Édito Trente Six
Après une saison intense et des expositions aussi engagées qu’engageantes, la scène artistique parisienne s’est affirmée plus ouverte que jamais sur le monde et ancrée dans son actualité. Fidèle à ses engagements, la rédaction de Slash-Paris s’est attachée à offrir un reflet conscient de sa qualité, de sa diversité et de son exigence en se concentrant sur ses manifestations les plus pertinentes, inattendues et réjouissantes. Toujours plus active, la communauté Slash-Paris, avec la participation des galeries et institutions qui s’engagent à ses côtés, ne cesse de s’agrandir et de nombreux développements émailleront la saison 2017-2018 qui promet de très grands moments.
Slash-Paris prend, tout au long du mois d’août, ses quartiers d’été et garde en tête toutes ces images qui ont animé une saison particulièrement illuminée par :
La beauté fragile de Liz Magor au Crédac. Lire notre critique complète
La délicatesse énigmatique de Marc Desgrandchamps à la galerie Lelong. Lire notre critique complète
La force poignante de l’exposition Chantal Akerman à la Ferme du Buisson. Lire notre critique complète
La sublime pudeur de Laura Lamiel à la galerie Marcelle Alix. Lire notre critique complète
La beauté vénéneuse de Cy Twombly au Centre Pompidou. Lire notre critique complète
La réouverture convaincante de la galerie In Situ. Lire notre critique complète
La force collective de Tous des sang-mêlés au MAC VAL. Lire notre critique complète
La sensation Afriques Capitales à la Villette. Lire notre critique complète
La grâce éthérée de Kaye Donachie au Plateau. Lire notre critique complète
La force plastique hypnotique de Philippe Cognée à la galerie Templon. Lire notre critique complète
L’audace fabuleuse du projet Tes Mains dans mes chaussures à la Galerie de Noisy-le-Sec. Lire notre critique complète
L’hommage vibrant du CPIF de Pontault-Combault au Centre Pompidou. Lire notre critique complète
Le cri de guerre et d’alarme de Warning Shot à Topographie de l’art. Lire notre critique complète
La réussite formelle de l’exposition d’Ismaïl Bahri au Jeu de Paume. Lire notre critique complète
Et l’impertinente pertinence du programme de la maison rouge (qui laissera un grand vide lors de sa fermeture) illustrée à merveille par Hélène Delprat. Lire notre critique complète