Tantôt chaudement vêtues, tantôt absurdement dénudées, souvent lascives, parfois concentrées, les délirantes femmes de Monica Kim Garza, présentées à la galerie ruttkowski;68, font valser les codes de l’histoire de l’art (d’Eugène Leroy à Matisse, de Léger à Gauguin, de Picasso à Friedrich, pour n’en citer que quelques-uns) et de la représentation sociale, et usant du thème de la randonnée au cœur de cette présentation, illustrent un voyage accidenté, aussi accueillant que radical.