pratiques différentes. La relation qu’ils entretiennent avec l’image procède d’une exigence double : produire des réflexions sur le médium en même temps que des propositions picturales.
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La galerie présente la prochaine exposition de Dominique Gauthier qui s’articule autour de deux volets, de deux temps d’expositions qui permettent de découvrir les nouvelles séries de l’artiste.
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Galerie Les filles du calvaire
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Avec sa sémiotique imaginaire, pleine de signes et de pictogrammes, Marie Orensanz construit des chemins de traverse, des raccourcis vers l’esprit, vers le cœur. Et toute son œuvre ressemble à une cartographie de points de vue mobiles et de perspectives libres. Elle esquisse, à la manière d’un architecte du sensible, des plans poétiques et des concepts à emporter.
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School Gallery / Olivier Castaing
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Rythme et identité de notre société de consommation, le Code Barre est réinterprété par Noëlle pour réenchanter notre rapport au monde. Les toiles explorent l’objet symbole par excellence du marché global : la bouteille de Coca-Cola. Objet matériel unique, paradoxalement, seul son code-barres renseigne sur ses multiples ancrages et variations locales.
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Galerie Laure Roynette
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Les 135 planches de l’œuvre « Jewels from the Personal Collection of Princess Salimah Aga Khan » rassemblent des espèces végétales collectées par l’artiste dans les plates-bandes des immeubles de l’Upper East Side, le quartier le plus riche de New York. L’exposition invite à s’interroger sur la notion symbolique de « signe de richesse ».
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Rosascape
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Pensée en connivence avec le nouveau lieu occupé par le Crédac (la Manufacture des Œillets à Ivry), cette exposition réunit des œuvres qui concernent le monde industriel, la disparition progressive des savoir-faire ouvriers, les mouvements sociaux au sein des usines d’hier et d’aujourd’hui.
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Le Crédac
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Les installations monumentales du plasticien norvégien Børre Sæthre engendrent des atmosphères où l’ambiance technologique des panoramas futuristes dévoile ses effets pervers sur les désirs primaires de notre inconscient collectif. L’artiste emprunte les formes du quotidien et les stylise pour bâtir des univers aux résonances aussi envoûtantes qu’inaccessibles.
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Galerie Loevenbruck
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Gabriel Orozco s’est imposé dès le début des années 1990 comme l’un des artistes les plus importants de sa génération. En constant déplacement, sans atelier fixe, il rejette les identifications nationales ou régionales, et puise son inspiration dans les différents lieux où il vit et voyage.
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Galerie Chantal Crousel
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Fascinés par ce qui dépasse l’homme et la compréhension du monde qui l’entoure, Angela Detanico et Rafael Lain tirent d’une recherche scientifique et littéraire des systèmes d’écriture du temps, de l’espace et de l’infini. Ancrée dans l’usage de nouveaux moyens de création sonore, graphique et plastique, leur démarche s’exprime dans un formalisme rigoureux.
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Galerie Martine Aboucaya
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Le regard que Jérémy Liron porte sur le monde n’est pas anodin, anecdotique ou innocent ; bien au contraire, c’est un regard qui construit, fabrique et pointe du doigt un manque. Ses peintures sont comme pliées les unes dans les autres ; elles se répètent mais ne sont jamais vraiment les mêmes, prises dans des variations parfois infimes.
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Galerie Isabelle Gounod
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Le noir, concentration de toutes les couleurs, le deuil, l’élégance mais aussi l’ironie et la légèreté du dessin, nous jette dans la vie. L’exposition Noir — Clair est un passage, du noir vers la réparation, en passant par le doute. Il s’agit d’un processus créatif : celui du dessin.
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GVQ – Vanessa Quang
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Greg Semu, artiste néo-zélandais d’origine samoane, a subit l’épreuve du Pé’a tatouage initiatique réservé aux hommes samoans. Ses tableaux photographiques expriment la rencontre entre l’iconographie religieuse occidentale et le monde traditionnel polynésien. La galerie Métropolis montre pour la première fois en Europe, une suite d’images de la série « Last Cannibal Supper ».
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Galerie Metropolis
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Cette réunion d’artistes souhaite provoquer la même sensation que le bruit de la craie sur le tableau. Mais, différence notable avec cet exemple, c’est que la gêne, le rejet ou le mal à l’aise s’installeront imperceptiblement.
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Galerie Anne Barrault
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Chez tout être l’accumulation des impressions est permanente ; œuvrant de pair avec l’oubli, et ne laissant qu’une essence, un essentiel — un souvenir. Min Jung-Yeon se sert de ces expériences et émotions transformées pour passer du personnel, du particulier, à quelque chose de plus universel.
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Galerie Maria Lund
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Le travail de Pierre Ardouvin se développe comme un scénario elliptique de nos désillusions. Sa poésie, souvent en lien avec la culture populaire, vient d’un rapport « dérangé » au langage et au monde. « Il y a quelqu’un dans ma tête et ce n’est pas moi », chante Pink Floyd dans Brain Damage, un réquisitoire contre la violence de l’actualité et des médias.
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Galerie Valentin
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Geert Goiris présente une nouvelle série de photographies mêlant paysages, portraits, lieux inconnus et mondes souterrains. Libérant le sujet de son interprétation littérale, ses œuvres vont en quelque sorte agir sur les sens et la perception de chacun. Le spectateur perd ses repères et est amené à voir et comprendre la forme selon son propre schéma.
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Galerie Art : Concept
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Au fil d’un parcours tout en sons et en images on découvre les œuvres d’Erwin Olaf, Samuel Rousseau et Yang Yongliang et la façon dont chacun d’eux dévoile son univers artistique à travers la vidéo. Les trois artistes posent chacun la question de la mise en scène et de la construction architecturale dans l’art vidéo.
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Galerie Magda Danysz
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Terrain fragile inclut les œuvres de trois artistes majeurs appartenant à la scène franco-germanique : Dominique Ghesquière (photographies, sculptures), Ulrike Möschel (installations in situ, dessins) et Markus Hansen (installations in situ, peintures, dessins). La fragilité est au centre de cette exposition au dispositif déambulatoire.
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Galerie Marie Cini
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Une image se trouve à l’origine du travail de Mathieu Pernot : une photographie entrevue dans un magazine associatif qui montrait quatre corps allongés à même le sol dans une forêt du nord de la France. La légende indiquait qu’il s’agissait d’afghans, probablement épuisés, qui se reposaient à l’abri des regards. C’était une image violente, une photographie de guerre.
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Galerie Eric Dupont
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Une artiste invitée et un artiste de la galerie trouvent la correspondance qui les unit avec une troisième présence, Martin Barré — artiste référence de l’abstraction du geste. Deux artistes de deux générations différentes ont décidé de prendre l’œuvre de Martin Barré comme point de départ.
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Galerie Laurent Mueller
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Si la formule deux salles/deux ambiances est à ce jour le meilleur compromis qu’ait trouvé la fête, il ne faudra pas s’attendre à un tel ménagement dans la galerie Sémiose, qui s’est offert pour la rentrée un relooking bi-goût afin d’accueillir le plus douillettement les humeurs contrastées mais bien assorties d’Hippolyte Hentgen.
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Galerie Semiose
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Dans le travail de Pierre Petit, les souvenirs les plus divers se mêlent, l’authentique avec l’agréable, l’imaginaire avec le réel. Il se joue des objets et des images pour faire monter à la surface de notre regard, le quotidien, le moment anodin, mais significatif, l’objet commun, qui devient insolite.
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Galerie Olivier Robert
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Être en « état de veille » signifie en français plusieurs choses, avec une polysémie que l’on ne retrouve pas dans d’autres langues. C’est d’abord bien sûr être éveillé, « waking state », la veille par opposition au sommeil, mais aussi être en stand-by, prêt à redémarrer, comme un appareil mis en veille, diode rouge dans la pénombre de l’appartement…
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Jousse Entreprise — Art contemporain
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C’est avec le geste du sculpteur que Claire Trotignon scanne et découpe des gravures du XVIIe trouvées dans des brocantes et conservées dans une sorte de bibliothèque de son imaginaire. Elle assemble ces fragments pour dessiner des paysages romantiques dont le bouillonnement s’inspire de l’atmosphère des tableaux d’Hubert Robert ou de Caspar David Friedrich.
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Less is More Projects
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Première partie d’une exposition en deux volets rendant hommage à l’œuvre d’André Du Colombier : La pépite de Lopez. Quel miroir pourrait rendre aujourd’hui l’art et le génie d’André du Colombier ? Précairement assis sur des chaises d’enquêteur, France fiction déballe des œuvres méconnues de l’artiste.
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Galerie Patricia Dorfmann
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La Galerie Alberta Pane accueille Fritz Panzer pour sa première exposition personnelle en France. L’artiste autrichien est surtout reconnu pour ses sculptures en fil de fer d’objets du quotidien à l’échelle 1:1.
Tout au long de sa carrière l’artiste a traité des différents médiums sous le même angle.
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Galerie Alberta Pane
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Plasticienne, installationniste, photographe, vidéaste, styliste, Alba D’Urbano déploie depuis les années 1980 une œuvre dont les réalisations, en constante expansion, communiquent par capillarité jusqu’à quelquefois fusionner et déployer de nouveaux espaces.
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Topographie de l’art
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Anarchitecte à la manière d’un Gordon Matta-Clark, Duncan Wylie va à l’encontre des édifices mentaux très stables dont les Grecs adeptes de l’« art de mémoire » se servaient pour tout mémoriser. Il bâtit des démolitions. Il creuse les failles de la mémoire du monde, de l’histoire de l’art, et de la sienne propre.
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Galerie Mitterrand
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Carlos Contente amorce un dialogue entre l’impact de l’art urbain et l’intimité d’une lecture d’un texte poétique tout en respectant l’authenticité de leurs mondes respectifs. Dans cette exposition, l’artiste poursuit sa recherche débutée en 2002 à l’intersection entre le mot et le dessin.
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Galerie Bendana | Pinel Art Contemporain
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Greg Semu est un Samoan.
Les Samoans constituent la deuxième population polynésienne après les Maoris de Nouvelle-Zélande.
L’archipel des Samoa est peuplé depuis plus de 3 000 ans par un peuple polynésien, la langue samoane est peut être la plus ancienne encore parlée en Océanie.
Dans les années…
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Galerie Metropolis
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L’exposition réunit cinq artistes qui placent le questionnement sur la perception au cœur de leur démarche, chacun d’entre eux le déclinant selon des modalités qui lui sont propres. Au gré de leurs recherches ils développent un rapport élaboré à l’abstraction, qu’il se base sur la frontière ténue entre le sujet et le signe ou nourri par une réflexion historique.
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À L’occasion de la troisième exposition de Mika Rottenberg à la Galerie Laurent Godin, l’artiste présente une série de dessins inédits, une nouvelle vidéo intitulée « Sneeze » ainsi que « Seven », une œuvre multimédia résultant de la performance et installation vidéo réalisées en collaboration avec Jon Kessler pour Performa 11 à New York.
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Galerie Laurent Godin
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Dans « Voir la mer », Sophie Calle a invité des habitants d’Istanbul, souvent venus de l’intérieur de la Turquie, à regarder la mer pour la première fois, sous l’oeil de la caméra de Caroline Champetier. Depuis plus de trente ans, Sophie Calle a fait de sa vie, notamment les moments les plus intimes, son œuvre, en utilisant tous les supports possibles.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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Jean-François Leroy part du plan. Ce que l’on appelle en géométrie le « plan » est un espace à deux dimensions qui peut s’étendre à l’infini et qui n’a pas d’épaisseur théorique. Chez Jean-François Leroy, le bois est utilisé comme matériau usuel et pratique, et non pour ses éventuelles connotations : il signifie simplement le plan.
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Galerie Bertrand Grimont
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L’univers de Kristalova, inspiré par l’imaginaire populaire de l’Europe du Nord, la tradition des contes de fées ainsi que par l’observation et la fréquentation directe de la nature, est peuplé de figures solitaires, souvent des jeunes filles ou d’animaux (lièvres, ânes, oiseaux, phalènes) et de chimères, à mi-chemin entre règne animal et végétal.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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La Galerie Perrotin, Paris organise une exposition personnelle de l’artiste de Détroit, Hernan Bas. Ses nouvelles œuvres présentées à la Galerie explorent la relation entre art et décor, célébrant 36 poètes maudits. Pour la première fois il emploie la feuille d’or dans ses dessins aux accents Klimtiens et dévoile aussi des paravents japonisants.
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Galerie Emmanuel Perrotin
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En 2011, quinze artistes furent invités à créer un poster, à l’afficher où ils le souhaitaient et à commenter le poster dans le contexte choisi. Ils devraient être découverts, négligemment accrochés, aux détours d’une rue, aimantés sur un frigidaire ou encore placardés dans une ruelle, accrochant le regard du passant.
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Florence Loewy
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La Galerie Marian Goodman est heureuse d’annoncer une exposition de Gabriel Orozco simultanément avec la Galerie Chantal Crousel. A la Galerie Marian Goodman, Orozco présente pour la première fois à Paris la sculpture intitulée « Shade Between Rings of Air » qu’il avait conçue en 2003 pour la 51ème Biennale de Venise.
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Galerie Marian Goodman
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Pour son exposition de rentrée, la Galerie Bertrand Baraudou propose une carte blanche à a broken arm. Ce laboratoire invite les artistes Sylvain Baumann, Dominique Ghesquière, Philippe Grandrieux et Sarah Ritter à échanger hypothèses plastiques et propositions théoriques.
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Baraudou Schriqui Galerie
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Luke Newton envisage le monde de l’art comme un vaste terrain où frapper de son jeu de ping-pong les grandes figures artistiques de la société contemporaine. Dans un second degré permanent, il tourne en dérision et relativise son rôle d’artiste dans une société submergée par les images.
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Galerie Rabouan Moussion
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La frise traverse les âges, transcende les styles et les genres, explose les disciplines, les continents et les cultures. La frise souligne et délimite les espaces, nous indique où regarder (dessus/dessous) et nous entraîne dans sa course infinie. La frise est préhistorique, historique, contemporaine.
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Galerie Jean Brolly
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Le travail de Céleste Boursier-Mougenot explore le potentiel musical de lieux, de situations ou d’objets, souvent issus du quotidien, pour créer des dispositifs où le mouvement et le son plongent la conscience du spectateur dans la fascination envoûtante de ce qui n’a de cesse d’advenir.
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Galerie Xippas
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À l’occasion de cette nouvelle exposition collective, la galerie Jeanrochdard a le plaisir de présenter les œuvres de nouveaux artistes qui viennent de la rejoindre. Cette exposition est également une opportunité de renforcer les liens qui unissent la galerie aux artistes qu’elle représente déjà, comme autant d’occasions d’échanges et de dialogues inédits.
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Galerie Jeanrochdard
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L’œuvre de John Miller se caractérise par un aspect multiforme : peinture, sculpture, photographie et vidéo. Avec humour, empathie et perspicacité, ses travaux nous font plonger dans le maelström de la vie quotidienne et subliment la banalité. Dans ses séries précédentes, Miller s’est intéressé aux disparités entre le prix et le sens des choses.
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Galerie Praz-Delavallade
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Certaines fêtes semblent d’autant plus vaines qu’elles sont grandioses. Aussi, des feux d’artifices qu’Elisa Pône tire parfois dans des endroits contre-indiqués sous un pont ou dans une voiture, il ressort souvent un émerveillement contrarié, dépité par le risque et la gratuité d’un spectacle bref et démesuré.
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Galerie Michel Rein
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La formule du titre « Six Fois Shem en Deux » peut s’énoncer comme la répartition en deux espaces de six manifestations d’un shem unique — format présent dans le travail de Jean-Pierre Bertrand depuis quelques années et qu’il décrit en termes simples : des « plaques de plexiglas peintes de couleur parchemin, qui laissent apparaître des bandes horizontales colorées »
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Galerie Michel Rein
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Le monde de Pratchaya Phinthong est un jeu d’équivalences et de flux, un ensemble organisé de tensions entre deux positions. L’art devient ainsi la prolongation de ce système complexe et la galerie se transforme en partenaire actif d’une entreprise dont les enjeux se situent au-delà des frontières artistiques habituelles.
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Gb agency
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La Galerie Thaddaeus Ropac présente l’Abécédaire de Deleuze, une installation vidéo de Sturtevant. Mettant en lumière le pouvoir des mots, cette installation formellement rigoureuse se concentre sur la relation entre son contenu et l’espace qui le contient. Trois chaises installées à équidistance font face au mur du fond de la galerie.
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Galerie Thaddaeus Ropac Marais
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Reflétant un intérêt constant pour l’élaboration matérielle de l’œuvre, Metz poursuit avec cette nouvelle série ses expérimentations récentes avec des teintures colorées versées sur des toiles non traitées. Metz se sert de pinceaux et de ses mains pour répandre les teintures dans un processus instinctif.
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Torri
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Est-ce seulement de la chimie, ou la règle d’un jeu sérieux ? C’est ce qu’il faut céder à l’inaccessible pour se délecter du breuvage : une perte nécessaire à sa bonification. Comme des lois de la vinification aux règles de l’art il n’y a qu’un pas, l’on félicitera l’éloquence de cette équation moléculaire appliquée à l’analyse de l’œuvre de Simon Nicaise.
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Galerie Dominique Fiat
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Short Cuts est une façon de sortir des balises et de s’autoriser un raccourci audacieux : il en va de la création comme de la narration, c’est l’inconnu, l’irrévélé, l’immaîtrisé qui les provoquent et les inspirent. Quand l’art resplendit dans la répétition d’un geste parfaitement maitrisé, la création en a totalement disparu.
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GDM, Paris — Galerie de Multiples
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18:00
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Vernissage
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Vernissage du Premier accrochage de l’exposition.
Baraudou Schriqui Galerie
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Des steppes de la Mongolie à la Mer de glace, l’exposition « Migration » est un étonnant raccourci d’une série d’épopées qui n’ont cessé au cours des siècles de nourrir les imaginaires. Mirela Popa développe un travail où passé et présent, expérience personnelle et contextes géographiques se mêlent étroitement.
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Galerie municipale Jean-Collet
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Cette exposition, à travers ce large panorama de l’art décoratif occidental du XIXe siècle, permet au public de découvrir dans les deux ateliers intimistes de l’enclos Chaptal, la diversité des salons où les milieux polyglottes de la finance et du pouvoir rencontraient ceux des arts et des lettres.
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Musée de la Vie Romantique
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Si une certaine réputation précède Frédérique Loutz dans cette quatrième exposition, à voir le chatoiement de teintes et de profondeurs dans les grandes toiles présentées ici, on reconnaît les descriptions qui en ont été données jusqu’ici. En effet, prolifération, étrangeté, vigueur et cohérence caractérisent encore cette interminable exploration du dessin.
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Galerie Claudine Papillon
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