Articles — Slash Paris

La galerie Hauser & Wirth propose, durant cette période exceptionnelle et dans le cadre de sa programmation digitale Dispatches, une exposition virtuelle de Louise Bourgeois.

La Patinoire Royale–Galerie Valérie Bach fermait les portes ce 21 mars d’une exposition collective exceptionnelle d’artistes femmes, American Women, organisée par la curatrice Marie Maertens.

Au sortir de la carte blanche que lui offrait en fin d’année dernière le Musée Guimet, Min Jung-Yeon a proposé, à la galerie Maria Lund, une exposition de ses dernières œuvres sur papier qui poursuit son exploration des formes et des couleurs pour inventer la grammaire immobile d’une langue du mouvement.

La galerie Catherine Putman rouvre jusqu’au 27 mai prochain sur rendez-vous Un serpent dans le cœur, une exposition personnelle de Frédéric Malette, artiste né en 1978, qui malmène l’image à travers sa pratique libre du fusain pour mieux en révéler les possibilités.

Du vendredi 3 au dimanche 5 avril 2020, une vente aux enchères au profit du personnel médical sera organisée et tenue sur la plateforme en ligne Piasa, annonce son président Laurent Dumas.

La galerie gb agency propose, avec l’exposition From Daily Experiences to Collective Stories une rétrospective ambitieuse de l’artiste émirati Hassan Sharif, figure de l’art conceptuel du Moyen-Orient qui aura marqué l’histoire culturelle de son pays à travers un oeuvre protéiforme et une implication constante auprès de la scène artistique locale.

Le Bal présente La Bête, une exposition qui se veut un conte moderne autour d’une exploration de l’histoire par Yasmina Benabderrahmane, qui remportait en 2019 le Prix Le Bal de la jeune création. Visite en images d’une exposition qui les multiplie.

Inaugurée début mars, l’exposition Chine Afrique au Centre Pompidou explore les histoires de ces deux territoires en tentant de se déprendre des récits centrés sur le point de vue occidental. Visite en images.

Avec Réminiscences à la galerie GP & N Vallois, Zhenya Machneva orchestre une danse mystérieuse entre artisanat et production industrielle qui défait les places de chacun dans une production méticuleuse, singulière et étonnante qui en appelle au passé pour inventer un futur impossible.

Plongée en images au cœur de l’exposition (suspendue pour le moment) Travaux à deux pinceaux de Pierre Alechinsky et Karel Appel à la galerie Lelong & Co.

Plongée en images au cœur de l’exposition Seeing de Michael Biberstein, galerie Jeanne Bucher Jaeger.

Dans son exposition Ultima Thulé à la galerie Les filles du calvaire, Edouard Wolton réussit cette prouesse, à travers la grammaire de la peinture, d’accorder les deux langues de la rationalité et de la mythologie. Suspendue prématurément en ce début de printemps 2020, nous vous proposons de la redécouvrir en images aux côtés de son auteur.

Retour en images sur l’exposition de Julien Tiberi, Symphonic Lava, présentée jusqu’au 07 mars dernier à la galerie Semiose, dernière exposition dans l’espace de la rue Chapon avant son déménagement prochain, rue Quincampoix, au coeur de l’ancien espace de la galerie du jour.

Première grande exposition monographique pour le duo Brognon Rollin, L’Avant-dernière version de la réalité au Mac Val ouvrait ses portes début mars. Nous vous proposons une plongée au cœur de ce parcours qui, des marges, nous ramène à notre condition.

Dans un jeu d’allers-retours entre la matière et l’image, entre la photographie, l’imaginaire et le réel, Sabine Mirlesse oppose à la pesanteur du marbre la légèreté éthérée de l’envol dans sa série Pietra di Luce, promesse paradoxale de Dante au poète qui gravit un à un les paliers des abysses.

Plongée en images au cœur de l’exposition de Gilles Aillaud, Plages et désert à la galerie Loevenbruck.

Plongée en images au cœur de l’exposition (suspendue pour le moment) La Dérive des météores d’Aurélie Slonina présentée à la Maréchalerie de Versailles.

Plongée en images au cœur de l’exposition (suspendue pour le moment) La Puissance et la grâce à la galerie Analix Forever de Genève.

Plongée en images au cœur de l’exposition (suspendue pour le moment) Le Cabaret du Néant, organisée par le Frac Île-de-France et les Beaux-Arts de Paris au château de Rentilly.

Plongée en images au cœur de l’exposition (suspendue pour le moment) de James Welling, The Earth, the Temple and the Gods à la galerie Marian Goodman.

Plongée en images au cœur de l’exposition de Thomas Hirschhorn, Eternal Ruins à la galerie Chantal Crousel.

Plongée en images au cœur de l’exposition prolongée jusqu’au 25 juin de Pilar Albarracin, No apagues mi fuego, déjame arder à la galerie GP & N Vallois, Paris.

Le Mac Val propose, avec Le vent se lève, un parcours fantastique dans la création d’aujourd’hui avec une sélection d’œuvres de sa collection qui rappelle la finesse de ses choix autant que l’intelligence de ses positions.

Pour sa nouvelle édition, Jeune Création organise la mise en scène d’un art à l’énergie contenue. Derrière la réussite collective, certaines œuvres nous ont marqué par leur précision et la justesse des formes qu’elles engagent pour augurer d’arts à venir.

Dernier volet d’une trilogie d’expositions engagée l’an dernier à la galerie In Situ, Réversible de Constance Nouvel, présentée au Cpif de Pontault-Combault, nous plonge dans une expérience totale de l’image qui bouleverse notre à rapport à ce qui l’ordonne, le réel.

Le Centre Pompidou organise autour de l’une des figures majeures de l’art contemporain français une exposition qui marie les paradoxes et cache, derrière l’absence de tout appareil critique, une tendance ludique assumée tout aussi paradoxale qui peut certes diviser mais n’en perd pas moins un certain souffle.

Figure de la scène contemporaine de la deuxième moitié du XXe siècle, Bernard Bazile développe depuis les années 1980 un œuvre empreint d’humour et de réflexion qui explore nos comportements autant qu’il en révèle les paradoxes et contraintes ; la galerie mfc – michèle didier consacre une exposition à sa série 3615.

La Villette présente, à partir du 17 décembre le spectacle de Xavier Veilhan, Compulsory Figures, développé en résidence (et présenté début décembre) aux Subsistances de Lyon. En association avec le chorégraphe, danseur et patineur Stephen Thompson, l’artiste explore un champ nouveau de la création qui, s’il promet une expérience sensible et sensorielle poussée, n’est pas dénué d’enjeux conceptuels pertinents.

Isabelle Alfonsi, cofondatrice de la passionnante galerie Marcelle Alix et théoricienne de l’art publie aux éditions B42 un essai libre et exaltant qui, à travers le prisme du féminisme, déploie une pensée de l’art qui en dit autant sur son histoire que sur ses futurs possibles.

Le Centre Pompidou propose une exposition qui derrière son sujet précis, convoque la possibilité de repenser son propre regard. En invitant un artiste, Bruno Serralongue à confronter son travail à celui des photographes de l’AFP et des habitants, Calais, témoigner de la jungle établit un pont concret et pertinent autour de la notion d’œuvre.

Le Palais de Tokyo présente une exposition somme autour de la scène contemporaine de France sous l’égide de l’écrivain poète Olivier Cadiot qui lui donne son titre. Malgré le dynamisme de nombre de ses invités, l’intérêt passionnant de certains d’entre eux, l’exposition se fait symptôme d’un échec curatorial patent.

Présentée du 05 octobre au 05 janvier 2020, l’exposition personnelle d’Éric Baudart aux Tanneries d’Amilly honore un artiste qui, dans l’économie du geste, l’économie des moyens, souligne en profondeur les arcanes d’un système complexe qui nous inclut autant qu’il nous révèle sa capacité, comme la nôtre, à exclure. De par son intelligence et sa subtilité pourtant, il semble nous laisser les moyens de s’en émanciper pour porter sur lui un autre regard.

Les Laboratoires d’Aubervilliers ouvrent ce 12 novembre un cycle d’actions autour de deux projets de la chorégraphe et performeuse Claudia Triozzi qui, durant deux semaines, élabore un programme qui articule et réunit, avec ouverture et passion, les champs théorique et pratique de la création.

Le Bal organise jusqu’au 22 décembre une exposition du peintre Sigmar Polke en photographe à l’occasion de la redécouverte d’un ensemble exceptionnel de tirages qui témoignent de sa pratique photographique intensive et de sa tendance fascinante à l’expérimentation.

Autour d’œuvres d’artistes émergents, Contained Energy à la Villa Belleville explore les notions de statuaire et d’architecture en voulant faire résistance aux prophéties de fin de l’histoire. Premier volet d’un cycle d’expositions autour de la pierre, cette présentation est l’occasion d’une réflexion profonde autour du sens de la création.

Paris Photo poursuit son développement avec une édition 2019 encore plus ambitieuse et toujours plus ancrée dans la diversité des formes du médium qu’elle défend.

Le Cac Brétigny présente jusqu’au 15 décembre l’exposition Slash Universe, une collaboration entre deux artistes dont les routes se croisent depuis plusieurs années et qui dessinent pour la première fois un projet commun.

Du 20 septembre au 15 décembre, La Maréchalerie de Versailles accueille l’exposition Les Hôtes de Jérôme Poret, un projet inédit qui, alimenté par la culture et le folklore populaires, soulève des perspectives inattendues.

La galerie Thaddaeus Ropac présente dans son espace de Pantin une exposition de l’artiste Georg Baselitz, véritable icône de la peinture contemporaine qui poursuit son exploration des figures et des matières en touchant directement à la forme des sentiments.

La galerie kamel mennour présente jusqu’au 05 octobre une exposition personnelle de Neïl Beloufa, La morale de l’histoire, une proposition audacieuse qui fait des mondes de l’enfance le lieu de la détermination à venir.