Articles — Slash Paris

Présentée jusqu’au 19 janvier à la galerie Thaddaeus Ropac, l’exposition Seuls quelques fragments de nous toucheront quelques fragments d’autrui travaille les notions de collage, de montage et de fragmentation. Slash a invité son curateur, Timothée Chaillou, à prolonger cette expérience à travers une discussion avec l’un des artistes invités, Mathieu Mercier.

En plus des images réalisées il y a deux ans dans un centre médico-psychologique à Dunkerque, Laura Henno présente deux nouvelles séries sur lesquelles elle revient avec nous. Réalisées respectivement à Calais et sur l’île de la Réunion, toutes deux évoquent la migration clandestine.

Rencontre avec Jean-Jacques Lebel à l’occasion de l’exposition « L’Art en guerre, France 1938 – 1947, de Picasso à Dubuffet » au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.

Présenté au 104 du 4 au 11 novembre, le salon Jeune Création 2012 a une fois de plus fait montre de la vivacité de la scène artistique émergente internationale. Focus sur quatre jeunes artistes exposés lors de ce salon.

À l’occasion de la présentation de son polyptyque « Les Aveugles », ensemble de 32 tableaux, créé pour l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, Bruno Perramant évoque avec nous le corps face à une oeuvre d’art, et réaffirme le pouvoir de contre-image de la peinture. Rencontre.

Présentée jusqu’au 1er décembre, l’exposition Indice d’adhésion de Pierre Vadi à la galerie Triple V a quelque chose à voir avec ces rêves où l’on survole l’étendue d’un paysage, dans lequel le monde est ramené à une miniature dont on peut librement disposer.

Le 23 octobre dernier, Slash lançait le premier numéro de son magazine annuel au cœur de la Chalet Society, qui ouvrait ses portes quelques jours avant.

Présentée jusqu’au 16 décembre au Musée d’Art moderne de Paris, Bertille Bak puise dans des traditions en péril la matière de riches mythologies urbaines. Poésie et approche documentaire s’entrelacent pour déjouer la précarité de populations aux marges.

Créé en 1980 alors que la photographie était encore parfois perçue comme un art mineur, le Mois de la photo, trente ans après, n’a plus à militer pour la reconnaissance du médium. Rendez-vous immanquable, la manifestation propose pas moins de 80 expositions.

Slash inaugure ses tribunes libres avec une invitation lancée à Mathieu K. Abonnenc, nominé au Prix Ricard 2012. L’artiste nous présente ici en détail une trilogie de films inédits en France de W. Heynowski & G. Scheumann qu’il a choisi de montrer en marge de son installation à la fondation.

En attendant son ouverture le 18 octobre au Grand Palais, tour d’horizon de cette 39ème édition de la Fiac au travers de quelques chiffres.

Invité de l’exposition Évocateur à la fondation Ricard qui réunit, jusqu’au 17 novembre, tous les nominés du 14ème Prix Ricard 2012, Mathieu Kleyebe Abonnenc revient avec nous en détail sur l’œuvre qu’il y présente.

Exposé jusqu’au 7 janvier 2013 au Centre Pompidou, Adel Abdessemed dévoile une oeuvre qui, dans sa pluralité, met en lumière un rapport essentiel à l’autobiographie.

En dix ans, le Plateau s’est bâti une réputation d’excellence et d’audace en matière d’art contemporain. Si son histoire fut mouvementée, un trait a toujours perduré dans son histoire, la confiance et l’importance accordées aux artistes qui y ont exposé.

À l’occasion de sa récente exposition à la galerie Gagosian, Cindy Sherman revient à nouveau grimée et fardée, presque défigurée par endroits, cachée pour mieux se montrer. Retour sur cette mise en scène post-moderniste fascinante qui cultive d’inquiétants paradoxes.

Marc-Olivier Wahler, ancien directeur du Palais de Tokyo et initiateur de ce projet nous présente en avant-première la Chalet Society et revient avec nous sur ce qu’il entend par « réenchanter le monde ».

Le Cneai de Chatou a rouvert ses portes le 29 septembre. Fort d’un réagencement de ses espaces par les architectes Bona & Lemercier, ce centre d’art unique entre plus que jamais dans les enjeux de l’art contemporain en affirmant plus que jamais son identité expérimentale.

En hommage au fondateur designer du site Slash.fr, une exposition virtuelle retraçant l’ensemble de ses travaux.

Du musée d’Art moderne de Paris à l’abbaye de Maubuisson en passant par les galeries Zürcher et Jocelyn Wolff, la rédaction pose un regard sans concession sur les expositions franciliennes du mois d’octobre.

Pour leur troisième exposition à la galerie Crèvecoeur, les frères Quistrebert poursuivent, à travers différents médiums, leur recherche fantasmatique et symbolique.

Depuis les années 60, Orlan, première plasticienne à poser la chirurgie comme médium artistique, interroge le statut du corps humain et les standards imposés aux femmes. Le film “Orlan et la chair se fait verbe” retrace ce parcours singulier, au fil d’archives, d’anecdotes et de commentaires.

Les peintures de Jérémy Liron questionnent souvent la perception fragmentée du réel. Son exposition L’Inquiétude nous replonge dans cette interrogation. Que saisit-on du monde alentour ? Rencontre avec un peintre dont la part théorique nourrit constamment l’œuvre.

Du 15 septembre au 20 octobre, la biennale de Belleville organise sa seconde édition. Expositions, projets in situ, ateliers d’artistes, tour d’horizon d’un événement ancré dans l’histoire.

Exposée cette rentrée chez Kamel Mennour et à Rosascape, Camille Henrot développe un travail autour des fleurs et de ses lectures réifiés en ikebanas.

De la maison rouge au Cneai de Chatou en passant par le Louvre, la rédaction pose un regard sans concession sur les expositions franciliennes du mois de septembre.

Après la désertion du mois d’août, les galeries font leur rentrée en fanfare et, comme chaque année, entament cette nouvelle saison avec un programme aussi chargé qu’excitant.

Galeries fermées, musées bondés, la traditionnelle trêve du mois d’août est bien souvent synonyme d’appauvrissement de l’offre d’art contemporain à Paris. Pourtant, derrière les grandes expositions de la saison, certains lieux n’abandonnent pas les Franciliens qui n’auraient pas pris la route des vacances.

Avec cinq plasticiens, le Liban est bien représenté à la Triennale. Scène qui s’intéresse à des problématiques globales, elle s’inscrit particulièrement bien dans les questionnements soulevés pour cette exposition et les préoccupations concernant « l’historicité et l’héritage culturel ».

Rencontre avec Clémence Torres, qui, programmée dans le cadre des Modules jusqu’au 3 septembre, déploie au Palais de Tokyo son univers à la lisière d’un minimalisme poétique. Sous la solennité du métal, transparaît l’expérience du corps à l’ouvrage.

Du Centre Pompidou au Louvre en passant par le Palais de Tokyo, la rédaction pose un regard sans concession sur les expositions franciliennes du mois de juillet.

Michel Blazy investit jusqu’au 15 juillet le Collège des Bernardins avec une installation faite de mousse intitulée “Bouquet final”. L’occasion de rencontrer cet artiste qui anoblit depuis plusieurs décennies des matériaux humbles comme la purée de carottes ou les yaourts.

Du 28 juin au 1er juillet est organisé à Perpignan la seconde édition du Festival international du Livre d’art et du Film, le Filaf. Rencontre avec son président, Sébastien Planas.

À l’occasion de son accrochage à la Galerie Templon, rencontre avec Ulrich Lamsfuss dont les images peintes sur des photographies existantes taraudent et excitent durablement l’esprit.

Ce dimanche 10 juin se tient la septième édition de Sunday’s Sreening. De 14h à 18h, douze galeries du Marais ainsi que l’Institut néerlandais invitent le public à découvrir leur programmation vidéo.

Après Tony Cragg, c’est au tour de Wim Delvoye, sacralisé il y a plus de dix ans par sa machine à caca Cloaca, d’investir le Louvre pour un contrepoint contemporain.

Kader Attia est l’invité du musée d’Art moderne de la Ville de Paris jusqu’au 19 août. Il y fait l’objet d’un accrochage monographique sensible. Rencontre.

Ce samedi 19 mai est organisée partout en Europe la Nuit des musées. Slash vous propose sa propre sélection des événements inattendus et alternatifs à ne pas manquer en cette soirée.

Durant tout le mois de mai, le salon de Montrouge expose une sélection de 80 artistes. Cette année encore, le travail abattu par le collège critique force l’admiration, invitant des artistes émergents aux travaux passionnants. Gros plan sur quatre d’entre eux.

À la croisée du spectacle et de l’exposition, l’art contemporain appelle, par sa démarche intermédiale, à une mise en perspective des débats esthétiques depuis soixante ans. Une posture critique nouvelle redéfinit le rôle du public et les enjeux des institutions.

Avec The Ten Commandments for Gilbert & George, le duo anglais porte sa création au rang de principe divin. Se mettant eux-mêmes en scène, ils produisent une vidéo déroutante, où le sérieux et l’implication cache deux des esprits les plus singuliers du 21e siècle.