Galerie Christian Berst — Beverly Baker, Palimpseste
Beverly Baker, Sans titre, 2014 — 38,4 × 56,1 cm
Courtesy de l’artiste & Galerie Christian Berst art brut (klein et berst), Paris
« Beverly Baker — Palimpseste », Christian berst art brut du 3 au 28 février 2015.
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Récemment exposée à la maison rouge, Beverly Baker, née en 1961, bénéficie d’une exposition personnelle à la galerie Christian Berst qui revient sur ses dessins réalisés au stylo à bille, marqueurs et crayons de couleurs. Dans les feuilles pleines de cette artiste atteinte du syndrome de Down, les mots se délient en lignes, inventant des constructions visuelles stupéfiantes où les courbes épaisses s’opposent aux traces légères.
Vernissage le 31 janvier
Kadist Art Foundation, Canibalia
« Canibalia », KADIST du 6 février au 26 avril 2015.
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Autour de la notion du cannibalisme, Julia Morandeira Arrizabalaga invite 10 artistes du monde entier à développer une réflexion visuelle. Revenant sur les origines colonialistes de son étymologie et l’imaginaire qui en a découlé, la commissaire de l’exposition confronte les archives historiques à la création plastique pour proposer une lecture vorace et, semble-t-il bien vivante de l’histoire.
Vernissage le 6 février
Galerie Eva Meyer, Intertidal
Intertidal — MBDTCurators
« Intertidal — MBDTCurators », Galerie Eva Meyer du 7 février au 7 mars 2015.
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Exposition collective,
Intertidal est également la première association du duo de commissaires MBDTCurators avec la galerie Eva Meyer. Évoquant l’espace intertidal, cette zone spécifique qui constitue la jonction entre une étendue d’eau et la terre ferme, l’exposition explore les questions de frontière, ligne et surface. Avec la participation de Joséphine Kaeppelin, Pierre Labat, Flora Moscovici, Nicolas Muller et Elsa Werth, la galerie Eva Meyer déploie un véritable projet collectif autour de jeunes artistes à découvrir.
Vernissage le 6 février
Galerie Paris-Beijing, Ghost of a Dream, Gone the Sun
Ghost of a dream, Dream Ride, 2010 — Bois, plexiglass et tickets de loterie glanés
Courtesy of the artists & Galerie Paris-Beijing, Paris
« Ghost of a dream — Gone the Sun », Galerie Paris-Beijing du 7 février au 14 mars 2015.
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D’Hollywood à Las Vegas, les paradis perdus des industries du rêve disparaissent sous l’accumulation dans les œuvres de ce duo d’artistes américains montrés pour la première fois dans l’espace parisien de la galerie Paris-Beijing. Explorant depuis 2007 les pièges à rêves du monde fastueux des « eighties », Ghost of a Dream propose une série inspirée de films hollywoodiens et poursuit ses mises en scène critiques en attaquant les clichés tenaces.
Vernissage le 7 février
Maison des Arts de Malakoff, Pierre Ardouvin
Pierre Ardouvin, Frozen memories, 2014
Courtesy de l’artiste & La Maison des Arts de Malakoff
« Pierre Ardouvin — Retour dans la neige », La maison des arts, centre d'art contemporain de Malakoff du 7 février au 3 mai 2015.
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À l’occasion de cette nouvelle exposition personnelle à la Maison des Arts de Malakoff, Pierre Ardouvin a imaginé une installation empruntant son titre à une nouvelle de Robert Walser,
Retour dans la neige, qui s’étend sur l’ensemble de l’espace. Un parcours intégralement recouvert de neige qui promet une plongée au cœur de l’étrange où, comme à son habitude, l’artiste joue sur les sentiments et cache, sous l’humour et la légèreté, une profondeur abyssale.
Vernissage le 7 février
Galerie mfc—michèle Didier, « Sexe, béatitude et logique comptable », une proposition curatoriale de Mathieu Mercier
Mathieu Mercier, Journal, 2015 // Allan Mc Collum, The book of shapes, 2010
© Mathieu Mercier and mfc-michèle didier / © Allan Mc Collum
« Sexe, béatitude et logique comptable — Une proposition curatoriale de Mathieu Mercier », Galerie michèle didier du 13 février au 7 mars 2015.
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Pour
Sexe, béatitude et logique comptable, la galerie mfc-michèle Didier a invité l’artiste Mathieu Mercier à puiser au sein des œuvres éditées par la galerie une sélection de sept pièces d’artistes tels que Robert Barry, On Kawara ou encore Annette Messager. En résulte une proposition en forme d’opposition où le charnel côtoie la répétition sérielle. À cette occasion, une pièce inédite de Mathieu Mercier et produite par la galerie, un journal peuplé de nus féminins issu de sa collection personnelle viendra s’ajouter à l’exposition et, semble-t-il, réaliser la synthèse et résoudre, à sa manière, l’opposition initiale de l’exposition.
Vernissage le 12 février
Galerie Lelong, Etel Adnan
Etel Adnan Sans titre, 2014
Huile sur toile — 32 × 40 cm
« Etel Adnan — Peintures », Galerie Lelong & Co du 12 février au 28 mars 2015.
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Peintre et poète écrivain, Etel Adnan, née en 1925 à Beyrouth et Américaine d’adoption, peint depuis les années 60 des paysages minimalistes où les aplats de couleurs résonnent en une symphonie à la limite de l’abstraction. Remise sur le devant de la scène après la Documenta de Cassel en 2013, son œuvre forte se voit présentée à la biennale du musée Whitney de New-York. Une occasion unique de découvrir cette peinture et trop rarement visible à Paris.
Vernissage le 12 février
Galerie In Situ Fabienne Leclerc, Lynne Cohen : Un hommage
Lynne Cohen, Living room Racine, Wisconsin, 1971-1972
© L’artiste & Galerie In Situ Fabienne Leclerc, Paris
« Lynne Cohen : un hommage — Carte blanche à Patrick Tosani », Galerie In Situ, Fabienne Leclerc du 12 février au 28 mars 2015.
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La galerie In Situ Fabienne Leclerc nous offre une plongée au cœur des images de Lynne Cohen, décédée en mai dernier, laissant derrière elle l’une des plus importantes œuvres de photographie conceptuelle. Un hommage à l’artiste canadienne que la galerie réalise avec la complicité de l’artiste Patrick Tosani, qui propose ici une lecture personnelle de ce corpus qui s’étend sur plus de quarante ans. Une proposition originale et sensible pour faire découvrir cette artiste majeure de la photographie.
Vernissage le 12 février
Palais de Tokyo, Takis, Champs magnétiques
Takis, Télélumieres, 1963 — Archive KETE
© ADAGP (Paris)
« Takis — Champs magnétiques », Palais de Tokyo du 18 février au 17 mai 2015.
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Le Palais de Tokyo rend hommage au sculpteur Takis, figure iconoclaste de la création, artiste et inventeur majeur de la seconde moitié du XXe siècle. Première grande monographie de cet artiste depuis celle qui lui fut consacrée en 1993 par le musée du Jeu de Paume,
Champs magnétiques explore cet œuvre aussi imprégné d’histoire de l’art que de réflexion scientifique et technologique à travers un parcours imaginé par Alfred Pacquement.
Vernissage le 16 février