
Édito Vingt-six
Un bonheur rare… Appréhender au plus près, dans de si belles conditions, la peinture de Sean Scully à la galerie Lelong reste exceptionnel, à l’image de cet artiste radical qui continue de penser une vie intime de la peinture telle que la dévoilent ses monumentales « Doric », qui constituent certainement l’une de ses séries les plus emblématiques. De l’intimité partagée au cœur du gigantisme naît un spectacle époustouflant, tout en retenue et en sobriété. Une sobriété qui tranche avec les grains de folie, très différents, de Françoise Huguier, photographe aux multiples visages qui fait de chaque situation une image singulière ou de Fabien Boitard, dont l’audace contribue à créer une complicité essentielle avec le visiteur. Enfin, encore une fois, le CPIF de Pontault-Combault étonne avec la densité d’un parcours réfléchi, fort et pertinent.
Lire la critique de l’exposition Sean Scully à la galerie Lelong
Lire la critique de l’exposition Françoise Huguier à la MEP
Lire la critique de l’exposition Fabien Boitard à la galerie Derouillon
Lire la chronique de l’exposition À l’envers, à l’endroit… au CPIF